Les principaux résultats montrent sur les périodes estivales de 2014-2022, sur l’ensemble des départements métropolitains :
- Près de 33 000 décès sont attribuables à la chaleur entre le 1er juin et le 15 septembre de chaque année, dont 23 000 décès de personnes âgées de 75 ans et plus.
- Parmi les décès, 28% ont été observés pendant les canicules telles que définies par le plan de gestion des vagues de chaleur, alors qu’elles ne représentent que 6% des jours étudiés, justifiant ainsi une surveillance et une prévention particulièrement renforcées.
Le rapport souligne ainsi que l’impact de la chaleur n’est pas limité aux périodes les plus extrêmes.
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