« Il y a, d'un côté, la cause environnementale sacrée que constituent les aires marines protégées. Ces sites aux écosystèmes aussi riches que fragiles dont la protection reste une priorité absolue... Sans qu'ils soient mis pour autant sous cloche dans la mesure où ils sont le produit d'appel d'une activité économique et sociale. L'équation n'est pas nouvelle, elle reste très difficile à résoudre. Le boom des sports de pleine nature compliquerait-il la donne ? Le sujet attire l'attention du monde scientifique. »
Résultats d'ateliers de discussion pour gérer la fréquentation sur les bords des lacs.