Biodiversité

 Les vautours sont généralement de grands oiseaux capables de se déplacer sur de longues distances, explorant ainsi de vastes territoires à la recherche de nourriture constituée de cadavres d’animaux sauvages ou domestiques.

Hard and soft plastics are the most common types of waste encountered at altitude by mountaineers, the first survey of its kind has found — with two thirds of mountaineers spotting litter most or every time they set foot on a mountain.While much attention in recent years has gone to the impact of waste – including plastic waste - in the world´s oceans, pollution in mountain regions has rarely made the headlines.A new global survey, led by Björn Alfthan and Laurent Fouinat from GRID-Arendal, sought the voices of mountain guides, mountaineers and other mountain enthusiasts to shed light on the extent and nature of waste pollution in the mountains.

Abstract: Increasing anthropogenic pressures such as pollution, climate change or invasive species can have multiple impacts on ecosystems and the services (ES) they provide. To address the potential effects on ES provision, we propose a geospatial framework to identify and analyze the cumulative effects on terrestrial and freshwater ES. The framework includs an impact chain analysis based on ten pressures grouped into six categories (pollution, climate change, land-use change, overexploitation, land fragmentation, invasive species) and their single or multiple effects on five key ES of the Alpine environment (recreation, forest protection, CO2 sequestration, habitat maintenance, grassland biomass). Results show that the areas most affected by cumulative effects were located in major urban centers, in the Po Valley, Germany, Slovenia, and in coastal areas of the Adriatic Sea. The spatial coincidence analysis of pressure P-ES on IUCN protected sites showed that protection categories IV and V mostly had high P/high ES scores.

Une expédition scientifique d’ampleur inédite a gravi l’Everest pour mesurer les effets des activités humaines. Ses résultats mettent notamment en évidence un recul des glaciers et une pollution aux microplastiques.

Une étude publiée mercredi révèle pour la première fois que les particules microplastiques peuvent être transportées sur de grandes distances dans l’atmosphère, et non seulement dans les rivières et océans. Les scientifiques demandent des recherches urgentes pour évaluer ...

Près de 200 habitants de la vallée de l'Arve, en Haute-Savoie, ont décidé de porter plainte contre X pour mise en danger de la vie d'autrui, selon les informations lundi de France Bleu Pays de Savoie. Ils redoutent les effets des pics réguliers de pollution. 

Que nous vivions en ville, en zone rurale ou dans des régions reculées comme la montagne, nous dépendons de la nature et de la biodiversité...

Après plus d’un an de test, l’application de guidage communautaire aux plus de 14 millions d’utilisateurs en France, Waze, et la 2ème destination touristique de France, Provence-Alpes-Côte d’Azur, s’associent pour contribuer à une meilleure répartition des flux des visiteurs dans les sites naturels sensibles et lisser les pics de fréquentation.

Les microplastiques, ce sont des résidus plastiques ayant un diamètre inférieur à 5mm, liés à cette perdition de déchets dans la nature. Les microplastiques peuvent avoir des effets directs et indirects sur d’autres contaminants, sur la biodiversité et potentiellement sur la santé humaine. Alors que plusieurs études ont été réalisées sur la pollution de microplastiques dans les fleuves et leur transport vers les océans, il existe très peu de recherches sur les microplastiques dans l’air et celles-ci sont principalement réalisées dans les zones urbaines. Les dépôts atmosphériques en milieux ruraux et/ou éloignées de sources de pollution comme les montagnes ou les Terres Australes ont été jusqu’à présent ignorés.

Fort de ce constat, une étude pionnière a été menée dans une vallée de montagne par l’équipe de Gaël Le Roux, directeur de recherche CNRS en biogéochimie intégrative au laboratoire EcoLab.

Les chercheurs du CNRS ont eux-même été étonnés. Après avoir analysé 5 mois d'eau de pluie et de neige à 1400 mètres d'altitude dans les Pyrénées, ils ont découvert une pollution aux particules de plastique identique à celle d'une ville comme Paris. 

Depuis 1989, la station du Casset, située dans le Briançonnais, mesure l’évolution de la pollution atmosphérique longue-distance dans le cadre de l'observatoire MERA. Si l'on constate les effets positifs des politiques internationale de réduction des émissions de polluants sur la qualité des eaux de pluie, les résultats des mesures sur l'azote et l'ozone sont moins encourageants, avec des conséquences possibles sur la santé humaine et les végétaux.