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There are growing calls for conservation frameworks that, rather than breaking the relations between people and other parts of nature, capture place-based relationships that have supported social–ecological systems over the long term. Biocultural approaches propose actions based on biological conservation priorities and cultural values aligned with local priorities, but mechanisms that allow their global uptake are missing.
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Dans de nombreuses études sur la pollinisation des cultures, seules les abeilles sont considérées. Pourtant on estime que 25 à 50 % des grandes cultures sont pollinisées par des insectes non-abeilles. En effet, de nombreuses autres espèces d’insectes comme les coléoptères (par exemple les scarabées) et diptères (par exemple les syrphes), mais aussi des chauve-souris et oiseaux pourraient être impliquées dans la pollinisation des cultures, en particulier sous les tropiques.
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Sous influence de la pollution à l'ozone, les abeilles ne font plus la distinction entre les odeurs de fleurs qu'elles ont apprises et d'autres odeurs florales non-apprises...
La pollinisation des plantes par les insectes est un service écologique gratuit et indispensable qui contribue au maintien de la biodiversité. Elle joue un rôle économique important pour la société en étant un acteur actif dans la production de nourriture. Cependant, la pollution de l'air en milieu rural ou urbain semble réduire ce processus naturel. Pourquoi ?
Via Hubert MESSMER
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Les scientifiques ont mis au point une nouvelle manière de mesurer les particules de plastique en suspension dans l’air. La question est maintenant de savoir si elles nuisent aux abeilles.
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Une équipe internationale de chercheurs vient de dévoiler dans la revue Current Biology la première carte de la diversité des abeilles dans le monde. Plus c'est rouge foncé, plus il y a d'espèces variées. Par Léia Santacroce - Publié le 24/11/2020 à 13h12
Via Bernadette Cassel
Comme pour l’humain, la biodiversité est un facteur protecteur de maladies chez les abeilles, révèle une étude publiée lundi 20 juillet dans Nature Ecology & Evolution. Selon ces travaux, la présence de nombreuses espèces de bourdons et abeilles est liée à une moindre présence de maladies parasitaires.
Via Hubert MESSMER
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La médiatisation des abeilles, et notamment de leur déclin, permet à de nombreuses personnes de prendre au sérieux les dangers qui les guettent. Cela pourrait être un outil majeur dans les politiques de conservation de ces insectes pollinisateurs.
La conservation de la diversité des espèces de pollinisateurs pourrait être cruciale pour tamponner les changements des écosystèmes engendrés par le changement climatique. Afin d'évaluer l'état de cette diversité, Tom Van Dooren, de l'Institut d'écologie et des sciences de l'environnement de Paris (IEES - CNRS / Sorbonne Université / Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne / INRA / IRD / Université Paris Diderot), a analysé 73 années de données sur la richesse spécifique des abeilles présentes aux Pays-Bas. Son constat: le nombre d'espèces de bourdons a diminué d'environ vingt pour cent. Pour les autres espèces d'abeilles sauvages, les déclins sont inférieurs à ce chiffre.
Via Hubert MESSMER
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Les abeilles ont la capacité humaine de lier les symboles aux nombres, selon une récente étude. De quoi entrevoir de nouvelles possibilités.
Via Bernadette Cassel
With growing human population, urban areas expand, and natural spaces become more fragmented threatening the important ecosystem services provided by bee pollinators. Urbanization also provides a wealth of opportunities in the way of citizens who are willing to engage and develop strategies that improve the quality of urban areas. Knowing that pollinator conservation is a critical issue, we launched Native Bee Watch, a citizen science project to monitor bees in Fort Collins, a fast-growing urban center in northern Colorado, USA.
Via Agrodoc Ouest
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Pour butiner, les abeilles font preuve de capacités cognitives étonnantes. Mais les pesticides, métaux lourds et autres facteurs de stress attaquent la communication entre neurones, le butinage est perturbé, et c'est toute la colonie qui est en danger. Des biologistes nous en disent plus dans ce point de vue publié avec Libération.
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Ce livre fait un état des lieux des connaissances et démontre que face à l’urgence de changer radicalement de pratiques, des mesures concrètes issues de la concertation entre scientifiques, apiculteurs et agriculteurs, permettent d’enrichir la flore et de réduire les risques d’intoxication des abeilles.
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Plus de 100 scientifiques et experts appellent les dirigeants internationaux à interdire la diffusion dans la nature d'organismes modifiés par des biotechnologies génétiques.
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Une fois exposées à des pesticides, les abeilles ne filent littéralement plus très droit. Telle est, peu ou prou, la conclusion d'une nouvelle étude conduite par des chercheurs américains, canadiens et britanniques et publiée, le 17 août, dans l
Tous les résultats du projet SURVapi (SURVeiller les contaminations du milieu par les produits phytosanitaires via les matrices Apicoles Pour améliorer et réduIre leurs utilisations ). Les résultats de suivi de ruchers observatoires en territoires agricoles sont maintenant en ligne sur Ecophyto PIC.
Via Réseau des ADA
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Selon une étude canadienne, la moitié des hirondelles se nourrissent d'insectes contaminés aux pesticides, quand bien-même leur nid serait installé dans une ferme biologique. Explications. "Résultat, 46 % des échantillons de boules d’insectes que les parents apportent à leurs oisillons contenaient au moins un contaminant. Les chercheurs ont retrouvé des traces de pesticides dont l’atrazine, un herbicide puissant surnommé « tueur d’abeilles »." Cité par Régis Alexandre URSINI sur Twitter, 10.08.2021 https://twitter.com/RegisUrsini/status/1425157202298429444
Via LPO Île-de-France, Bernadette Cassel
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Zootopique » est une série de cinq podcasts réalisés en partenariat avec l’Agence nationale sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. Nous vous proposons une immersion en 2031, en interrogeant ce que seront nos relations avec les animaux. Grâce aux chercheuses et aux chercheurs, nous tentons de comprendre comment la science, aujourd’hui, peut anticiper les risques de demain.
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Si je te dis « pollinisateur », tu penses sans doute aux abeilles domestiques qu’on élève pour leur miel. En ce cas, tu as un peu raison, mais ce ne sont pas les seules ! Déjà, faisons le point sur la pollinisation. Les scientifiques estiment que 80 % des plantes à fleurs parient sur les pollinisateurs pour leur reproduction : ce sont eux qui transportent le pollen d’une fleur à l’autre. Le pollen, c’est une poudre que les fleurs fabriquent pour se reproduire entre elles. Pas de pollen, pas de fécondation. Pas de fécondation, pas de graine ni de fruit. Pas de graine, pas de reproduction.
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Les protocoles Charli (Caractérisation des habitats des rives et du littoral) et Alber (Altération des berges) proposent une méthode normalisée de caractérisation des habitats littoraux et des modifications d'origine anthropique des berges, prenant en compte leur nature, leur diversité et leur répartition spatiale.
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Le changement climatique est un défi pour l’ensemble des écosystèmes. Il bouscule nos certitudes et nous invite à adapter la façon de gérer et de protéger les milieux naturels pour assurer leur pérennité. Les conséquences du changement climatique sur l’état de santé des forêts poussent à définir des stratégies d’adaptation. Cette adaptation est essentielle au maintien du rôle d’atténuation des forêts.
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Pour la première fois le mois dernier, une étude a mesuré avec précision l’effet négatif de la présence des colonies domestiques sur la fréquentation des fleurs en ville. "... Cette étude, menée - à Paris - par Isabelle Dajoz, chercheuse en écologie à l’université Diderot, confirme que dans un rayon de 500 mètres, plus les fleurs sont visitées par les abeilles domestiques moins elles le sont par les sauvages. Surtout, l’équipe a estimé les quantités de nectars disponibles : et leur réponse est sans ambiguïté : les abeilles domestiques consomment TOUT.
Via Bernadette Cassel
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Répondant à une demande du gouvernement, l’Inra vient de publier ses idées pour une agriculture productive plus respectueuse de l’environnement et de la santé humaine qui puisse se passer des produits phytosanitaires.
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CHRONIQUE. Une équipe de scientifiques franco-australiens a montré que l’insecte pouvait additionner et soustraire.
The more bees eat pesticides, the more they seem to want. This could be a problem considering these chemicals have been linked with the global decline of these vital pollinators.
Via Hubert MESSMER
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Victoria Reyes-García and Rodrigo Cámara-Leret and Benjamin S. Halpern and Casey O’Hara and Delphine Renard and Noelia Zafra-Calvo and Sandra Díaz Proceedings of the National Academy of Sciences, vol120,{2},2023 doi 10.1073/pnas.2217303120
via @R_CamaraLeret @sdiazecology