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Pour les deux stations de ski historiques de la zone cœur du Parc, le défi est grand. La raréfaction de la neige oblige à inventer de nouveaux modèles tout en valorisant au mieux les patrimoines qui font la richesse du territoire.
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Dans une vidéo pédagogique publiée sur les réseaux sociaux, les scientifiques du Parc National de Guadeloupe détaillent les raisons pour lesquelles l'actuel épisode de blanchissement que subissent les coraux de nos eaux pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur leur santé l'année prochaine.
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Dans le cœur du Parc national de la Vanoise, le glacier de Gébroulaz est étudié depuis plus d'un siècle. Comme la plupart des glaciers de la planète il est en phase de régression. D'année en année la décrue se poursuit et s'accélère avec un bilan très négatif en 2022, atteignant des records. C'est ce que constate l’IGE (Institut des géosciences de l’environnement, CNRS-UGA, Grenoble), qui suit et étudie depuis de nombreuses années le glacier de Gébroulaz avec l’appui du Parc national de la Vanoise.
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from EntomoNews
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France Bleu, 14.08.2022 "Dans un été qui bat tous les records de chaleur et de sécheresse, voilà une observation qui est tout à fait inédite. Une cigale a été entendue par des agents du Parc national des Pyrénées à 1 700 mètres d'altitude en Vallée d'Aspe. C'est une première. "C'était lors d'un suivi grand tétras, explique Pierre Lapenu, chef adjoint du service connaissance au Parc national des Pyrénées. « Nos agents ont entendu cette cigale dans une hêtraie sapinière qui n'est pas son biotope favorable. C'est la première fois à cette altitude, mais les observations de ce type se multiplient et montrent qu'il y a un changement qui est plus profond qu'un simple épisode météorologique exceptionnel. »"
Via Bernadette Cassel
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S’il n’y a guère plus que dans un bureau ovale que le réchauffement climatique est farouchement nié, les alpinistes observent et vivent presque quotidiennement ses conséquences sur les glaciers et hauts sommets. Diverses recherches issues du laboratoire EDYTEM mettent en lumière depuis plusieurs années maintenant les conséquences de ce réchauffement sur la stabilité de nos montagnes : la fissuration du refuge de la Pilatte (Duvillar et al. 2018), les multiples effondrements dans le massif du Mont-Blanc (Ravanel et al. 2013) et les impacts sur l’économie de la haute montagne (Mourey 2019).
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Victimes directes du réchauffement, les océans et les zones gelées dépérissent à grande vitesse. Tel est le principal enseignement du rapport du GIEC publié hier. Deux jours après le sommet sur le climat de New York, ce rapport atteste que le niveau des mers pourrait augmenter de 1m10 d’ici la fin du siècle. 15 % des espèces aquatiques sont menacées. Oui, le climat se réchauffe et pas besoin d’aller plus loin que dans les eaux de Marseille pour le constater.
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La faune des Alpes subit déjà les effets du réchauffement climatique : elle est de plus en plus vulnérables face au climat, aux activités humaines... Pour protéger ces espèces en danger, le domaine skiable des 3 Vallées a mis en place une série de mesure.
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Fonte rapide des glaciers dans les Ecrins, en Vanoise ou dans les Pyrénées, affaiblissement des gorgones dans les eaux des Calanques et de Port-Cros, prolifération des sargasses sur les côtes de Guadeloupe… Les parcs nationaux, “territoires d’exception” sont témoins - et victimes - du réchauffement climatique et de ses conséquences directes sur le monde vivant, sur notre santé et notre économie.
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Reptile endémique de l’étage alpin des Pyrénées, le Lézard de Bonnal (Iberolacerta bonnali) est observé, jusqu’à présent, de 1 700 à 3 000 mètres d’altitude. Jusqu’à présent car ce lézard pyrénéen a besoin d’un habitat rocheux dont la température de roche se situe entre 20 et 35 degrés afin d’entrer en activité (thermo-régulation). La disparition à terme, de l’étage alpin du fait du réchauffement climatique peut compromettre son existence. Avec près de 40% de l’aire de répartition du reptile sur son territoire, le Parc national a une responsabilité forte pour la conservation de cette espèce.
Via Scoop.it Aure Louron, Les Sentinelles du climat
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Les Parcs nationaux de France s’associent également à cet événement et à la communauté scientifique issue de plus de quarante nations glaciaires et polaires pour témoigner de l’effondrement de la cryosphère et des défis à relever. Les paysages glaciaires sont de formidables terrains de découverte et d’apprentissage qui attirent chaque année de nombreux randonneurs et alpinistes et ne cessent de fasciner. Les Parcs nationaux de haute-montagne (Ecrins, Vanoise, Pyrénées, Mercantour) sont bien conscients de l’intérêt patrimonial de ces paysages et de l’imaginaire qu’ils véhiculent. Les massifs des Ecrins et de la Vanoise comptent, avec le massif du Mont Blanc, le plus grand nombre de glaciers en France. Aujourd’hui, le recul des glaciers est avéré et la conséquence la plus visible du réchauffement en altitude et pose plusieurs défis.
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Le parc national du Mercantour, situé dans les Alpes-Maritimes, a vu, cet été, ses lacs et ses cours d'eau se dessécher, ses plantes faner et ses espèces perturbées
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Chaque été, les naturalistes partent en montagne pour compter les marmottes. Une population animale qui commence à se réduire en raison du réchauffement climatique. Sur cinq espèces suivies dans la vallée d'Ossau, toutes sont déjà impactées par le réchauffement climatique. En effet, les températures élevées menacent la biodiversité de la montagne. "Forcément la montagne va changer, des espèces vont apparaitre, d'autre disparaitre, là où certaines s'adapteront", analyse Christophe Cognet, chef de service scientifique du Parc National des Pyrénées.
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Le parc national du Mercantour a observé une remontée en altitude d'environ 140 mètres en moyenne des criquets et des sauterelles depuis les années 1980 sous l'effet du réchauffement climatique, selon les résultats d'une étude co-financée par l'Europe communiqués ce jeudi 25 juin.
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Ce sont 2,10 mètres d'épaisseur de glace en moyenne sur la surface du glacier qui se sont évaporés : le triste record de 2003 engendré par son été caniculaire est battu, de peu, au bilan de masse de 2019... en raison d'un été très chaud et d'un enneigement hivernal en-deçà de la moyenne. La 20ème année de mesures du bilan de masse du glacier Blanc est celle d'un (petit) record.
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Les différents équipements ont été installés par des agents du Parc national des Ecrins et de l'IRSTEA dans le cadre des mesures de suivi du glacier le plus méridional des Alpes, témoin-victime du réchauffement du climat. Tout est mis en place pour mesurer les conditions de la fonte inéluctable du glacier Blanc.
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Les effets du réchauffement climatique touchent la montagne en premier lieu. Un constat à l'échelle mondiale et très accentué dans les Alpes. Glaciologues, géomorphologue et géographes sont venus en témoigner, dernières données scientifiques à l'appui, auprès des agents du Parc national.
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Plus de 120 personnes réunies à l'IUT de Gap autour de l'avenir des alpages alpins. Le colloque accueilli par le Parc national des Écrins témoigne de l'acuité du sujet. L'occasion de diffuser les premiers résultats obtenus et des outils élaborés collectivement à l'échelle des Alpes.
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Cahier thématique "Adaptation du PNC au changement climatique et à ses impacts"