(…) Si les conditions du milieu urbain ne sont, dans l’ensemble, pas favorables à l’installation du vivant, le fait urbain recouvre une grande complexité sur le plan spatial, architectural, historique et paysager. Les morphologies urbaines se déploient et s’enchaînent les unes avec les autres, selon les époques, les zones biogéographiques d’implantation, les matériaux à disposition pour la construction, etc. Pour étudier l’impact de l’urbain sur les espèces animales ou végétales, les écologues ont privilégié les approches par gradient d’urbanisation, allant du rural vers le plus urbain.
Cet article s’inscrit dans le cadre de la participation de l’Ordre des architectes au projet Rénovation du bâti et biodiversité et du programme Nature en ville lancés par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO).via @Architectes_org