Nous prélevons maintenant plus de la moitié de l’eau qui s’écoule dans les rivières du globe. Or l'écrasante majorité des schémas représentant le cycle de l'eau fait l'impasse sur notre impact et notre totale dépendance vis-à-vis de cette ressource vitale. Cette absence donne un sentiment de fausse sécurité, alors même que nous traversons une crise mondiale de l'eau. Conclusions d'une étude parue en "une" de Nature Geoscience (10 juin 2019), avec la contribution de scientifiques issus de Géosciences Rennes/OSUR.
Julien Le Bonheur, Responsable de la communication scientifique sur le site de l'Université de Rennes en référence à cette publication Human domination of the global water cycle absent from depictions and perceptions
Nature Geoscience volume 12, pages533–540 (2019)