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Cet article présente une partie des résultats de l’expertise scientifique collective « Impacts des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversité et les services écosystémiques, Expertise scientifique collective Inrae-Ifremer » financée par l’Office français de la biodiversité (OFB) via le Plan Écophyto. Laure Mamy, Stéphane Pesce et Wilfried Sanchez en ont été co-pilotes scientifiques et Sophie Leenhardt cheffe de projet.
Via Les CAUE d'Île-de-France
L'ARB îdF, département biodiversité de l'Institut Paris Region publie un guide sur la thématique : comment accueillir la biodiversité dans son jardin. Vous avez un jardin, une cour, une terrasse ou un balcon. Vous aimeriez en faire un lieu accueillant pour la biodiversité, mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Alors ce carnet pratique est fait pour vous !
70 % des haies ont disparu depuis les années 1950, à cause du remembrement des terres agricoles. Entre 2017 et 2021, plus de 23 000 km de haies ont été arrachés. Les haies sont pourtant indispensables à notre biodiversité, mais aussi à notre bonheur. La haie, un mur vivant à défendre.
Pourquoi l’effondrement de la biodiversité est un sujet si important ? Comment notre rapport à la nature peut nous aider à lutter contre le changement climatique ? Comment préserver le vivant tout en rendant nos vies meilleures ? Nabil Wakim Publié le 26 mars 2024 "Sandra Lavorel est directrice de recherche CNRS au Laboratoire d'écologie alpine, à Grenoble. Elle a reçu en 2023 la médaille d’or du CNRS pour ses travaux d’écologue. Elle travaille depuis plus de 20 ans avec des spécialistes de toutes disciplines sur la question des services écosystémiques. Comprendre les services que nous rend la nature va nous encourager à mieux la protéger, explique la chercheuse Sandra Lavorel, médaille d’or du CNRS 2023, dans cet épisode du podcast « Chaleur humaine »."
Via Bernadette Cassel
Pour la première fois, la Liste rouge des espèces menacées en France s’est portée sur les champignons, explorant la situation des bolets, des lactaires et des tricholomes. Parmi les 319 espèces recensées dans ces trois groupes sur le territoire métropolitain, 12 espèces sont menacées, tandis que 16 autres apparaissent quasi menacées.
Via DocBiodiv
Le sol ne se limite pas à une simple surface que l'on foule. Vivant, actif, sensible et fragile, il constitue un écosystème à part entière, qui nous rend bien des services. Siège d'une intense activité biologique, il doit être considéré comme une ressource non renouvelable, dont nous ne disposons qu'en très faible quantité.
Cette vie cachée est pourtant méconnue et peu prise en compte. Pression des activités urbaines, agricoles, forestières et industrielles, manque de réglementation visant la protection des sols… provoquent des dégradations importantes et parfois irrémédiables.
Via CDI ENILV La Roche-sur-Foron
Les auteurs rappellent d’abord que l’agriculture est source de pollutions, mais qu’elle est aussi porteuse de solutions et peut, par conséquent, constituer un levier important de lutte contre le déclin de la biodiversité.
Via AgroParisTech DOC IST
La méthode ENCA consiste à mesurer l’état de santé des écosystèmes d’un territoire et de fournir une métrique comparable à celle de la « tonne équivalent CO₂ » dans la comptabilité du carbone.
Rencontre avec l’écologue tous terrains Sandra Lavorel, médaille d’or du CNRS pour ses recherches sur le fonctionnement des écosystèmes et des services qu’ils rendent aux vivants. Comment penser en écosystème ? Et pourquoi ça change tout ? Sandra Lavorel est écologue, spécialiste du fonctionnement des écosystèmes. Elle a mis en évidence les contributions de la biodiversité à la vie humaine, révélé les impacts sociétaux et économiques de ses altérations par les changements environnementaux. Elle a reçu la Médaille d’Or 2023 du CNRS pour ses travaux de recherche.
Les solutions fondées sur la nature (SaFn) constituent aujourd’hui des initiatives pertinentes pour répondre de manière concomitante aux enjeux d’adaptation au changement climatique et de préservation de la biodiversité sur les territoires. Malgré l’intérêt que représente le décloisonnement de ces enjeux, nous observons encore que trop peu d’acteurs se saisissent de ces types de projet. Nous considérons aujourd’hui que résoudre la question du financement, permet de répondre en partie à cette problématique. Cette publication, issue d’un partenariat entre CDC Biodiversité et l’Office français de la biodiversité, vise à faciliter l’identification des moyens et leviers disponibles pour les maîtres d’ouvrage en France, offrant ainsi des perspectives pour multiplier le nombre de projets sur les territoires.
Un Atlas de la biodiversité communale (ABC) est une démarche qui permet à une commune, ou une « structure intercommunale », de connaître, de préserver et de valoriser son patrimoine naturel. Chaque année, l'Office français de la biodiversité soutient de nombreux projets d'ABC.
Via VeilleGestionConnaissances
Cette expertise scientifique collective (ESCo) a été réalisée en réponse à une commande de trois ministères français respectivement chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la recherche, dans le cadre du plan Écophyto 2 +. Elle portait sur les impacts des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversité et les services écosystémiques. Cette expertise était associée à deux autres exercices, d’une part, une ESCo sur la protection des cultures via l’augmentation de la diversité végétale des espaces agricoles et, d’autre part, une prospective sur une agriculture européenne sans pesticides en 2050. C’est dans ces deux exercices que les problématiques liées à l’arbitrage entre préservation de la biodiversité et préservation des rendements ont été traitées.
De nombreux jardiniers les détestent à cause de leur présence envahissante, mais les mousses savent se défendre. Apparues sur Terre avant les dinosaures, ces minuscules plantes ont de quoi captiver. “Die Zeit” nous présente quelques échantillons de leur extraordinaire biodiversité.
Via Les CAUE d'Île-de-France
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Face à l’érosion de la biodiversité et aux impacts du changement climatique, nous avons tous envie de nous retrousser les manches pour sauvegarder la nature. Accueillir la biodiversité, la préserver, concevoir des espaces plus résilients sont aujourd'hui des préoccupations présentes dans toutes les consciences, qui laissent émerger un grand nombre de conseils, concepts et innovations pour y parvenir. Pourtant, certaines de ces réponses ne sont pas toujours adaptées aux problèmes, voire s'avèrent contreproductives à long terme. Pour vous aider à mieux comprendre pour bien agir, ce cycle de webinaires vous fera découvrir certaines fausses bonnes idées les plus répandues, qui ne sont en réalité ni écologiques ni économiques. - 3 octobre 2024 | 14 h - 16 h
Les microforêts urbaines Inscription - 4 au 8 novembre 2024 | 14 h - 16 h
Les aménagements pour la petite faune
Selon la vaste étude multi-modèle publiée dans Sience le 26 avril, la biodiversité mondiale pourrait avoir diminué de 2 % à 11 % au cours du 20e siècle en raison du changement d'occupation des sols induit par l'Homme. Les projections montrent que le changement climatique pourrait devenir le principal facteur de déclin de la biodiversité d'ici le milieu du 21e siècle. Publié le 25/04/2024
"Dirigée par le German Centre for Integrative Biodiversity Research (iDiv) et la Martin Luther University Halle-Wittenberg (MLU), cette analyse est la plus grande étude de modélisation de la biodiversité et des services écosystémiques de ce type à ce jour. Les chercheurs ont comparé pas moins de treize modèles pour évaluer l'impact du changement d'occupation des sols et du changement climatique sur quatre métriques distinctes de la biodiversité, ainsi que sur neuf services écosystémiques. [...]
Via Bernadette Cassel
Depuis plus de 50 ans, les écologues se questionnent sur les causes derrière la stabilité des écosystèmes. Est-elle le fruit de l’interaction entre une grande variété d’espèces, comme l’indiquent les théories les plus anciennes ? Ou bien, peut-elle être à l’origine de bouleversements et d’extinctions d’espèces ? Ian Hatton, chercheur associé au Département des sciences de la terre et des planètes de l’Université McGill, apporte des éléments de réponse dans une récente étude.
Via DocBiodiv
L’Occitanie s’implique dans le programme européen Life (L’Instrument Financier pour l’Environnement) au travers du projet Life Biodiv’Paysanne. Prévu pour six années, le projet a pour but la restauration des espaces naturels et la protection de la biodiversité sur les sites naturels et les espaces agricoles de la région. Lancé en 2021 jusqu’à l’horizon 2027, le projet possède de nombreux partenaires tels que Solagro, les Conservatoires d’Espaces Naturels et l’association Terres de Liens. Explications à mi-parcours avec Mélanie Némoz, coordinatrice du projet.
Via Chambre d'agriculture de région Pays de la Loire
Favoriser la biodiversité dans les forêts peut par exemple considérablement atténuer les conséquences du changement climatique sur le recyclage du carbone et de l’azote, un processus indispensable au bon fonctionnement des écosystèmes forestiers et au stockage naturel du carbone dans les sols. Issu de la décomposition de la matière organique (feuilles et plantes mortes) par des microorganismes et la faune du sol, ce processus est ralenti dans des conditions climatiques plus sèches, telles qu’induites par le changement climatique.
Via DocBiodiv
Un premier schéma directeur de la surveillance de la biodiversité terrestre a été approuvé pour la période 2024-2025
Dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes (2021-2030), la restauration des écosystèmes est un levier mondialement reconnu pour lutter contre le dérèglement climatique et la perte de biodiversité. Pourtant, des débats persistent sur la forme que doivent prendre ces actions, partagés entre restauration active et ré-ensauvagement. Dans cette synthèse bibliographique parue dans Biological Reviews, une équipe internationale1 démontre que même si la restauration écologique et le ré-ensauvagement partagent le même objectif de régénération d’écosystèmes dégradés suite aux actions humaines, des différences existent cependant dans les démarches et moyens mis en œuvre.
Via DocBiodiv
La préservation de la biodiversité demande, certes, une révolution de nos rapports à la nature et au vivant ; mais elle requiert aussi une refondation dans nos manières de concevoir les politiques et les stratégies internationales. Trop souvent conçues comme de simples plans d’action, ces dernières se heurtent à la complexité du réel. Face aux dynamiques souvent imprévisibles et changeantes du vivant, les mesures et les solutions principalement techniques aboutissent tôt ou tard à de fâcheuses déconvenues. Alors que la prochaine conférence des parties sur la diversité biologique (COP15) ambitionne de changer de cadre d’action, en se dotant d’une nouvelle plateforme de cibles à atteindre, il est plus que jamais nécessaire de reconsidérer le diagnostic officiel qui sous-tend l’action internationale. Tâche assurément difficile, mais possible, à condition de mobiliser un large éventail d’expertises issues de différentes communautés scientifiques. En s’appuyant sur de nombreux exemples et de multiples recherches, tant en sciences humaines et sociales qu’en sciences de la conservation, et par les mises en perspective inédites qu’il réalise, cet ouvrage propose un diagnostic stratégique profondément renouvelé, ainsi que des leviers pour activer des processus régénératifs en faveur du vivant.
Le territoire parisien, constitué d’un tissu urbain particulièrement dense, peut permettre la vie et le déplacement des espèces animales et végétales sauvages. La ville de Paris a mis en place une politique ambitieuse pour favoriser la biodiversité parisienne.
Espaces protégés, espèces recensées par groupe, espèces protégées, taxons menacés, statuts biogéographiques, etc. : le module de recherche « Biodiversité dans les territoires » et ses pages de résultats évoluent. La révision de ce module vise à faciliter la recherche par territoire à toutes les échelles administratives (territoires d’outre-mer, régions, départements et communes) et à améliorer l’affichage des résultats (données, listes d’espèces et d’espaces, datavisualisations, etc.). De nouvelles fonctionnalités sont également proposées, parmi lesquelles la mise à disposition de listes d’espèces par groupes taxonomiques ou par statuts biogéographiques et l'accès direct aux données du département, de la région et de la France métropolitaine à partir de la fiche d'une commune. En savoir plus INPN - Inventaire national du Patrimoine naturel sur X, 13.11.2023 https://twitter.com/INPN_MNHN/status/1724025488962687306
Via Bernadette Cassel
Les pays de l'Amazonie, du bassin du Congo, du Mékong et de Bornéo se réunissent pour faire front commun et protéger leurs forêts, qui renferment les trois quarts de la biodiversité mondiale.
Le Ministère de la transition écologique lance une enquête visant à recenser, à l'échelle du territoire national, les actions pouvant s'inscrire dans l'axe 3 du Plan National en faveur des pollinisateurs et de la Pollinisation. Pour rappel, cet axe a pour objectif de mobiliser les secteurs d’activités autres qu’agricoles, forestiers et apicoles et qui disposent néanmoins d’emprises foncières à enjeux pour les insectes pollinisateurs et la pollinisation.
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