Economie Responsable et Consommation Collaborative
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Les sodas énergisants épinglés par l’ANSES

Les sodas énergisants épinglés par l’ANSES | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Après les sodas classiques, c’est au tour des sodas énergisants de passer sous la loupe de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation (ANSES). Et les résultats de son étude n’annoncent rien de bon. Pour être « énergisantes », ces boissons - devenues très populaires depuis leur commercialisation en France en 2008 - sont enrichies avec de fortes doses de substances excitantes comme la taurine, la caféine, le ginseng, le guarana, des vitamines … Rien que par son contenu en caféine, une cannette de 250ml de soda énergisant équivaut à environ deux expresso et plus de deux canettes de coca.

 

 

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Les boissons sucrées seraient à l'origine de 180.000 décès dans le monde

Les boissons sucrées seraient à l'origine de 180.000 décès dans le monde | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it
Diabète, crise cardiaque ou cancer: les boissons sucrées seraient à l'origine de 180.000 morts dans le monde selon une enquête américaine financée par la Fondation Bill Gates.

Via Hubert MESSMER
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Les Australiens n’aiment plus le Coca

Les Australiens n’aiment plus le Coca | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it
La firme multinationale s’est mis à dos la population australienne suite à une péripétie judiciaire à propos de consignes.

 

Dans la région australienne du Territoire du Nord, les autorités locales ont voulu instaurer un système de consigne : chaque bouteille, carton ou canette ramené vide à un dépôt vaudrait 10 centimes de dollar australien (7 centimes d’euro) à son propriétaire. Une initiative visant à encourager le recyclage donc, déjà mise en place en Australie Méridionale depuis plusieurs années, avec succès. Elle est même très bien accueillie par le public australien, il n’y a qu’à voir les chiffres des utilisateurs réguliers.

Sauf que la compagnie Coca Cola Australie n’a pas trouvé ça normal : ses clients allaient payer 10 centimes de dollar australien de plus par bouteille et perdre ainsi du pouvoir d’achat ! Quelle injustice avec 7 centimes d’euro pourtant reversés au retour de la bouteille. La multinationale a donc décidé de porter l’affaire devant les tribunaux et le verdict vient de tomber : Coca Cola gagne et le Territoire du Nord est contraint d’annuler le projet.

 

S’en suit depuis une vaste campagne de boycott national. Les réseaux sociaux se déchaînent et la multinationale s’est vue appeler les flics pour éviter de faire déverser des déchets à l’entrée de ses bureaux du Nord de Sydney. Il faut dire qu’à l’heure de l’écologie mondialisée, du pic pétrolier et d’une prise de conscience générale plus forte que jamais sur l’existence de nouvelles îles paradisiaques, faire interdire une initiative de recyclage est franchement osé.

Il est donc déconseillé d’acheter toute boisson appartenant au groupe américain Coca Cola lors de votre prochaine visite en Australie, vous risqueriez d’y laisser une dent ou deux.

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Sucre et sodas (épisode 2) : Pepsi abandonne l’aspartame pour la stévia

Sucre et sodas (épisode 2) : Pepsi abandonne l’aspartame pour la stévia | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Décidément, le sucre a mauvaise presse en ce moment. C’est le cas aussi pour l’aspartame, cet édulcorant artificiel utilisé dans bon nombre de produits, dont les sodas et autres boissons sucrées. Résultat : les consommateurs se tournent vers des produits moins sucrés et  vers des agents sucrants qui semblent plus naturels comme l’agave ou la stévia. Cette plante amazonienne a un pouvoir sucrant 300 fois supérieur au sucre classique, pour zéro calorie. Des arguments qui ont convaincu Pepsi : la marque lancera en mars 2013 « Pepsi Next », une nouvelle boisson contenant 30% de sucre en moins qu’un cola classique, mais surtout de la stévia pour donner du goût à la boisson. Avec ce lancement annoncé en grande pompe à coup de spots publicitaires et de distribution d’échantillons, la marque de boissons américaine entend bien rebooster ses ventes, alors que les consommateurs boudent les rayons des colas classiques ou même lights... et que les boissons sucrées sont désormais taxées sur le marché français. D’autres marques se sont positionnées sur ces questions : Orangina Schweppes remplace désormais l’aspartame de ses boissons par du sucralose, un édulcorant artificiel ne faisant pour l’instant pas l’objet de polémique ; et Système U a également supprimé cet ingrédient de ses boissons gazeuses. Quant à Fanta Still, elle est depuis 2010 à base de stévia, cependant que sa maison-mère, le groupe Coca-Cola, vient enfin de se décider à aborder – mais sur la pointe des pieds – la question de la teneur en sucre de ses boissons, et du lien éventuel avec l’obésité croissante.

 

 

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