Une étude réalisée par une équipe de l'Université de Queensland en Australie, et parue dans la revue BioScience, montre l'importance de Facebook dans les études des points chauds de la biodiversité. Ces points chauds sont des lieux cruciaux dans le monde : ils comptent environ 50% des espèces (animales ou végétales), enregistrent une pression anthropique forte (pression liée aux activités humaines) et se concentrent sur 1,4% de la surface de la Terre.
Shawan Chowdhury, Upama Aich, Md Rokonuzzaman, Shofiul Alam & al., Increasing biodiversity knowledge through social media: A case study from tropical Bangladesh, BioScience, Volume 73, Issue 6, June 2023, Pages 453–459, https://doi.org/10.1093/biosci/biad042