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Cet article présente une partie des résultats de l’expertise scientifique collective « Impacts des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversité et les services écosystémiques, Expertise scientifique collective Inrae-Ifremer » financée par l’Office français de la biodiversité (OFB) via le Plan Écophyto. Laure Mamy, Stéphane Pesce et Wilfried Sanchez en ont été co-pilotes scientifiques et Sophie Leenhardt cheffe de projet.
Via Les CAUE d'Île-de-France
Selon la vaste étude multi-modèle publiée dans Sience le 26 avril, la biodiversité mondiale pourrait avoir diminué de 2 % à 11 % au cours du 20e siècle en raison du changement d'occupation des sols induit par l'Homme. Les projections montrent que le changement climatique pourrait devenir le principal facteur de déclin de la biodiversité d'ici le milieu du 21e siècle. Publié le 25/04/2024
"Dirigée par le German Centre for Integrative Biodiversity Research (iDiv) et la Martin Luther University Halle-Wittenberg (MLU), cette analyse est la plus grande étude de modélisation de la biodiversité et des services écosystémiques de ce type à ce jour. Les chercheurs ont comparé pas moins de treize modèles pour évaluer l'impact du changement d'occupation des sols et du changement climatique sur quatre métriques distinctes de la biodiversité, ainsi que sur neuf services écosystémiques. [...]
Via Bernadette Cassel
La méthode ENCA consiste à mesurer l’état de santé des écosystèmes d’un territoire et de fournir une métrique comparable à celle de la « tonne équivalent CO₂ » dans la comptabilité du carbone.
Le Ministère de la transition écologique lance une enquête visant à recenser, à l'échelle du territoire national, les actions pouvant s'inscrire dans l'axe 3 du Plan National en faveur des pollinisateurs et de la Pollinisation. Pour rappel, cet axe a pour objectif de mobiliser les secteurs d’activités autres qu’agricoles, forestiers et apicoles et qui disposent néanmoins d’emprises foncières à enjeux pour les insectes pollinisateurs et la pollinisation.
Les auteurs d'une étude, publiée lundi dans la revue PNAS, ont recensé l'extinction de 73 genres. Ce phénomène aurait dû prendre 18 000 ans, et non 500.
Après Montréal, la prochaine étape importante concernera la publication des politiques nationales dans le domaine de la lutte contre le recul de la biodiversité marine et terrestre.
Réunis à Montréal jusqu’au 18 décembre 2022, scientifiques et responsables politiques doivent se mettre d’accord sur le nouveau cadre mondial de protection de la biodiversité terrestre et marine.
Au sommaire de cette édition : Comprendre : Analyse des causes de mortalité du lynx et du loup en France Changer : Vers la préservation du patrimoine mondial marin : entretien avec Audrey Azoulay, Directrice générale de l'Unesco Dossier : Trame noire : restaurer la nuit Agir : Sciences participatives, une puissante communauté de professionnels Se repérer : Le lagopède alpin, plus mobile qu’on ne le pensait
Via DocBiodiv
En France, depuis la seconde moitié du XIXème siècle, la surface de la forêt a considérablement augmenté. Mais, les haies et les arbres dans les villes ont eu plutôt tendance à disparaitre. Ils sont par ailleurs victimes de l’augmentation des températures et des périodes de déficit hydrique. Or, l’arbre est un facteur important pour le ralentissement du cycle de l’eau, la captation du carbone disponible dans l’air, la reconquête de la biodiversité ou la lutte contre les effets négatifs des périodes de canicule. C’est dans ce contexte que le CESER à travers une contribution qu’elle rendra mi 2021, souhaite analyser les enjeux et faire des propositions liées à la place et au rôle de l’arbre dans notre société.
Via Chambre d'agriculture de région Pays de la Loire
La formulation des risques associés à l’érosion de la biodiversité prend de l’ampleur dans les champs politique et scientifique. Plusieurs évènements nationaux et internationaux en 2020 et 2021 mettent en exergue l’importance de cet enjeu via la protection de la biodiversité et des territoires dits naturels. Pourtant, les stratégies nationales ou internationales sont peu convaincantes, d’un point de vue écologique, social, politique ou juridique. Deux colloques organisés à l’automne 2020, l’un par l’Association pour l’histoire de la protection de la nature et de l’environnement, l’autre par la Fondation pour la recherche sur la biodiversité, ont permis de dresser un panorama des recherches et des problématiques actuelles, ainsi que de discuter des enjeux politiques, nationaux et internationaux, de la protection de la nature de façon interdisciplinaire.
Dans le cadre de la série consacrée à l’océan, la mer, les littoraux…, lancée en juillet-août 2020, le biologiste Gilles Boeuf nous alertait, dans notre précédent numéro (440, janvier-février 2021), sur l’importance de la biodiversité marine et les risques que faisait peser sur elle le changement climatique. Prolongeant cette série et cette mise en garde de Gilles Boeuf, l’article de Benoît Labbouz, Sarah Lumbroso, Isabelle Vial et Denis Lacroix présente ici les enseignements d’un exercice de prospective tenu en 2020 sur la préservation de la biodiversité à l’horizon 2050, dans le cadre d’un projet de recherche-action associant l’Office français de la biodiversité et AgroParisTech. Six visions de l’état et de la prise en charge de la biodiversité en France métropolitaine à l’horizon 2050 ont été construites et sont ici déclinées, pour notre série, afin d’aborder spécifiquement les enjeux de la biodiversité marine. Après un rappel des éléments de cadrage et de la méthodologie, cet article présente ces six visions et une première série d’enseignements qui interpellent les acteurs du domaine de l’environnement au regard des enjeux, des leviers et des options envisageables pour améliorer l’état de la biodiversité. S.D.
Ce Livre blanc pour la biodiversité est le fruit d’un travail engagé depuis plusieurs mois qui s’inscrit dans la perspective de la prochaine Stratégie nationale pour la Biodiversité 2021-2030, qui fera suite au Congrès Mondial de l’UICN et de la 15e COP pour la biodiversité. Les 14 associations sont : ANPCEN | ASPAS | FERUS | France Nature Environnement | FNH | Humanité & Biodiversité | LPO | OPIE | SFDE | SFEPM | SHF | SNPN | Surfrider | WWF "Compte tenu de l’actualité, nos 14 associations de connaissance, protection et éducation à la biodiversité ont intégré, dans leurs analyses et leurs propositions d’actions, la crise sanitaire en la replaçant dans une perspective plus globale et systémique et en soulignant les responsabilités humaines. Elles proposent d’en tirer toutes les conséquences et tous les enseignements, et formulent des pistes de transformation et d’actions pour exposer une autre vision du monde, de nos sociétés et de l’économie afin que nature vive, humains compris, seule manière d’éviter qu’adviennent d’autres crises de même ampleur." ___________________________________________________________________
AJOUT au 06.12.2020
→ Pour que vive la Nature ! OPIE, 06.12.2020 http://www.insectes.org/actualites/informations-insectes.html?idpage=783&art=909
Via Bernadette Cassel
Une publication de l’UNESCO en date du 20 mai 2020, relate l’importance du rôle des abeilles au sein de la biodiversité. Les abeilles sont des pollinisateurs et des producteurs de miel. Cependant, les activités de pollinisation des abeilles et la reproduction des plantes sauvages notamment permit par la pollinisation, sont menacées par l’activité humaine. La préservation des abeilles et de leurs écosystèmes est primordiale. Comme l’évoque la publication, des évaluations faites révèleraient une menace élevée sur certaines espèces d’abeilles et de papillons.
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Face à l’érosion de la biodiversité et aux impacts du changement climatique, nous avons tous envie de nous retrousser les manches pour sauvegarder la nature. Accueillir la biodiversité, la préserver, concevoir des espaces plus résilients sont aujourd'hui des préoccupations présentes dans toutes les consciences, qui laissent émerger un grand nombre de conseils, concepts et innovations pour y parvenir. Pourtant, certaines de ces réponses ne sont pas toujours adaptées aux problèmes, voire s'avèrent contreproductives à long terme. Pour vous aider à mieux comprendre pour bien agir, ce cycle de webinaires vous fera découvrir certaines fausses bonnes idées les plus répandues, qui ne sont en réalité ni écologiques ni économiques. - 3 octobre 2024 | 14 h - 16 h
Les microforêts urbaines Inscription - 4 au 8 novembre 2024 | 14 h - 16 h
Les aménagements pour la petite faune
Pourquoi l’effondrement de la biodiversité est un sujet si important ? Comment notre rapport à la nature peut nous aider à lutter contre le changement climatique ? Comment préserver le vivant tout en rendant nos vies meilleures ? Nabil Wakim Publié le 26 mars 2024 "Sandra Lavorel est directrice de recherche CNRS au Laboratoire d'écologie alpine, à Grenoble. Elle a reçu en 2023 la médaille d’or du CNRS pour ses travaux d’écologue. Elle travaille depuis plus de 20 ans avec des spécialistes de toutes disciplines sur la question des services écosystémiques. Comprendre les services que nous rend la nature va nous encourager à mieux la protéger, explique la chercheuse Sandra Lavorel, médaille d’or du CNRS 2023, dans cet épisode du podcast « Chaleur humaine »."
Via Bernadette Cassel
Les pays de l'Amazonie, du bassin du Congo, du Mékong et de Bornéo se réunissent pour faire front commun et protéger leurs forêts, qui renferment les trois quarts de la biodiversité mondiale.
De nombreux jardiniers les détestent à cause de leur présence envahissante, mais les mousses savent se défendre. Apparues sur Terre avant les dinosaures, ces minuscules plantes ont de quoi captiver. “Die Zeit” nous présente quelques échantillons de leur extraordinaire biodiversité.
Via Les CAUE d'Île-de-France
La protection des zones humides joue un rôle clé dans l’adaptation des oiseaux au changement climatique. Pourtant, nombre d’entre elles ne sont toujours pas protégées.
Le statut d'espèce protégée entraîne en France une protection forte mais non absolue. Des dérogations peuvent être délivrées pour mener certains projets d'aménagement au nom de la « raison impérative d'intérêt public majeur », mais s'exposent alors aux recours des associations et au contrôle du juge administratif. La rose de France, le crapaud calamite, le crapaud commun, la grenouille agile et la rainette méridionale ont porté un coup d'arrêt définitif au projet de construction du centre commercial Val
La Gironde, théâtre malheureux d’incendies ravageurs cet été, a vu partir en fumée quelques 30 000 hectares de ses forêts. Que reste-il aujourd’hui de ces espaces dévastés et qu’en est-il des espèces animales touchées elles aussi par la catastrophe ?
Via DocBiodiv
Les ministres européens de l'Environnement ont réaffirmé leur ambition de « ramener la nature dans nos vies et faire en sorte que la biodiversité de l'Europe soit sur la voie du rétablissement d'ici 2030 ». Réunis les 24 et 25 février derniers
La formulation des risques associés à l’érosion de la biodiversité prend de l’ampleur dans les champs politique et scientifique. Plusieurs évènements nationaux et internationaux en 2020 et 2021 mettent en exergue l’importance de cet enjeu via la protection de la biodiversité et des territoires dits naturels. Pourtant, les stratégies nationales ou internationales sont peu convaincantes, d’un point de vue écologique, social, politique ou juridique. Deux colloques organisés à l’automne 2020, l’un par l’Association pour l’histoire de la protection de la nature et de l’environnement, l’autre par la Fondation pour la recherche sur la biodiversité, ont permis de dresser un panorama des recherches et des problématiques actuelles, ainsi que de discuter des enjeux politiques, nationaux et internationaux, de la protection de la nature de façon interdisciplinaire.
Des chercheurs ont rédigé une étude dans laquelle ils déclarent comment assurer la sauvegarde des récifs coralliens dans les prochaines décennies. Pour limiter des pertes, dommageables pour la biodiversité et les hommes, de grands moyens scientifiques, politiques et financiers devront être déployés.
La Délégation sénatoriale aux outre-mer, en partenariat avec l’Office français pour la biodiversité, organise un colloque sur les biodiversités ultramarines du bassin de l'océan Indien. Ce colloque est le dernier volet du cycle de conférences sur les biodiversités ultramarines initié par le Président Michel Magras en 2017. Il s'inscrit dans la perspective de l'organisation du Congrès mondial de la nature de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui devrait se tenir du 3 au 11 septembre 2021 à Marseille.
Transitions entre les milieux aquatiques et terrestres, corridors écologiques pour le déplacement de nombreuses espèces, refuge de biodiversité... les ripisylves ont un rôle majeur pour la connectivité écologique des territoires. Cette note apporte des éléments pour mieux comprendre l'intérêt de préserver ces milieux et favoriser une meilleure prise en compte de la connectivité écologique dans l’aménagement et la gestion des berges de cours d’eau.
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