Biodiversité

Agriculteurs, éleveurs ou professionnels du tourisme, agents du Parc national : une vingtaine de participants originaires des vallées des Écrins se sont retrouvés sur les hauteurs du lac de Serre-Ponçon le 3 octobre dernier. La journée a débuté à la mairie de Puy-Sanières par une matinée de travail autour de la marque, des besoins des bénéficiaires et des pistes d’amélioration, notamment pour la communication autour de la marque.

Les déchets prennent le pouvoir. Ils envahissent nos rues, nos plages, nos calanques, nos collines, notre mer. Les micro-plastiques s’invitent jusque dans nos assiettes au détriment de notre santé et de l’environnement… Un phénomène malheureusement accentué par la crise sanitaire. Face à ce constat inquiétant, une bonne nouvelle : puisque nous sommes tous une partie du problème, nous pouvons aussi être une partie de la solution !

La pointe d’affluence vécue à l’été 2020 pousse le parc situé autour de Marseille à durcir son accès et à lancer une stratégie de « démarketing ».

Le choix de Frépestel sur le Causse Méjean s'est vite imposé : il avait déjà été identifié et utilisé lors de précédents lâchers et possède un poste d'observation à une centaine de mètres du nid qui permettra d'observer les oiseaux sans les déranger durant les premières semaines.

L’été dernier, les calanques de Marseille ont accueilli une fourmilière de touristes et ont, par conséquent, été le théâtre de nombreuses dégradations. Le parc national a donc opté pour une stratégie de "démarketing"