No. 212 Rome Street, in Newark, New Jersey, used to be the address of Grammer, Dempsey & Hudson, a steel-supply company. It was like a lumberyard for steel, which it bought in bulk from distant mills and distributed in smaller amounts, mostly to customers within a hundred-mile radius of Newark. It sold off its assets in 2008 and later shut down. In 2015, a new indoor-agriculture company called AeroFarms leased the property. It had the rusting corrugated-steel exterior torn down and a new building erected on the old frame. Then it filled nearly seventy thousand square feet of floor space with what is called a vertical farm. The building’s ceiling allowed for grow tables to be stacked twelve layers tall, to a height of thirty-six feet, in rows eighty feet long. The vertical farm grows kale, bok choi, watercress, arugula, red-leaf lettuce, mizuna, and other baby salad greens.
Produire des végétaux en ville dans des espaces confinés et en intérieur, même dans une cave ou des parkings, c'est le projet de la Ful (Ferme urbaine lyonnaise), présentée vendredi.
Vitrine de l’agriculture urbaine à Montréal. Se réapproprier la terre et chasse le béton de nos assiettes. Ce site est une ressource, un garde-manger d'idées.
Via Bruno Vitasse \\ Zone-AH!
Après s’être intéressé successivement aux enjeux d’une alimentation durable, à l’approvisionnement des régions urbaines puis aux nouveaux modes de consommation, le 4e colloque international de la Chaire Unesco « Alimentations du monde » de Montpellier SupAgro se penche sur l’histoire et les futurs de nos alimentations. Nous chercherons dans un premier temps à comprendre ce que nous disent les pratiques et mouvements alimentaires d’hier, en remontant aux sources préhistoriques de notre alimentation, en analysant les disettes du Moyen Âge et les « métissages culinaires » en Amérique latine et en décrivant l’histoire d’un péché capital, la gourmandise. Nous verrons ensuite ce qu’il est possible d’anticiper sur les alimentations de demain en termes de nouveaux produits, de nouveaux usages, et d’innovations technologiques.
Une thèse est en cours qui associe l’AgroSupDijon et la société Airinov pour permettre une identification spectrale des dicotylédones et des monocotylédones. Les premiers résultats sont encourageants.On connait désormais bien l’utilité des drones pour capter les informations nécessaires à une fertilisation ajustée. Ils pourraient aussi bientôt rendre des services dans la lutte contre les mauvaises herbes.
Une thèse est en cours qui associe AgroSupDijon et la société Airinov pour permettre une identification spectrale des dicotylédones et des monocotylédones. Les premiers résultats sont encourageants.
L’étude sur le “gisement et potentiel de développement de la méthanisation en Aquitaine”, commandée et financée par le Conseil régional d’Aquitaine, permet de clarifier le potentiel énergétique local. A l’échéance 2030, l’Aquitaine, qui est à ce jour la première région de France en puissance installée en méthanisation, devrait produire ainsi 11 % de sa consommation de gaz naturel.
Après la reconnaissance lente et inachevée des agricultures périurbaines depuis les années 1990, c’est au tour des agricultures urbaines de se trouver sous le feu des projecteurs des chercheurs (géographes, agronomes, architectes paysagistes,...
La nouvelle synthèse sectorielle 2014 de bpifrance dédiée à l’agroalimentaire vient d'être diffusée. Y sont présentées, les tendances de l’innovation ainsi qu'une analyse sectorielle des projets d’innovation agroalimentaire soutenus par bpifrance....
A major factor contributing to global climate change is the emissions from transporting food from where it's grown to far way where people eat it. The agriculture industry is also the largest consumer of water worldwide. Not only is the practice not sustainable, but trends suggest that by 2050, 2.5 billion more people will live on the planet, 80 percent of them will live in cities and 70 percent more food will be required.
That means that not only will more people need more food, but the vast majority will be living away from rural agricultural centers. The current agricultural model of large food miles just won't cut it.
Understanding the dynamics of water distribution in soil is crucial for enhancing our knowledge of managing soil and water resources. The application of X-ray computed tomography (CT) to the plant and soil sciences is now well established. However, few studies have utilized the technique for visualizing water in soil pore spaces. Here this method is utilized to visualize the water in soil in situ and in three-dimensions at successive reductive matric potentials in bulk and rhizosphere soil. The measurements are combined with numerical modelling to determine the unsaturated hydraulic conductivity, providing a complete picture of the hydraulic properties of the soil. The technique was performed on soil cores that were sampled adjacent to established roots (rhizosphere soil) and from soil that had not been influenced by roots (bulk soil). A water release curve was obtained for the different soil types using measurements of their pore geometries derived from CT imaging and verified using conventional methods, such as pressure plates. The water, soil, and air phases from the images were segmented and quantified using image analysis. The water release characteristics obtained for the contrasting soils showed clear differences in hydraulic properties between rhizosphere and bulk soil, especially in clay soil. The data suggest that soils influenced by roots (rhizosphere soil) are less porous due to increased aggregation when compared with bulk soil. The information and insights obtained on the hydraulic properties of rhizosphere and bulk soil will enhance our understanding of rhizosphere biophysics and improve current water uptake models.
Bob Hooper uses an innovative Farm On Wheels design to bring aquaponics into the STEM classroom for kindergarten through 6th grade. Learn more about it here
Le MOOC 'Biodiversité', que l'UVED réalise et coordonne, est en cours de finalisation.
Objectif pédagogique et public cible
Ce MOOC permettra, à quiconque le souhaite, de mieux comprendre ce qu'est la biodiversité et les enjeux qui lui sont associés en matière de développement territorial et humain (culture, santé, ville, agriculture, etc.). En apportant des points de repères sur ces questions et en montrant que la préservation des dynamiques écologiques est l'affaire de tous, ce MOOC entend contribuer à l'évolution des perceptions sociales en matière de biodiversité ainsi qu'à l'accroissement du niveau d'implication des acteurs sociétaux dans sa préservation.
Il ciblera l'ensemble des acteurs français et francophones qui, par leurs activités et leurs décisions, interagissent avec la biodiversité: collectivités territoriales (élus, agents, responsables "Développement durable"), entreprises (dirigeants, responsables "RSE" ou "DD"), ou encore étudiants et citoyens.
Imaginez une ferme de plusieurs milliers de mètres carrés installée sur le toit d’un bâtiment industriel ou d’un supermarché. Ou encore un espace vert où la pelouse, si chère à entretenir, a laissé sa place à un jardin potager et fruitier. Le tout sous la forme de structures parfaitement modulables et donc adaptables à l’environnement disponible que ce soit en hauteur ou en largeur. C’est déjà une réalité au Canada ou en Suisse. La France, en retard sur le marché de l’agriculture urbaine, va sûrement se rattraper grâce au projet de Marie Fiers.
Finland has become a predominantly urban society. When Finland gained its independence in 1917, only 10 percent of the population lived in urban areas. By 1960 that figure had risen to 55 percent, and presently 70 percent of Finns live in urban areas, according to the Finnish Environmental Institute. Yet most Finns, even those living in cities, have close ties to their cultural heritage and agricultural roots in the countryside. This photo journey explores the spaces, places, and practices of urban agriculture (UA) in Finland’s capital, Helsinki. The city sits at latitude 60.6˚ N and has approximately 600,000 residents. This might not seem like a place well suited for urban agriculture, but an enthusiastic population of growers and the long summer days make this a hotbed of UA development. UA has over a century-long history in Helsinki, and it is embedded in the fabric of the city through zoning regulations. Over the last decade, the number and types of projects have increased rapidly through both municipally supported and grassroots efforts. Grassroots UA projects include box and sack gardens in interstitial spaces, and the establishment of Finland’s first Community Supported Agriculture (CSA) project. This photo essay illustrates how each of the four main types of UA projects found in Helsinki---cottage allotments, allotment gardens, box gardening, and CSAs---fit into its urban landscape.
Jardins partagés sur des friches industrielles à Détroit ou sur d'anciens parkings en banlieue parisienne, culture hydroponique dans des tours high tech: l'agriculture urbaine a le vent en poupe, mais peut-elle véritablement nourrir les villes ?
En banlieue-est de Paris, aux Mureaux, ville plus connue pour sa violence urbaine que pour ses jardins, Maria-Louisa George, 60 ans, cultive fleurs et légumes depuis 2011 au pied de la cité Renault. Son jardin est un ancien parking réhabilité par son bailleur, l'immobilière 3F, qui a créé un potager communautaire de 500 mètres carrés.
"Bien sûr que c'est pour manger ! Nous sommes dix familles sur ce jardin. C'est pour le plaisir, mais aussi pour se nourrir, nous récoltons beaucoup de légumes", dit-elle à l'AFP. Utile en temps de crise.
Des scientifiques de l'Institut de médecine expérimentale de l'Université Jozef Safarik de Kosice révèlent les effets positifs des probiotiques qui peuvent empêcher le développement de cancers ou d'allergies.
"Thousands of years ago, agriculture began as a highly site-specific activity. The first farmers were gardeners who nurtured individual plants, and they sought out the microclimates and patches of soil that favored those plants. But as farmers acquired scientific knowledge and mechanical expertise, they enlarged their plots, using standardized approaches—plowing the soil, spreading animal manure as fertilizer, rotating the crops from year to year—to boost crop yields. Over the years, they developed better methods of preparing the soil and protecting plants from insects and, eventually, machines to reduce the labor required. Starting in the nineteenth century, scientists invented chemical pesticides and used newly discovered genetic principles to select for more productive plants. Even though these methods maximized overall productivity, they led some areas within fields to underperform. Nonetheless, yields rose to once-unimaginable levels: for some crops, they increased tenfold from the nineteenth century to the present.
Today, however, the trend toward ever more uniform practices is starting to reverse, thanks to what is known as 'precision agriculture.' Taking advantage of information technology, farmers can now collect precise data about their fields and use that knowledge to customize how they cultivate each square foot."
In this article it talks about the development of agriculture and how most of it started. This article relates to my world cultural geography class by telling how people used agriculture to provide for themselves and better there methods year after year. The use of technology and the pesticides they used to help there crops grow is similar in our class to the was technology was developed and helped out a lot in the fields and in everyday life.
This is very interesting insight on how farmers use precision agriculture to customize how they cultivate each square foot of their fields. In my opinion precision agriculture is a good way for farmers to know exactly what they need to do to their field and what they should plant. It also is a way for them to make sure none of the areas within their field underperform.
Une méthode millénaire, qui consiste à créer un écosystème pour faire pousser des plantes et élever des poissons, est en train de retrouver ses marques.
Berlin, Londres, Abou Dhabi, Chicago, Vancouver, Honolulu... Les fermes aquaponiques s'installent un peu partout dans le monde. Mais d'où vient cette méthode de culture, baptisée «aquaponie», combinant élevage de poissons d'eau douce et production de plantes hors-sol ? «Cette technique est aussi vieille que l'agriculture. Elle est utilisée depuis longtemps dans les rizières en Asie, et bien avant cela par les Mayas», deux millénaires avant J.-C., rappelle Nick Savidov, un expert canadien en aquaponie.
«Dans les années 1940, les progrès de l'industrie chimique ont conduit à l'émergence d'engrais synthétiques permettant d’accroître les rendements. Mais cette approche n'est pas durable. Nous revenons donc à des systèmes plus naturels utilisés avant l'émergence de l'agriculture moderne», résume le directeur des recherches en charge du développement de solutions bio-industrielles au ministère de l'Agriculture de la province de l'Alberta (Canada). «C'est la pression de l'opinion publique il y a une trentaine d'années, sa méfiance envers les OGM et les pesticides notamment, qui a joué un rôle moteur dans ce changement de paradigme», souligne-t-il.
Ce mémento permet de faire un point, à travers 24 pages de tableaux, graphiques et cartes, sur les dépenses en alimentation et les consommations par produits (légumes, fruits, féculents, viande, poisson, produits laitiers, matières grasses, sucre, boissons)....
Dans le sud de Berlin, une ferme urbaine atypique a élu domicile dans une ancienne fabrique de malt. Nouveau fief de l'agriculture durable et de l'aquaponie, ECF (ECoFriendly Farm) est devenue la plus grande ferme urbaine d'Europe, produisant 30 tonnes de poisson et 30 tonnes de légumes par an. FUTUREMAG est allé enquêter dans cette ferme des temps modernes !
Bonheur animal, transformations génétiques, élevage intensif… Le rapport entre les hommes et les animaux connaît une crise majeure. À force de chercher le mode d'emploi de l'animal machine, nous aurions perdu les clefs de l'ancienne harmonie. Ce documentaire donne la parole à tous les acteurs - militants, scientifiques, professionnels. Loin des invectives et des réponses simplistes, il apporte à chacun quelques éléments pour construire sa propre réflexion.
À quoi sert l’umami? Personne ne le sait vraiment. Mais il y a beaucoup plus d’umami dans nos régimes alimentaires que dans ceux des premiers humains, ou même ceux d’avant la naissance de la civilisation.
Que faire du lait qui goutte des tiges de pissenlit quand on les cueille ? Surtout ne pas le boire ! Ce lait n’est autre qu’un latex se rapprochant de celui de l’arbre à caoutchouc. Il n’en fallait pas plus pour trouver une utilisation plus pneumatique qu’alimentaire à ce liquide. Mitas, une des sociétés fabriquant des pneus, envisage de tester le premier pneu agricole à partir du pissenlit.
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