Les villes désavantagent les espèces peu mobiles et favorisent celles adaptées à des températures un peu plus élevées. C’est la conclusion d’une recherche de terrain menée sur 80 sites en Belgique. « Nous voyons pour la première fois comment l’urbanisation appauvrit la biodiversité à grande échelle », témoigne Frederik Hendrickx de l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique.
Urbanization drives community shifts towards thermophilic and dispersive species at local and landscape scales
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/gcb.13606/full