Larva, Pupa or Adult? The Female of Platerodrilus Case (Coleoptera: Lycidae)
by Kirill Vladimirovich Makarov et al.
Published: 2 December 2022
Diversity 2022, 14(12), 1063; https://doi.org/10.3390/d14121063
(This article belongs to the Special Issue Mega-Diversity of Beetle Species—Perspective on Taxonomy, Systematics, Morphological Evolution and Zoogeographical Patterns of Coleoptera (Arthropoda, Insecta))
[Image] Platerodrilus svetae. (A)—female, general view, dorsally; (B)—same, ventrally; (C)—same, part of pronotum dorsally, showing two layers of cuticle; (D)—male (length: 9 mm). Scale bar—5 mm.
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NDÉ
Traduction via DeepL
L'anatomie et les organes génitaux d'une femelle larviforme ont été étudiés pour la première fois dans la famille des Lycidae. La structure de l'exosquelette et de l'endosquelette d'une femelle Platerodrilus n'est pas très différente de celle de sa larve, les appendices génitaux externes étant à peine différenciés.
L'appareil reproducteur comprend une spermathèque non appariée, des oviductes et des ovaires appariés. La structure du tégument est également particulière, avec deux couches de cuticule dont la structure diffère. D'autre part, le labrum et les mandibules ne ressemblaient pas du tout à ceux des larves : le labrum n'était pas divisé et les mandibules étaient entièrement métamorphosées.
Cette étrange combinaison de caractères morphologiques peut être interprétée de deux manières. Tout d'abord, on peut émettre l'hypothèse qu'il s'agit d'une nymphe. Cependant, ses appendices génitaux sont plus simples que ceux des nymphes "normales" de Lycidae ; les ailes ou leurs rudiments sont complètement absents ; il y a très peu de caractéristiques de la morphologie imaginale dans la structure externe.
Nous proposons donc une autre hypothèse : il s'agit du stade précédant la nymphe, que Hinton (1946) désigne sous le nom de "prepupa".
Mots-clés :
Coleoptera ; Lycidae ; Platerodrilini ; morphologie ; anatomie larvaire et imaginale ; région orientale
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