Le cortège des messicoles, ou « plantes des moissons », a presque été éradiqué par l’intensification du labour, la fertilisation azotée, l’usage des pesticides et le tri des semences. Leur intérêt patrimonial et pour la biodiversité est certain, mais il faudrait que des agriculteurs jouent les conservateurs. Ce n’est pas gagné.
Par Philippe Jauzein, professeur de botanique et malherbologie, 16.02.2021
Via Bernadette Cassel