Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Les activités humaines sont responsables du déclin de la biodiversité observé par les scientifiques depuis plusieurs décennies. Jusqu’ici, c’est essentiellement le changement d’affectation des sols qui nuit à la nature. Mais demain, les effets du réchauffement climatique pourraient prendre le pas.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Après l’embellie, l’abîme ? Alors que le nombre de baleines à bosse avait joliment augmenté depuis l’interdiction de leur chasse, en 1976, leur population décline à nouveau de manière inquiétante dans le Pacifique Nord, alerte une étude publiée fin février dans la revue scientifique Royal Society Open Science. Entre 2013 et 2021, 20 % de ces majestueux cétacés ont disparu. Selon les estimations des scientifiques, on ne compterait plus aujourd’hui qu’autour de 26 500 baleines à bosse dans la région, contre 33 500 sept ans plus tôt — ce qui correspond à une perte totale de 7 000 individus. Selon les auteurs de cette étude, le principal responsable serait le changement climatique. Entre 2014 et 2016, le nord-est de l’océan Pacifique a été frappé par la vague de chaleur la plus extrême jamais enregistrée par l’être humain, avec des températures à la surface de la mer excédant de 3 à 6 °C les normales.
Historiquement, les changements climatiques sont ceux qui ont causé les plus nombreuses disparitions d’espèces d’animaux. Alors, même si d’autres menaces planent aujourd’hui sur la biodiversité, les chercheurs espèrent mieux comprendre le phénomène dans l’espoir de trouver des parades.
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Les herbiers marins ont une fonction vitale : ils stabilisent les fonds marins, apportent un soutien à l'écosystème en fournissant de la nourriture, des abris et des zones de reproduction essentielles pour les espèces de poissons commerciales et récréatives, améliorent la qualité de l'eau et empêchent l'érosion côtière.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Une étude publiée ce mardi 13 février dans la revue «Nature Communications» confirme que malgré leurs efforts pour s’adapter au réchauffement climatique, ces mangeurs de phoques risquent l’«inanition», car forcés de jeûner ou de se nourrir de baies.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Noémie Coulon est en troisième année de thèse. Elle travaille pour l’antenne de Dinard du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN). Ses recherches portent sur les raies et les requins, des espèces particulièrement sensibles au changement climatique.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Selon cet expert de la biodiversité, nous allons perdre des espèces au patrimoine génétique intéressant, bien adaptées...
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Malmené par le réchauffement climatique et les activités humaines, le roi des rivières voit sa population sérieusement décliner dans la région, qui fait pourtant toujours office de sanctuaire pour ce poisson migrateur. Avec une population mondiale qui a chuté de 23 % entre 2006 et 2020, l’espèce vient ainsi de passer de la catégorie « préoccupation mineure » à « quasi menacée » selon la liste rouge établie chaque année par l’Union internationale pour la conservation de la nature.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Pour accélérer l’adaptation des forêts de production au réchauffement climatique en cours et futur, l’Homme peut planter à plus hautes latitudes de jeunes semis d’espèces d’arbres et d’arbustes en provenance de régions plus chaudes et plus sèches. Un consortium d’experts en écologie forestière vient de publier un article dans la revue Oikos qui alerte sur les conséquences de ce type de « migration assistée » des espèces pouvant entraîner un emballement climatique.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
C'est une loi de la nature : les espèces sont plus petites là où il fait plus chaud. Alors, intuitivement, le changement climatique devrait les rétrécir. Une étude parue dans Science est la première à dresser ce constat en analysant les variations de tailles entre espèces et au sein des espèces.
Si les espèces végétales des régions les moins chaudes de la planète se retrouvent souvent inadaptées face au réchauffement climatique, qu'en est-il des espèces de régions déjà chaudes, comme les forêts tropicales ?
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Cet été, nos mers et nos océans ont eu chaud. Si, par endroit, la mer Méditerranée a atteint les 30°C, la moyenne spatiale de tous nos océans et mers a atteint les 21,1°C : un record inédit. Comment ces “incendies” marins affectent-ils la biodiversité ainsi que la structure-même de nos océans ?
Les forêts tropicales ne sont pas menacées seulement par la déforestation ou la sécheresse: le réchauffement climatique risque aussi de leur faire subir des températures trop élevées pour permettre la photosynthèse, selon une étude publiée jeudi.
Via Hubert MESSMER
|
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Based on an extensive model intercomparison, we assessed trends in biodiversity and ecosystem services from historical reconstructions and future scenarios of land-use and climate change. During the 20th century, biodiversity declined globally by 2 to 11%, as estimated by a range of indicators. Provisioning ecosystem services increased several fold, and regulating services decreased moderately. Going forward, policies toward sustainability have the potential to slow biodiversity loss resulting from land-use change and the demand for provisioning services while reducing or reversing declines in regulating services.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Les juridictions financières consacrent cette année le thème du rapport public annuel à l’action publique face au changement climatique. Du fait de son caractère varié et diffus, l’adaptation aux effets du changement climatique est un défi qui concerne et doit impliquer l’ensemble des acteurs publics. La troisième partie consacre 6 chapitres à l’environnement naturel et à la préservation des personnes et des activités, parmi lesquels la gestion durable de la forêt métropolitaine, celle du trait de côte, la prévention des catastrophes naturelles en outre-mer ou la protection de la santé des personnes vulnérables.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
L’étude des plantes vasculaires introduites par les humains hors de leur aire de répartition naturelle a généré une terminologie très prolifique qui est souvent devenue absconse et inutilement complexe. Durant les dernières décennies, l’écologie des invasions a cherché, au contraire, à replacer les processus d’introduction, de naturalisation et d’invasion des taxons au sein d’un cadre théorique unifié.
9 027 communes en France, soit quasiment une ville sur quatre, sont classées à risque concernant les chenilles processionnaires. Les chenilles sont sorties avec trois mois d'avance en cette année 2024, en raison du redoux.
Via Hubert MESSMER
Reptile endémique de l’étage alpin des Pyrénées, le Lézard de Bonnal (Iberolacerta bonnali) est observé, jusqu’à présent, de 1 700 à 3 000 mètres d’altitude. Jusqu’à présent car ce lézard pyrénéen a besoin d’un habitat rocheux dont la température de roche se situe entre 20 et 35 degrés afin d’entrer en activité (thermo-régulation). La disparition à terme, de l’étage alpin du fait du réchauffement climatique peut compromettre son existence. Avec près de 40% de l’aire de répartition du reptile sur son territoire, le Parc national a une responsabilité forte pour la conservation de cette espèce.
Via Scoop.it Aure Louron, Les Sentinelles du climat
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Sur le papier, planter des arbres issus de régions sèches dans nos forêts pour les rendre plus résilientes aux sécheresses semble une bonne idée. En pratique, cela risque de poser quelques problèmes.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Le réchauffement des océans fait disparaître le plancton, et avec, les poissons qui en dépendent. Dans l'Atlantique nord, la disparition de 26 % du plancton d'ici 2100 pourrait faire disparaître jusqu'à 55 % des poissons, et bien plus encore dans d'autres océans.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Le phénomène, dû aux températures douces de cet hiver, perturbe les plantes et risque de les affaiblir à long terme.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Neuf personnes sur dix identifient que la pollution de l'air extérieur (92,2 %), les métaux lourds (89,8 %), les sols pollués (89,4 %), les pesticides (89,1 %) et les événements climatiques extrêmes (82,4 %) présentent un risque " élevé " à " plutôt élevé ". Elles étaient moins nombreuses à identifier un risque " élevé " à " plutôt élevé " pour le bruit (71,3 %), les plantes invasives (66,2 %) et le radon (59,4 %).
Une coalition de 45 pays s'est engagée mardi à lever 12 milliards de dollars (11,3 milliards d'euros) d'ici 2030 pour la conservation et la restauration des récifs coralliens menacés dans le monde entier par le changement climatique.
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
La Méditerranée est en surchauffe et ce n'est pas sans effet sur la biodiversité. Lorsque l'eau est plus chaude, les poissons montrent des signes de faiblesse.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Dossier. « L’eau et la terre s’appauvrissent » « Le chant du chardonneret me manque » « Il n’y a plus de pêcheurs » « Il faut accepter ce que nous dit la nature « Le silure dévore tout, c’est le monstre de nos rivières » « Notre vin contient de plus en plus d’alcool »
|
Les scientifiques notent: "Compte tenu des effets négatifs potentiellement synergiques de l'utilisation des terres et du changement climatique sur la biodiversité, nos résultats suggèrent que les efforts de conservation et de restauration devraient être prioritaires à l'échelle mondiale en tant que solutions climatiques naturelles nécessaires. » DOI: 10.1126/science.adn3441