L’étude des plantes vasculaires introduites par les humains hors de leur aire de répartition naturelle a généré une terminologie très prolifique qui est souvent devenue absconse et inutilement complexe. Durant les dernières décennies, l’écologie des invasions a cherché, au contraire, à replacer les processus d’introduction, de naturalisation et d’invasion des taxons au sein d’un cadre théorique unifié.
FRIED G., AFFRE L., ALBERT A., ANTONETTI P., BRETAGNOLLE F., CAILLON A.. & al. 2024. Naturae 2024 (4): 69-97. https://doi.org/10.5852/naturae2024a4.