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Au large de Perros-Guirec, la réserve naturelle nationale des Sept-Iles, dont Rouzic, abrite environ 11.500 couples de fous de Bassan, contre 19.000 en 2022. Décimée par la grippe aviaire la colonie est aujourd'hu
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Une nouvelle étude révèle les zones de l'océan où les oiseaux marins sont le plus à risque de subir la pollution plastique, à travers le monde. En étudiant les déplacements alimentaires et de migrations de 7 137 oiseaux appartenant à 77 espèces, les chercheurs et chercheuses ont identifié les points chauds d’expositions aux plastiques en mer et ont mis en évidence la nécessité d’une collaboration internationale pour y remédier. Ces travaux sont publiés dans Nature Communications.
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Les chercheurs estiment que ce phénomène pourrait également se produire chez l'homme. Les scientifiques savent depuis longtemps que les oiseaux marins ingèrent des microplastiques en les confondant avec de la nourriture. Et selon une étude publiée lundi 27 mars dans la revue Nature Ecology & Evolution, ces déchets ne se contentent pas d'obstruer ou de transiter par l'estomac, mais perturbent aussi l'équilibre de l'ensemble du système digestif.
"Malgré les meilleures intentions des pécheurs, l'industrie de la pêche a de nombreux effets néfastes sur l'environnement marin. Elle constitue l'une des plus grandes menaces pour les oiseaux marins qui sont piégés dans les filets. De plus, les morceaux de matériel de pêche perdus se retrouvent dans les fonds marins polluant l'océan de microplastiques."
Via LPO Île-de-France
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Si les images de mammifères marins et terrestres ayant péri après avoir confondu nourriture et plastique ont permis de mettre en perspective la gravité de la crise des déchets plastiques, cette nouvelle étude révèle que les oiseaux continentaux sont également concernés.
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"Des chercheurs ont mené une nouvelle étude sur l'impact de la pollution plastique chez les oiseaux marins. Ils ont constaté que les poussins ayant ingéré du plastique montraient plusieurs modifications et notamment une hausse du niveau de cholestérol."
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Au Danemark, 95% des pétrels fulmars, aussi appelés fulmars boréals, un oiseau marin caractéristique des eaux froides, retrouvés morts sur les plages ont du plastique dans l'estomac, rapporte jeudi l'Agence danoise de protection de l'environnement.
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We investigated seabird plastic ingestion in the western Indian Ocean by analyzing the stomach contents of 222 individuals belonging to nine seabird species (including two endangered species endemics to Reunion Island). The most affected species were tropical shearwaters (79%) and Barau's petrels(59%). The average number of plastic particles per contaminated bird was higher in Barau's petrels (6.10 ± 1.29) than in tropical shearwaters (3.84 ± 0.59). All other studied species also showed plastic presence in their stomach contents. The mass of plastic particles was significantly higher both in juvenile's Barau's petrels and tropical shearwaters than in adults.
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ILETOP est un programme de recherche dont l’objectif est d’étudier la contamination des oiseaux marins au sein de deux grandes régions de l’Arctique : le Groenland Est et le Svalbard. Il se concentre pour cela sur trois espèces majeures de ces régions, le mergule nain, la mouette tridactyle et le labbe à longue queue.
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Representatives from business, civil society, academia and government will come together in Mexico for the World Ocean Summit, which is being held 7-9 March. The annual event is hosted by The Economist, and seeks to address topics related to oceans such as sustainable seafood, blue economy clusters, ocean governance and marine debris. International attention and cooperation for the control of marine debris is especially important in light of the UNEP/CMS/Resolution 12.20 on the ‘Management of Marine Debris’ which was passed by the CMS Conference of Parties at Manila in 2017.
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Scientists working on the BBC's Blue Planet II series talk of their dismay at the spread of discarded plastic.
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Où la faune est-elle la plus exposée aux déchets plastiques en mer ? En Méditerranée et en mer Noire, répond l’écologue Marie-Morgane Rouyer, qui a participé à une analyse d’envergure de données de localisation d’oiseaux marins.
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Plastic pollution is distributed patchily around the world’s oceans. Likewise, marine organisms that are vulnerable to plastic ingestion or entanglement have uneven distributions. Understanding where wildlife encounters plastic is crucial for targeting research and mitigation. Oceanic seabirds, particularly petrels, frequently ingest plastic, are highly threatened, and cover vast distances during foraging and migration. However, the spatial overlap between petrels and plastics is poorly understood. Here we combine marine plastic density estimates with individual movement data for 7137 birds of 77 petrel species to estimate relative exposure risk.
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Les morceaux de plastique pullulent dans les mers et les océans, si bien qu’ils contaminent la chaîne alimentaire jusqu’à provoquer des lésions irréversibles chez les oiseaux marins, altérant ainsi leur croissance et leur santé.
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Albatrosses are among the world's most imperiled vertebrates, with 73% of species threatened with extinction. Ingestion of plastic is a well‐recognized threat among three North Pacific species, but lesser known in the southern hemisphere, where it is considered a minor threat. As plastic entering the ocean is increasing while albatross populations decline, the threat of ocean plastic to albatross populations may be underestimated. We present case studies of 107 beach‐cast albatrosses of twelve species, received by wildlife hospitals in Australia and New Zealand, and estimate plastic ingestion and mortality rates for albatrosses in the southern hemisphere.
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With an annual production of more than 300 million tons, plastic is one of the most widely used materials in the world. What often escapes one’s attention is that the plastic is used for its main purpose for only a moment compared with its lifecycle of 20 to 500 years. Lightweight and designed to last, the discarded pieces are easily transported to ecosystems through the forces of nature causing serious threats to migratory species around the world. An estimated 8 million tons of plastic waste enter the world’s oceans each year. To make matters worse, plastic does not simply dissolve. Broken down into small particles by water, sunlight and wind, it often leads to lethal cases of ingestion and entanglement.
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Cette étude est la seule à ce jour à s'intéresser aux effets de l'ingestion de plastique sur la santé d'oiseaux marins vivants.
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La Convention sur les espèces migratrices (CMS), l'Accord oiseaux migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA) et de l'environnement pour les Amériques (AELE) ont uni leurs forces pour renforcer la reconnaissance mondiale et l'appréciation des oiseaux migrateurs. Cette année, l'accent est mis sur l'impact de la pollution en plastique sur les oiseaux migrateurs et leurs habitats.
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De toutes les familles d’oiseaux, ceux qui vivent au-dessus des mers sont ceux qui disparaissent le plus massivement. Ils ont décliné de 70 % entre 1950 et 2010. Comme la faune sous-marine, ils subissent directement les maux de l’océan : invasion de plastique et pollutions multiples, réchauffement et acidification, destruction d’écosystèmes comme les récifs coralliens et les mangroves.
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@saverygo during the #WSTC4: Plastic is a global pollution problem & some seabirds are stuffed full of it. And with a special few, the amount of plastic they eat can reveal valuable information about how much plastic is floating around the oceans.
Verre de bouteille, gypse, papier d’emballage de restauration rapide, métal. Il ne s’agit pas du contenu d’un conteneur industriel, mais bien celui d’un estomac de mouette, étudié par une étudiante en biologie de l’Université Carleton d’Ottawa.
Via Hubert MESSMER
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Réserve naturelle nationale des Sept-Îles