Biodiversité

La Commission propose pour la première fois des mesures visant à prévenir la pollution par les microplastiques due au rejet involontaire de granulés plastiques. Actuellement, entre 52 et 184 tonnes de pellets sont libérées chaque année dans l'environnement.Cela devrait permettre de réduire la libération de granulés jusqu'à 74 %, ce qui permettra de rendre les écosystèmes plus propres, de contribuer à l'absence de plastique pour les rivières et les océans et de réduire les risques potentiels pour la santé humaine.

Une étude inédite dévoilée mardi à l’occasion de la Monaco Ocean Week dévoile les dépenses de santé à plusieurs billions de dollars engendrées par la production et l’utilisation de certains plastiques

Le septième continent est devenu tristement célèbre ces dernières années. Il est globalement constitué de cinq gyres de plastiques à travers le monde. Les Le 7e continent est devenu tristement célèbre ces dernières années. Il est constitué de 5 gyres de plastiques et microplastiques à travers le monde

L'UNEA 5.2 se concentrera sur les déchets marins, les solutions fondées sur la nature, la récupération verte et la gestion des déchets chimiques.

Ce dispositif partenarial permet de donner des informations sur l’état et l’évolution de la biodiversité en Provence-Alpes-Côte d’Azur et de les rendre disponibles et accessibles auprès des pouvoirs publics et du grand public. Il est en lien avec de nombreux partenaires intervenant sur la nature : associations naturalistes, organismes publics et de recherche, gestionnaires d'espaces naturels… qui eux-mêmes contribuent aux actions de l’observatoire.

Les chercheurs estiment que ce phénomène pourrait également se produire chez l'homme. Les scientifiques savent depuis longtemps que les oiseaux marins ingèrent des microplastiques en les confondant avec de la nourriture. Et selon une étude publiée lundi 27 mars dans la revue Nature Ecology & Evolution, ces déchets ne se contentent pas d'obstruer ou de transiter par l'estomac, mais perturbent aussi l'équilibre de l'ensemble du système digestif.

This Future Brief presents the current science on nanoplastics: their detection, assessment and monitoring; their impacts in the environment, ecotoxicity, and environmental fate; and their potential impacts on human health.

Les Etats sont réunis à Punta del Este, en Uruguay, du 28 novembre au 2 décembre. L’Union européenne soutient un accord juridiquement contraignant, à la différence des Etats-Unis.

Pourquoi le nombre de publications scientifiques sur les plastiques a-t-il explosé sur les 7-8 dernières années ? Pourquoi le nombre d’équipes à travers le monde investies dans la recherche sur les plastiques a-t-il crû également de manière exponentielle ? Pourquoi une majorité de travaux est-elle issue du monde des sciences de la nature et se focalise-t-elle sur le compartiment océanique et non sur le compartiment continental où pourtant ils sont majoritairement produits ? Pourquoi de plus en plus de travaux s’intéressent-ils aux micro- puis nanoplastiques, alors qu’en masse les rejets sont majoritairement de grande taille ? Pourquoi, dans ce qui est devenu une grande question de société, les sciences humaines et sociales n’ont-elles qu’une implication très marginale ?

Le Fonds mondial pour la nature appelle l’ONU à négocier un traité sur le sujet. Les plastiques à usage unique constituent plus de 60 % de la pollution marine.

COVID pollution: impact of COVID-19 pandemic on global plastic waste footprint”, article paru dans la revue Heliyon en février 2021,  est écrit par David E. Bassey, Nsikak U. Benson et Thavamani Palanisami. Il s’intéresse aux déchets plastiques générés à l’échelle mondiale en raison de la pandémie – gants, combinaisons médicales de protection, masques ou encore bouteilles de désinfectant à main – et tente d’évaluer leur empreinte environnementale et leurs impacts sur les écosystèmes. Cette production de déchets à usage unique est d’une telle ampleur que les récents efforts mondiaux pour diminuer l’utilisation des plastiques pourraient être réduits à néant. La majorité de ces déchets ont une autre particularité : ils sont de nature biomédicale et nécessitent donc un traitement spécifique ce qui complexifie la crise actuelle.