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Des tonnes de déchets s’accumulent dans les mers et les océans chaque année. Mieux localiser cette pollution pourrait permettre de lutter contre elle.
Depuis plus de 50 ans, les écologues se questionnent sur les causes derrière la stabilité des écosystèmes. Est-elle le fruit de l’interaction entre une grande variété d’espèces, comme l’indiquent les théories les plus anciennes ? Ou bien, peut-elle être à l’origine de bouleversements et d’extinctions d’espèces ? Ian Hatton, chercheur associé au Département des sciences de la terre et des planètes de l’Université McGill, apporte des éléments de réponse dans une récente étude.
Via DocBiodiv
Les tourbières sont des zones humides encore relativement méconnues. Cet ouvrage nous invite à découvrir celles des hautes terres du Massif central, des confins de la Norvège et de la Russie, de la Terre de Feu argentine, de Guyane, en passant par les tourbières du massif de la Soufrière en Guadeloupe, des Açores, d’Europe centrale et bien d’autres.[...] Ce livre est né d’une volonté de faire connaître les tourbières auprès d’un public non spécialiste, mais curieux de découvrir cet écosystème peu familier. Il intéressera également les gestionnaires des zones humides, les étudiants et les naturalistes.
Pourquoi l’effondrement de la biodiversité est un sujet si important ? Comment notre rapport à la nature peut nous aider à lutter contre le changement climatique ? Comment préserver le vivant tout en rendant nos vies meilleures ? Nabil Wakim Publié le 26 mars 2024 "Sandra Lavorel est directrice de recherche CNRS au Laboratoire d'écologie alpine, à Grenoble. Elle a reçu en 2023 la médaille d’or du CNRS pour ses travaux d’écologue. Elle travaille depuis plus de 20 ans avec des spécialistes de toutes disciplines sur la question des services écosystémiques. Comprendre les services que nous rend la nature va nous encourager à mieux la protéger, explique la chercheuse Sandra Lavorel, médaille d’or du CNRS 2023, dans cet épisode du podcast « Chaleur humaine »."
Via Bernadette Cassel
Cet ouvrage dédié à la forêt tempérée présente de façon pédagogique un panorama complet des connaissances nécessaires pour aborder les milieux forestiers. Il traite successivement des caractères généraux de la forêt, de sa dynamique spatiotemporelle, de sa biodiversité sous l’angle de réseaux d’interactions, et la prise en compte de la biodiversité dans la gestion. De nombreux exemples concernant les forêts françaises sont détaillés. De nombreux schémas en couleurs permettent de rendre accessibles les processus écologiques parfois complexes. Un carnet central décrit les différentes facettes de la biodiversité et présente le rôle de 11 taxons forestiers communs dans la structuration et le fonctionnement de l’écosystème.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Dans un article publié dans la revue Nature Ecology and Evolution, Jeremy Borderieux, doctorant au sein du laboratoire Silva (UMR AgroParisTech, INRAE, Université de Lorraine), apporte des résultats inédits au niveau international sur l’adaptation de la végétation forestière au changement climatique.
Via AgroParisTech Documentation Nancy
Le bras de fer se poursuit autour de la loi européenne sur la restauration de la nature. Le texte rassemble contre lui des élus d’extrême-droite et d’une partie de la droite, ainsi que de nombreux lobbys. Alors qu’un accord semblait entériné, le retrait surprise de la Hongrie bloque l’adoption du texte.
Pour répondre aux défis des forêts, la science ne doit plus seulement les considérer comme des objets technico-administratifs, mais comme des pourvoyeurs de services économiques et écosystémiques.
Favoriser la biodiversité dans les forêts peut par exemple considérablement atténuer les conséquences du changement climatique sur le recyclage du carbone et de l’azote, un processus indispensable au bon fonctionnement des écosystèmes forestiers et au stockage naturel du carbone dans les sols. Issu de la décomposition de la matière organique (feuilles et plantes mortes) par des microorganismes et la faune du sol, ce processus est ralenti dans des conditions climatiques plus sèches, telles qu’induites par le changement climatique.
Via DocBiodiv
Loin d’être un espace vide, délaissé, un « bidonville » du sauvage, la friche est un écosystème complexe qui connaît plusieurs métamorphoses, la vie rejaillissant des décombres. Elle peut être le lieu où s’inventent de nouvelles alliances entre vivants.
Via FNCAUE, FR2007 CIST
Les centaines de tracteurs dans les rues de Bruxelles ou sur les autoroutes espagnoles n’auront pas réussi à faire plier les eurodéputés. Ils ont adopté la loi sur la restauration de la nature mardi 27 février, malgré le rejet d’une partie de la droite et de l’extrême-droite. Un vote décisif pour ce texte-clé du Pacte vert, qui doit permettre de restaurer la biodiversité sur le continent.
TRIBUNE. La bonne santé des sols est indispensable pour assurer la pérennité de notre système agricole dans un contexte de changement climatique, alerte, dans une tribune au « Monde », un collectif d’agronomes, d’écologues et de responsables associatifs.
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Quatre parties composent cette série d’articles : les problématiques de l’eau, la complexité de la gouvernance, l’action locale et une partie conclusive
Via VeilleGestionConnaissances
En visitant douze sites délaissés par l’être humain, la journaliste écossaise Cal Flyn témoigne de leur vigueur écologique et de la résilience de la nature.
Via AgroParisTech DOC IST
Les contributions « matérielles » de la nature sont souvent favorisées aux dépens d’autres contributions tout aussi essentielles, engendrant des injonctions contradictoires.
La facture des inondations est élevée. Comment limiter la casse ? Les solutions basées sur la nature sont en tout cas privilégiées par la population par rapport à celles basées sur le génie civil.
L’Occitanie s’implique dans le programme européen Life (L’Instrument Financier pour l’Environnement) au travers du projet Life Biodiv’Paysanne. Prévu pour six années, le projet a pour but la restauration des espaces naturels et la protection de la biodiversité sur les sites naturels et les espaces agricoles de la région. Lancé en 2021 jusqu’à l’horizon 2027, le projet possède de nombreux partenaires tels que Solagro, les Conservatoires d’Espaces Naturels et l’association Terres de Liens. Explications à mi-parcours avec Mélanie Némoz, coordinatrice du projet.
Via Chambre d'agriculture de région Pays de la Loire
Pour la première fois, la Liste rouge des espèces menacées en France s’est portée sur les champignons, explorant la situation des bolets, des lactaires et des tricholomes. Parmi les 319 espèces recensées dans ces trois groupes sur le territoire métropolitain, 12 espèces sont menacées, tandis que 16 autres apparaissent quasi menacées.
Via DocBiodiv
Trois types d'actions locales en faveur de la biodiversité bénéficieront en priorité du Fonds verts, récemment amputé de 400 millions d'euros, durant l'année 2024. C'est ce qui ressort d'une circulaire adressée, le 14 mars, aux préfets par le ministre de la Transition écologique et le secrétaire d'État à la biodiversité.
Via AgroParisTech DOC IST
Miser sur des essences plus résilientes ne sera peut-être pas suffisant pour préserver les forêts des effets du réchauffement climatique. Deux études parallèles, menées par des chercheurs français du Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive (Cefe) et des équipes allemandes et chinoises, attestent qu'une grande diversité végétale est nécessaire pour maintenir le bon état du sol dont elles dépendent.[...]
L’ONB nous renseigne sur l’état de la biodiversité des forêts dans l’Hexagone et en Outre-mer, sur les pressions anthropiques qui s’exercent sur elle ou encore sur les mesures de protection et de restauration mises en place par la société. Si seulement 18 % des habitats forestiers d’intérêt communautaire évalués entre 2013 et 2018 sont dans un état de conservation considéré comme favorable, quelques signaux positifs sont mis en exergue. Par exemple, le volume de bois mort favorable à la biodiversité a augmenté lors de la dernière décennie, tout comme la présence régulière de grands prédateurs (ours brun, loup gris et lynx), en hausse depuis 20 ans.
Via DocBiodiv
Le sol ne se limite pas à une simple surface que l'on foule. Vivant, actif, sensible et fragile, il constitue un écosystème à part entière, qui nous rend bien des services. Siège d'une intense activité biologique, il doit être considéré comme une ressource non renouvelable, dont nous ne disposons qu'en très faible quantité.
Cette vie cachée est pourtant méconnue et peu prise en compte. Pression des activités urbaines, agricoles, forestières et industrielles, manque de réglementation visant la protection des sols… provoquent des dégradations importantes et parfois irrémédiables.
Via CDI ENILV La Roche-sur-Foron
Les digues, brise-lames et autres ouvrages en dur n’ont rien d’une panacée. Les solutions fondées sur la nature aussi ont de sérieux atouts pour l’adaptation du littoral français au climat.
Le guide du Cerema portant sur les espèces exotiques envahissantes (EEE) et les infrastructures linéaires de transport (ILT), coordonné par Christophe Pineau et co-piloté par le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT) et le bureau de l’environnement de la DGITM/sam4, a été publié fin 2023. L’objectif de ce guide est de mettre à disposition l’ensemble des connaissances sur la thématique, en faisant référence à des documents existants, notamment à ceux de Centre de ressources EEE. Le guide du Cerema portant sur les espèces exotiques envahissantes (EEE) et les infrastructures linéaires de transport (ILT), coordonné par Christophe Pineau et co-piloté par le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT) et le bureau de l’environnement de la DGITM/sam4, a été publié fin 2023.
Via Bernadette Cassel
Le concept de « solutions fondées sur la Nature » (SfN) prend de l’ampleur depuis les années 2010 dans les arènes internationales, mais également dans de nombreux territoires nationaux et infranationaux. Dans le domaine des risques liés à l’eau (en particulier les sécheresses et les inondations), les SfN semblent aller de pair avec l’écologisation des politiques publiques. Elles sont présentées comme permettant des projets plus adaptatifs, moins onéreux, et définis de manière moins technocratique que les infrastructures dites « grises » comme les barrages, les retenues, ou les endiguements. Selon leurs promoteurs, ces solutions contribuent à la prévention des risques liés à l’eau, tout en étant bénéfiques à la biodiversité. Au-delà de la définition officielle proposée par l’IUCN, que sont en pratique, sur le terrain, les SfN? [...] Joana Guerrin, Sara Fernandez, Ludovic Drapier, Anna Serra-Llobet et Catherine Roche, « Que font les solutions fondées sur la nature aux politiques de gestion des risques liés à l’eau ? », Développement durable et territoires [En ligne], Vol. 14, n°2 | Octobre 2023, mis en ligne le 30 octobre 2023, consulté le 06 mars 2024. URL : http://journals.openedition.org/developpementdurable/22788 ; DOI : https://doi.org/10.4000/developpementdurable.22788
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