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L’Occitanie s’implique dans le programme européen Life (L’Instrument Financier pour l’Environnement) au travers du projet Life Biodiv’Paysanne. Prévu pour six années, le projet a pour but la restauration des espaces naturels et la protection de la biodiversité sur les sites naturels et les espaces agricoles de la région. Lancé en 2021 jusqu’à l’horizon 2027, le projet possède de nombreux partenaires tels que Solagro, les Conservatoires d’Espaces Naturels et l’association Terres de Liens. Explications à mi-parcours avec Mélanie Némoz, coordinatrice du projet.
Via Chambre d'agriculture de région Pays de la Loire
TRIBUNE. Alors qu’une proposition de loi visant à mettre en place un diagnostic de santé des sols obligatoire vient d’être proposée, plusieurs experts, issus de la communauté scientifique, des ONG environnementales et du monde de l’entreprise insistent, dans une tribune au « Monde », sur l’importance de réhabiliter et de préserver les sols.
La restauration des forêts constitue un élément clé de la lutte contre les perturbations climatiques. Le réseau de recherche mondial, le Tree Diversity Network, tente d’y contribuer efficacement.
Au XXᵉ siècle, le nombre des aires protégées ont augmenté de manière significative, pour répondre aux pressions croissantes sur les ressources naturelles, les écosystèmes et les paysages.
La mise en place de dispositifs de protection des espaces naturels constitue une réponse à l’érosion de la biodiversité. Où en est la France dans ce domaine en 2021 ?
Via DocBiodiv
Photo ci-dessus : les forêts primaires du parc des Grands-Jardins, au Québec (Canada), sont convoitées par de grands groupes de l’industrie du bois. Or cette zone a été reconnue par l’ensemble des groupes environnementaux comme l’un des derniers massifs de forêts intactes au Québec. Un moratoire a été proposé pour éviter les coupes d’arbres irremplaçables. Car pour les scientifiques, ces forêts anciennes permettent d’en apprendre plus sur le monde forestier et de mesurer l’adaptation de la nature face à un environnement bouleversé par les changements climatiques. Enfin, certaines zones forestières sont situées au cœur des territoires de la nation autochtone huronne-wendate. Elles représentent à ce titre un patrimoine culturel exceptionnel.
L’érosion massive de la biodiversité, telle que confirmée par le récent rapport de l’IPBES, le "GIEC de la biodiversité", appelle à agir urgemment pour inverser la tendance, et par là-même également préserver les nombreux biens et services vitaux qu'elle nous fournit.
Via DocBiodiv
Le Conservatoire du littoral acquiert en moyenne 3.000 hectares par an pour restaurer et préserver des sites naturels d'intérêt écologique. Illustration sur un site en Camargue après des années d'activité intensive dédiées à la production de sel.
Objectif annoncé : zéro plastique rejeté en mer d’ici 2025. Date limite de candidature : 08/11/2019
L'actualité du développement durable avec Médiaterre, le système d'information mondial francophone pour le développement durable concourt à la mise en oeuvre du développement durable dans l'espace francophone par la diffusion et l'échange d'informations, et l'aide à la constitution de réseaux de coopération.
"C'est la première fois en France qu'une obligation réelle environnementale a été signée avec un propriétaire privé", annonce fièrement le Conservatoire d'espaces naturels Normandie-Ouest. La famille David, agriculteurs dans le Pays D'auge ornais, a engagé pour 50 ans sa propriété de 20 hectares dans un programme de préservation de la biodiversité : préservation des haies et des mares, non-utilisation de pesticides, absence de fauchage et de pâturage d'un côteau calcaire abritant l'Orchis grenouille, une espèce très rare d'orchidée. Par Laurent Radisson, 13.06.2019
Via Bernadette Cassel
Le rapport mondial alerte sur la disparition accélérée de la vie sauvage, sur la Terre comme au fond des océans, qui menace l’humanité.
La loi française considère les arbres comme des objets. Cette association entend changer la donne pour que leur soit reconnu le statut d'être vivant.
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Dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes (2021-2030), la restauration des écosystèmes est un levier mondialement reconnu pour lutter contre le dérèglement climatique et la perte de biodiversité. Pourtant, des débats persistent sur la forme que doivent prendre ces actions, partagés entre restauration active et ré-ensauvagement. Dans cette synthèse bibliographique parue dans Biological Reviews, une équipe internationale1 démontre que même si la restauration écologique et le ré-ensauvagement partagent le même objectif de régénération d’écosystèmes dégradés suite aux actions humaines, des différences existent cependant dans les démarches et moyens mis en œuvre.
Via DocBiodiv
Décryptage d’un nouveau règlement qui prévoit d’empêcher la mise sur le marché de l’Union européenne de produits associés à la déforestation et à la dégradation des forêts.
Pour certains pays, notamment en Afrique, gérer ces espaces, immenses et souvent isolés, se révèle être illusoire tant leurs moyens budgétaires et humains sont structurellement insuffisants.
Les réserves biologiques sont à la fois un outil de gestion spécifique et de protection règlementaire renforcée, permettant de protéger les espèces et les habitats remarquables ou représentatifs des forêts publiques. C'est un statut de protection spécifique aux forêts de l'État (domaniales) et aux forêts des collectivités (communes, départements, régions...). Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation "C'est un statut de protection spécifique aux forêts de l'État (domaniales) et aux forêts des collectivités (communes, départements, régions...). À ce titre, les réserves biologiques sont gérées par l'Office national des forêts (ONF). Les réserves biologiques font partie des espaces relevant prioritairement de la Stratégie de Création d'Aires Protégées, ayant pour objectif le classement de 2% du territoire terrestre métropolitain sous statut de protection réglementaire fort (les autres statuts concernés sont les réserves naturelles, les coeurs de parcs nationaux et les arrêtés préfectoraux de protection de biotope (APPB). Elles relèvent de la catégorie IV de l'UICN. - les Réserves biologiques dirigées (RBD) et les réserves biologiques intégrales (RBI) : ces deux types de réserves ont les mêmes fondements juridiques, leur différence réside dans les objectifs associés à chacune ;
- les Réserves biologiques dirigées (RBD) sont des espaces protégés en milieu forestier, ou en milieu associé à la forêt (landes, mares, tourbières, dunes), dans lesquels une gestion conservatoire visant la protection d'espèces et d'habitats remarquables ou menacés est mise en place ;
- les Réserves biologiques intégrales (RBI) sont des espaces protégés principalement en milieu forestier, laissés en libre évolution pour améliorer la connaissance du fonctionnement naturel des écosystèmes et permettre le développement d’une biodiversité associée aux arbres âgés et au bois mort (insectes rares, champignons…)."
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Via Bernadette Cassel
Le Contrat de Transition Ecologique du massif des Maures dans le Var, signé le 21 janvier, a pour fil rouge la réponse à l’urgence climatique. Axé plus particulièrement sur la préservation et l’exploitation durable de cette région dominée par la forêt, il fixe un calendrier et des objectifs précis.
Via VeilleGestionConnaissances
La sortie du premier guide qui prépare l'industrie de l'assurance à protéger les atouts uniques et inestimables de notre planète a été annoncée aujourd'hui. Le lancement a eu lieu lors d'un événement majeur organisé
La Directive Habitats-Faune-Flore (DHFF) prévoit un suivi dans le temps de l’état de conservation des espèces d’intérêt communautaire. En France, cette surveillance reste peu développée pour les invertébrés. Des protocoles nationaux sont proposés pour sept espèces de coléoptères saproxyliques rares ou à caractère « parapluie » : Stephanopachys linearis (Kugelann, 1792) et Stephanopachys substriatus (Paykull, 1800) (Bostrichidae), Cerambyx cerdo Linnaeus, 1758 et Rosalia alpina (Linnaeus, 1758) (Cerambycidae), Osmoderma eremita (Scopoli, 1763) (Trichiinae), Limoniscus violaceus (P.W.J. Müller,1821) (Elateridae) et Rhysodes sulcatus (Fabricius, 1787) (Rhysodinae). La DHFF définit quatre paramètres d’état de conservation : l’aire de répartition, la taille des populations, l’habitat d’espèce et les perspectives futures. À partir de la littérature sur l’écologie et la conservation de ces espèces et de l’expertise des auteurs sur les populations françaises, la réflexion a porté sur des protocoles économiquement et techniquement réalistes pour effectuer une veille à large échelle. Pour ces espèces rares et discrètes, les mesures directes des tailles de populations ne paraissent pas opérationnelles. Il est proposé de confirmer l’occupation des sites (voire de détecter de nouvelles localités) et de suivre les micro-habitats clés de chacune de ces espèces. Ce focus sur l’habitat d’espèce doit permettre de faire le lien avec les pressions et les mesures de gestion. Un recours à la modélisation et aux observatoires participatifs est envisagé pour préciser la distribution de certaines espèces. Il est préconisé de mobiliser des statistiques de l’inventaire forestier national en les affinant à l’échelle de la distribution de chaque espèce. Un tableau résume les propositions pour chaque espèce : paramètres visés, plan et unités d’échantillonnage, techniques et matériel, périodes favorables, possibilité d’impliquer les gestionnaires, périodicité des relevés, types d’indicateurs, éléments de coûts et perspectives de recherche. Ces propositions sont discutées en termes de moyens nécessaires et au regard des rares protocoles disponibles dans les pays concernés par ces espèces, notamment en Italie.
Retrouvez en téléchargement les résultats Liste rouge des évaluations du risque d'effondrement des écosystèmes en France. La Liste rouge des écosystèmes menacés en France désormais disponible sur l'INPN
Global Biodiversity Information Facility. Free and Open Access to Biodiversity Data. Le GBIF - Global Biodiversity Information Facility - est un réseau international et une infrastructure de recherche financés par les gouvernements du monde entier et visant à fournir à tous, partout dans le monde, un accès ouvert aux données sur tous les types de vie sur Terre.
Qu’appelle-t-on zone humide ? Quel rôle jouent-elles sur le climat mondial ? Quels dangers menacent leur équilibre ? Comment est évalué ce niveau de menace ? Comment les protéger et préserver la riche biodiversité qu’elles abritent ?
Via AgroParisTech Documentation Nancy
Les estuaires, entre fleuve et océan, sont des milieux sensibles aux changements globaux qui abritent une biodiversité emblématique parfois menacée. Les scientifiques d’Irstea observent ces écosystèmes depuis près de 40 ans et mènent de nombreux travaux pour les protéger et les restaurer.
Le pays figure parmi ceux qui hébergent le plus grand nombre d’espèces menacées au niveau mondial.
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