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Pourquoi la nature nous fait du bien, les scientifiques expliquent

Pourquoi la nature nous fait du bien, les scientifiques expliquent | EntomoNews | Scoop.it
Des études de plus en plus nombreuses se penchent sur l’apport essentiel de l’environnement naturel à notre bien-être physique et psychique.

 

Par Alix Cosquer , 06.05.2018

 

En 2015, un sondage réalisé dans le cadre de la Fête de la nature révélait que 96 % des Français interrogés percevaient la nature comme un « lieu de bien-être et de ressourcement ».

 

Aujourd’hui, l’avalanche de livres à ce sujet – entraînés par le best-seller La Vie secrète des arbres de Peter Wohlleben (2017) –, la sylvothérapie (se ressourcer en forêt) qui réunit de plus en plus d’adeptes ou encore la multiplication des salons « nature et bien-être » sont tout autant de signes que nous ressentons un besoin de vert dans nos vies de plus en plus urbanisées.

 

Alors que l’hypothèse d’un lien entre le bien-être humain et la nature est depuis longtemps admise, des recherches menées dans des domaines d’étude aussi variés que la médecine, la psychologie, ou encore les sciences cognitives valident effectivement cette théorie. Il faut aussi prendre en compte les bouleversements sociaux et environnementaux des dernières décennies qui impactent la nature et nos relations avec elle.

 

Récemment, des chercheurs ont dressé un panorama des différents axes de recherche explorés et des résultats autour de la thématique du bien-être humain et de la nature. La notion de bien-être, telle qu’entendue ici, ne se rapporte pas seulement à la santé, en tant qu’absence de maladie, mais désigne plus généralement un état physique, mental et social de bien-être." 

 

La nature comme remède

"Être au contact de la nature favorise notre bien-être physique et psychologique.

Plusieurs études observent une réduction du stress et de la dépression, favorisée par l’environnement naturel et, à l’inverse, une amélioration de l’estime de soi, du sentiment de bonheur ou encore de la créativité."

(...)

 

 

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SUJET PROCHE :

→ On a coupé les enfants de la nature
https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/05/04/on-a-coupe-les-enfants-de-la-nature_5294128_3232.html

 

Bernadette Cassel's insight:

 

 

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Les sadiques sont parmi nous

Les sadiques sont parmi nous | EntomoNews | Scoop.it

Ce lien n'est plus valide. Accès à un contenu équivalent :

→ Billet SADIQUE sur Colibris - Colibris
http://colibris.ning.com/profiles/blogs/billet-sadique-sur-colibris

 

Publié par JF@ le 14 septembre 2013

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Ancien contenu :

 

"Reprenons la définition du sadique. Le Larousse indique qu'il s'agit d'une personne qui prend du plaisir à faire souffrir. Généralement, les humains sont faits de telles sortes qu'ils ont tendance à éviter d'infliger de la douleur à leurs congénères."

 

[...]

 

Le test sur les "insectes" utilisait un moulin à café assez bruyant de façon à renforcer l'horreur d'écraser les "insectes". Chaque cloporte attendait dans une tasse sur laquelle on avait marqué son nom. Les expérimentateurs devaient poser les "insectes" dans le moulin, fermer le couvercle et moudre les "insectes". La seule chose qui leur était cachée est que l' "insecte" était en réalité épargné et que le son produit n'était pas réel.

 

[...]

 

 

[Image] Cloporte — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cloporte

 

"... Les cloportes sont les seuls crustacés entièrement terrestres."

Bernadette Cassel's insight:

Contenu similaire au contenu d'origine :

 

Le Larousse indique que le sadique est une personne qui prend du plaisir à faire souffrir !

 

Généralement, les humains sont faits de telles sortes qu'ils ont tendance à éviter d'infliger de la douleur à leurs congénères. En faisant du mal aux autres, nous ressentons de la culpabilité, ne serait-ce que par empathie. Pourtant certaines personnes ressentent un certain plaisir à infliger de la peine aux autres. Ce comportement pourrait être plus commun qu'on ne le pense. La partie obscure d'une personnalité, voilà le sujet d'étude de psychologues américains. Leur hypothèse est que le sadisme fait partie d'un groupe de 4 piliers avec le narcissisme, le machiavélisme et la psychopathie. Pour travailler sur cette hypothèse, ils ont regroupé 71 personnes volontaires pour un test. Officiellement, le sujet était « personnalité et tolérance dans le cadre du travail ». Lors de ce test, on a demandé aux participants de choisir parmi différentes tâches à exécuter. Ces tâches n'étaient plaisantes pour personne, mais il fallait choisir : tuer des insectes (des crustacés, pour être exact), aider quelqu'un à tuer des insectes, nettoyer des toilettes, ou alors endurer une douleur due à de l'eau glacée.

 

Le test sur les insectes utilisait un moulin à café assez bruyant de façon à renforcer l'horreur d'écraser les insectes. Chaque cloporte attendait dans une tasse sur laquelle on avait marqué son nom. Les expérimentateurs devaient poser les insectes dans le moulin, fermer le couvercle et moudre les insectes. La seule chose qui leur était cachée est que l'insecte était en réalité épargné et que le son produit n'était pas réel. Sur les 71 personnes, 12,7% ont choisi d'avoir très froid, 33,8% ont choisi de nettoyer les toilettes, 26,8% ont choisi d'aider à tuer les insectes et 26,8% ont choisi d'écraser les cloportes. Ça n'étonnera personne, mais les personnes qui ont choisi de trucider les cloportes sont celles qui se sont révélées être les plus sadiques du groupe. Même en prenant d'autres facteurs en compte, comme la peur des insectes, la sensibilité ou des éléments comme le narcissisme, c'est le côté sadique qui a commandé ce choix. Et cela concernait un peu plus du quart des participants.

 

Suite aux tests, les expérimentateurs ont répondu à un questionnaire. Le plaisir des sadiques aux insectes est supérieur au plaisir des autres testeurs. Il apparait même que plus le nombre d'insectes écrasés est élevé plus le plaisir est grand. Ce dernier point indiquerait que le cerveau applique un processus de récompense à chaque insecte tué. Il apparait donc que les sadiques ont une motivation interne à infliger du mal aux autres quitte à ce que cela leur coute. Les psychologues, auteurs de l'étude, insistent sur le fait qu'on doit prendre en compte le potentiel sadisme des personnes que l'on gère dans une équipe, par exemple.

 

Il n'y parait pas mais les sadiques sont parmi nous.

 

http://pss.sagepub.com/content/early/2013/09/09/0956797613490749.ab...

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Psychologie et nature

Psychologie et nature | EntomoNews | Scoop.it

"« S’envisager comme quelqu’un ayant le pouvoir et l’envie de faire quelque chose pour la nature, c’est déjà faire un premier pas vers sa protection » Ces termes sont ceux de la professeure américaine Susan Clayton, psychologue et spécialiste de l’environnement, en visite dans notre laboratoire Cesco.

En tant que chercheuse en psychologie, Susan travaille sur une spécialité peu répandue en France, la psychologie de la conservation.".

(...)

 

Observer la nature : un premier pas pour la protéger ? Par Lisa Garnier, Vigie Nature, 13.06.2016

 

"... l’année dernière elle a publié avec plusieurs collègues un article portant sur les recherches en psychologie lié à un thème bien connu dans la conservation de la biodiversité : le changement climatique (ici). Pour elle, il est important de comprendre la perception du public sur le changement climatique afin d’éviter des décisions politiques qui pourraient s’avérer inefficaces en raison d’incompréhensions sur les comportements humains."

 

[Image] UMR 7204 : CESCO - Centre d'Ecologie et des Sciences de la Conservation http://cesco.mnhn.fr/

 

→ Psychological research and global climate change : Nature Climate Change, 24.06.2015 http://www.nature.com/nclimate/journal/v5/n7/full/nclimate2622.html

                                                 

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