Avec 200 nouvelles espèces exotiques enregistrées chaque année, ce sont plus de 37 000 espèces exotiques qui ont été introduites par les activités humaines ; et 3 500 de ces espèces ont des impacts négatifs documentés dans la littérature, avec une variabilité du caractère invasif selon les taxons.
Les EEE sont impliquées dans 60 % des extinctions globales d’espèces documentées et 90 % de ces extinctions ont eu lieu dans les îles. Les environnements éloignés sont particulièrement sensibles aux invasions biologiques, comme les régions montagneuses, polaire et désertiques, ainsi que les zones protégées pour la conservation de la nature.
En plus de menacer la survie des espèces locales, leurs répercussions économiques le coût économique mondial des EEE ont dépassé les 423 milliards de dollars par an en 2019, et devrait pourraient être multipliées par 4 à chaque décennie si rien ne change.
Un projet de 1,6 million d'euros pour suivre les mouvements et la
répartition de la faune aquatique dans l'Atlantique Nord-Est. Communiqué de l'Ifremer le 22/03/2024. Suivre @AquaticTracking ; @BiodiversaPlus Voir aussi https:/www.europeantrackingnetwork.org/en/nortrack