Biodiversité

Dans ce contexte, le projet BirdSki porté par le Parc national de la Vanoise et ses partenaires, le Conservatoire d’espaces naturels de Haute-Savoie (Asters) et l'Observatoire des Galliformes de Montagne (OGM), vise à construire un partenariat entre des domaines skiables volontaires et des gestionnaires d’espaces protégés pour mieux comprendre la vie des oiseaux de montagne; identifier les mesures de gestion adaptées les évaluer et étendre les mesures qui fonctionnent bien à l'ensemble des domaines skiables. 

Né en région Auvergne-Rhône-Alpes en 2016, ce dispositif participatif est chargé de définir de manière collective, des zones de présence de la faune/flore sauvage sensible au dérangement, accompagnées de messages de sensibilisation, et de les porter à connaissance des pratiquants via un flux de données (API) vers les plateformes partenaires : Camptocamp, Visorando – Se connecter pour accéder aux zones sensibles, Geotrek, Skitour, Whympr - Télécharger l’app et activer le filtre Zones nature sensible, Drone-Spot - 10 conseils aux télépilotes.

En mode « Navigation », vous aurez accès à la réglementation maritime en vigueur, sans exhaustivité, ainsi qu’aux informations de balisage qui concernent l’environnement proche. Vous bénéficierez ainsi d’un appui en temps réel par le biais d’alertes. Nav&Co propose également un mode « Découverte » afin de découvrir les secrets du patrimoine naturel des alentours. Plus de 2 000 points d’intérêt sont référencés en mer et sur les côtes métropolitaines, corses et guadeloupéennes, grâce au concours des aires marines protégées. 

Lancement officiel de la démarche collective de la charte « Guide d’observation partenaire du Parc »

Véritable outil contractuel, la charte permet aux professionnels qui exercent leur activité sur le territoire du Parc de valoriser leur engagement en faveur des objectifs de protection du milieu et de développement durable de leur activité.

Wave reserves, initially aimed at protecting surf ‘spots’, are becoming a way to ensurethe conservation of coastal areas that are of great ecological and economic value. They foster local development and contribute to countries’ achievements toward international objectives. Several projects to implement large wave reserves are on their way.

Scientists at the University of Portsmouth believe a strategy used to protect popular surfing spots could now be more widely adopted to help preserve endangered coastal environments.

A new research paper, published this week in Trends in Ecology & Evolution, says, ‘wave reserves’, initially aimed at protecting treasured surf spots, are also a way to ensure the conservation of ecologically valuable coastal areas.

The concept of wave reserves has gained popularity over the past few decades. The first wave reserve was established in Bells Beach, Australia in 1973 by surfers keen to defend their prized waves from damaging human activity.

Le 27 septembre c’est la Journée mondiale du tourisme sous l’égide de l’Organisation mondiale du tourisme (UNWTO). Cette année, elle met en lumière le pouvoir du « tourisme pour une croissance inclusive ».

L’application DONIA permet aux plaisanciers, plongeurs, pêcheurs et à tous les amoureux de la mer, d’échanger des informations tout en contribuant à protéger les écosystèmes marins sensibles, dans le respect de la loi. Elle offre un rendu cartographique enrichi en intégrant la nature des fonds, la bathymétrie, la réglementation en mer, les images satellites, des points d’intérêt, et de nombreux sites particuliers (sites de plongée, ports, mouillages, photographies sous-marines, observations des utilisateurs de l’application).

Le massif du Taillefer, véritable château d’eau, rassemblerait plus de 1000 tourbières situées entre des altitudes allant de 1600 mètres à Basse Montage et au Poursollet jusqu’à 2500 mètres vers l’Émay, en passant par l’emblématique plateau des lacs à 2000 mètres d’altitude. Ce massif, d’une biodiversité exceptionnelle, constitue une ligne de partage des eaux entre les bassins versants de la Romanche, au Nord, et du Drac, au Sud. Deux cours d’eau qui conflueront en aval, à Champ-sur-Drac, puis à Fontaine, pour l’Isère.

Envie de vous reconnecter à la nature dans les parcs nationaux de France ? D’un séjour authentique ? D’emprunter des sentiers parfaitement accessibles pour découvrir des patrimoines culturels et naturels préservés ?

Le gypaète barbu, qui se reproduit en hiver, est particulièrement sensible au dérangement. Le Parc national des Pyrénées met en place une bulle de protection pour le rapace : la zone de sensibilité majeure.

Suite aux premières grosses chutes de neige dans les hauteurs du Val d’Entraunes, l’équipe du secteur Haut-Var/Cians du Parc national du Mercantour a chaussé les raquettes pour la première fois de l’année et s’est dirigée vers Sanguinière.

Pour concilier au mieux fréquentation humaine hivernale et présence du Tétras-lyre, un système de cordages et fanions a été mis en place appelé « Tétras-Quiet ».

Le besoin d’être reconnu pour ses compétences, son savoir-être ou encore ses réalisations dans le cadre de son emploi, est le moteur d’un fort engagement. La pratique de la reconnaissance est aussi un levier très puissant pour mobiliser le citoyen, et in fine, le pratiquant des sports de nature surtout dans un contexte de transition écologique.

L’École nationale de voile et des sports nautiques, le Pôle ressources national sports nature, l’Office français pour la biodiversité, Réseau Canopé s'associent et lancent une réflexion sur la reconnaissance des citoyens, des bénévoles et des professionnels des sports nautiques dans leur engagement pour la protection de l'environnement.

Cette initiative lancée sur la plage de Port Blanc à Saint-Pierre-Quiberon, dans le Morbihan, vise à protéger l'identité et les spécificités des spots de surf en France.

Pour une durée de quatre ans, cette convention de partenariat s'articule autour de trois axes majeurs : accompagner la transition écologique des golfs, sensibiliser aux questions de gestion de la biodiversité et de la ressource en eau, et faire connaître les atouts des golfs français en matière de protection de la biodiversité.

Sur le littoral français, l'essor des pratiques de loisir sportif fait émerger de nouveaux besoins d’information et de connaissances, à la croisée des enjeux de préservation de la biodiversité et du développement touristique et sportif. Objets connectés, tracés GPS, outils de télédétection et analyse d’images ouvrent, aux gestionnaires de ces territoires, des possibilités inédites de collecte de données… à condition de se donner les moyens techniques de les exploiter, dans le respect de la loi et avec l’adhésion des pratiquants.

Dans le cadre de l'action de C8 de sensibilisation, l’équipe du Life Marha de l'Office français de la biodiversité (OFB) s'est associée avec le Service hydrographique et océanographique de la Marine (Shom) pour piloter le développement de l'application mobile Nav&co. Ce nouveau compagnon de navigation ludique et pédagogique doit sensibiliser les navigateurs à l'importance des habitats marins et autres éléments de biodiversité qui se trouvent sous leur coque et leur indiquer la réglementation et bonnes pratiques pour les préserver.

Un projet de piste dédié à la pratique des sports mécaniques (motos, karting..) menace directement une zone humide en Guadeloupe. Le projet, en gestation depuis 10 ans, se construit depuis 2016 sans que les procédures réglementaires soient achevées. L’UICN France souligne l’absence d’étude d’impact environnemental sur ce projet, et demande à ce qu’une enquête publique …