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Ce mardi 30 avril 2024, les locaux du Cacem, le Centre d'appui au contrôle de l'environnement marin, ont été inaugurés à Étel (Morbihan). Une inauguration en forme d'officialisation pour ce centre « unique à l'échelle européenne », en expérimentation depuis 2017 et hébergé jusqu'alors au centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage atlantique (Cross-A). Sa mission : coordonner la surveillance et le contrôle des activités en mer susceptibles d'avoir un impact écologique sur le milieu marin, et ce sur l'ensemble des eaux sous souveraineté et juridiction française, du littoral jusqu'à 200 miles nautiques. Une véritable tour de contrôle, sous la direction générale des Affaires maritimes, qui relie et appuie tout un réseau de partenaires : acteurs institutionnels, Marine nationale, douanes, gendarmerie maritime, mais aussi l'Office français de la biodiversité et le Conservatoire du littoral.
Le concept de « solutions fondées sur la Nature » (SfN) prend de l’ampleur depuis les années 2010 dans les arènes internationales, mais également dans de nombreux territoires nationaux et infranationaux. Dans le domaine des risques liés à l’eau (en particulier les sécheresses et les inondations), les SfN semblent aller de pair avec l’écologisation des politiques publiques. Elles sont présentées comme permettant des projets plus adaptatifs, moins onéreux, et définis de manière moins technocratique que les infrastructures dites « grises » comme les barrages, les retenues, ou les endiguements. Selon leurs promoteurs, ces solutions contribuent à la prévention des risques liés à l’eau, tout en étant bénéfiques à la biodiversité. Au-delà de la définition officielle proposée par l’IUCN, que sont en pratique, sur le terrain, les SfN? [...] Joana Guerrin, Sara Fernandez, Ludovic Drapier, Anna Serra-Llobet et Catherine Roche, « Que font les solutions fondées sur la nature aux politiques de gestion des risques liés à l’eau ? », Développement durable et territoires [En ligne], Vol. 14, n°2 | Octobre 2023, mis en ligne le 30 octobre 2023, consulté le 06 mars 2024. URL : http://journals.openedition.org/developpementdurable/22788 ; DOI : https://doi.org/10.4000/developpementdurable.22788
Dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes (2021-2030), la restauration des écosystèmes est un levier mondialement reconnu pour lutter contre le dérèglement climatique et la perte de biodiversité. Pourtant, des débats persistent sur la forme que doivent prendre ces actions, partagés entre restauration active et ré-ensauvagement. Dans cette synthèse bibliographique parue dans Biological Reviews, une équipe internationale1 démontre que même si la restauration écologique et le ré-ensauvagement partagent le même objectif de régénération d’écosystèmes dégradés suite aux actions humaines, des différences existent cependant dans les démarches et moyens mis en œuvre.
Via DocBiodiv
À travers 81 propositions, une mission d'information de l'Assemblée nationale propose d'ajuster la politique de l'eau aux enjeux du changement climatique. Elle revient notamment sur la hiérarchisation des usages de l'eau.
Via DocBiodiv
Les stratégies d’électrification des sociétés et de développement des technologies de capture du carbone restent largement insuffisantes pour atteindre les objectifs internationaux.
Le territoire parisien, constitué d’un tissu urbain particulièrement dense, peut permettre la vie et le déplacement des espèces animales et végétales sauvages. La ville de Paris a mis en place une politique ambitieuse pour favoriser la biodiversité parisienne.
Le Parlement a adopté, mercredi à Strasbourg, une version amendée de ce texte, qui prévoit d'imposer aux Etats membres des objectifs contraignants de restauration des terres et espaces marins abîmés par la pollution ou l'exploitation intensive.
Via Hubert MESSMER
Du 22 au 24 mars prochain, une conférence mondiale dédiée à l’eau douce est organisée à l'ONU. Comment s’accorder sur le principe qu’il s’agit d’un bien commun ? Comment mettre en place des outils appropriés pour le règlement et la prévention des guerres de l’eau ?
Via DocBiodiv
Jusqu'au 22 mars 2023, communes et intercommunalités (ou les éventuels partenaires éligibles) peuvent déposer leur candidature pour l'appel à projets « Atlas de la biodiversité communale » lancé par l'Office français de la biodiversité.
Décryptage d’un nouveau règlement qui prévoit d’empêcher la mise sur le marché de l’Union européenne de produits associés à la déforestation et à la dégradation des forêts.
La loi Biodiversité de 2016 a rendu obligatoire le dispositif des Stratégies régionales pour la biodiversité (SRB), auparavant optionnel, et en fixe le cadre. Les différents services de l’État et de la Région se fédèrent autour d’une feuille de route commune et l’Office français de la biodiversité les accompagne dans leur mise en œuvre et le suivi. Une boîte à outils composée de fiches pratiques est en cours d’élaboration et mise à disposition ici.
Via DocBiodiv
Dans le cadre de la convention de partenariat entre la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Cerema, huit indicateurs portant sur la biodiversité en région et son évolution ont été actualisés en 2021.
La ville d'Angers retenue par la Commission européenne pour devenir « neutre pour le climat et intelligente » d'ici à 2030 : Découvrez toute l’actualité et les informations autour de la ville d’Angers.
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Trois types d'actions locales en faveur de la biodiversité bénéficieront en priorité du Fonds verts, récemment amputé de 400 millions d'euros, durant l'année 2024. C'est ce qui ressort d'une circulaire adressée, le 14 mars, aux préfets par le ministre de la Transition écologique et le secrétaire d'État à la biodiversité.
Via AgroParisTech DOC IST
Les auteurs rappellent d’abord que l’agriculture est source de pollutions, mais qu’elle est aussi porteuse de solutions et peut, par conséquent, constituer un levier important de lutte contre le déclin de la biodiversité.
Via AgroParisTech DOC IST
La préservation de la biodiversité demande, certes, une révolution de nos rapports à la nature et au vivant ; mais elle requiert aussi une refondation dans nos manières de concevoir les politiques et les stratégies internationales. Trop souvent conçues comme de simples plans d’action, ces dernières se heurtent à la complexité du réel. Face aux dynamiques souvent imprévisibles et changeantes du vivant, les mesures et les solutions principalement techniques aboutissent tôt ou tard à de fâcheuses déconvenues. Alors que la prochaine conférence des parties sur la diversité biologique (COP15) ambitionne de changer de cadre d’action, en se dotant d’une nouvelle plateforme de cibles à atteindre, il est plus que jamais nécessaire de reconsidérer le diagnostic officiel qui sous-tend l’action internationale. Tâche assurément difficile, mais possible, à condition de mobiliser un large éventail d’expertises issues de différentes communautés scientifiques. En s’appuyant sur de nombreux exemples et de multiples recherches, tant en sciences humaines et sociales qu’en sciences de la conservation, et par les mises en perspective inédites qu’il réalise, cet ouvrage propose un diagnostic stratégique profondément renouvelé, ainsi que des leviers pour activer des processus régénératifs en faveur du vivant.
L’agriculture intensive est la principale cause d’érosion de la biodiversité, et les politiques publiques française et européenne échouent à mettre en œuvre une transition vers un modèle alternatif, alors que des solutions existent. C’est à cette conclusion qu’est parvenue, après avoir auditionné près de 200 personnes (chercheurs, agriculteurs, membres d’associations environnementales…), la mission d’information parlementaire sur les dynamiques de la biodiversité dans les paysages agricoles, présidée par la députée de la Marne Laure Miller (Renaissance).
Via CDI ENILV La Roche-sur-Foron
Un décret, publié le 14 décembre au Journal officiel, redonne aux titulaires du droit de préemption dans les espaces naturels sensibles (ENS) la capacité d'exercer ce droit dans les périmètres sensibles institués par l'État avant la création de la compétence des Départements en matière d'ENS par la loi du 18 juillet 1985. Les titulaires de ce droit sont les Départements, le Conservatoire du littoral, les parcs nationaux, les parcs naturels régionaux et les communes.
Via Hubert MESSMER
Un Atlas de la biodiversité communale (ABC) est une démarche qui permet à une commune, ou une « structure intercommunale », de connaître, de préserver et de valoriser son patrimoine naturel. Chaque année, l'Office français de la biodiversité soutient de nombreux projets d'ABC.
Via VeilleGestionConnaissances
Après Montréal, la prochaine étape importante concernera la publication des politiques nationales dans le domaine de la lutte contre le recul de la biodiversité marine et terrestre.
Un an après le recours de cinq associations contre l'État pour carence fautive, les deux parties font valoir leurs arguments par mémoires interposés. Le Gouvernement s'estime bridé par le droit européen. Ce que contestent les associations.
Via Réso'them
Dans le monde, la France est sans doute l’un des pays disposant du meilleur arsenal juridique en matière de protection de la nature, notamment depuis la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages du 8 août 2016 et la nouvelle loi climat et résilience du 20 juillet 2021
Via AgroParisTech DOC IST
Réunis à Montréal jusqu’au 18 décembre 2022, scientifiques et responsables politiques doivent se mettre d’accord sur le nouveau cadre mondial de protection de la biodiversité terrestre et marine.
Le Comité français de l’UICN publie aujourd’hui un recueil à destination des élus et acteurs locaux pour faciliter le déploiement des Solutions fondées sur la nature dans les territoires. Des solutions efficaces faces aux risques naturels Érosion côtière, submersion marine, mobilité […]
Via DocBiodiv
Les crises internationales, multiples et simultanées, ont eu raison des progrès en matière d’objectifs de développement durable (ODD). Depuis deux ans, le monde ne fait presque plus aucun progrès vers leur atteinte d’ici 2030, selon le nouveau rapport du Réseau de Solution pour le Développement Durable.
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