Cet article a été publié récemment dans la revue Ecology and Evolution. Ces travaux sont issus d’une collaboration entre l’OFB, l’IFREMER et la Tour du Valat. Ils montrent qu’il n’existe aucun élément tangible suggérant que les chasseurs prélèvent les individus selon leurs caractéristiques morphologiques, même de manière non-intentionnelle.