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We illustrate how to build spaces of interactions between research and management. We present two case studies we conducted through a long-term collaboration between the Centre for Functional and Evolutionary Ecology (CEFE; academic/science—a public research laboratory mostly focused on basic ecological questions) and the French Biodiversity Agency (OFB; non-academic/management—a public institute dedicated to biodiversity protection and restauration, under administrative supervision of ecology and agriculture ministries) with biodiversity monitoring in national parks and management of large carnivores in France.
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Dans la première partie de Sens Public, un débat consacré à l’avenir de notre planète. Plus de 190 pays sont réunis à Montréal pour une COP, une conférence des Nations Unies consacrée à la biodiversité. Un million d’espèces sont menacées, c’est donc un sommet pour sauver la nature dont on va détailler les enjeux dans une minute.
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Des chercheurs ont entraîné une intelligence artificielle (IA) afin d’attribuer un score esthétique à 2400 espèces de poissons de récifs coralliens ou rocheux. Résultat : les poissons que nous jugeons les « moins beaux » sont ceux qui présentent, collectivement, la plus grande variété de caractéristiques écologiques et ont la plus longue histoire évolutive. Ce sont aussi les plus menacés…
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Pour se repérer dans les diverses sortes d'aires marines protégées (AMP) – dotées d'objectifs et réglementations différentes – 43 spécialistes des sciences marines et sociales, du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) en France, ont élaboré un guide des AMP. Publié jeudi 9 septembre dans Science, ce dernier fournit un cadre pour planifier, cartographier, suivre et contrôler l'atteinte des objectifs assignés.
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COMMUNIQUE DE PRESSE - INRAE, le CNRS et l’OFB participent au lancement de l'Initiative mondiale sur la migration des ongulés (GIUM), en partenariat avec la Convention des Nations Unies sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS). Composée d’une équipe internationale de 92 scientifiques et gestionnaires de la faune sauvage et de ses habitats, cette initiative a l’ambition d’élaborer le premier atlas mondial des migrations d’ongulés sauvages. Les objectifs de ce projet sont présentés dans un article paru le 7 mai 2021 dans la revue Science : des leviers pour mieux comprendre les migrations afin de mieux préserver les ongulés sauvages et les socio-écosystèmes qui dépendent de leur présence.
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La France, deuxième zone économique exclusive au monde (plus de 10 millions de kilomètres carrés avec l’outre-mer), ambitionne de recouvrir 30 % de son territoire océanique par des aires marines protégées (AMP) d'ici 2022, dont un tiers en "protection forte”. Tandis que la stratégie nationale sur les AMP vient d’être annoncée, une équipe de scientifiques du CNRS a étudié les 524 AMP françaises. Premier constat: l’objectif de 30 % est atteint mais avec une répartition très inégale.
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Les réseaux d’aires marines protégées font partie des stratégies internationales de conservation de la biodiversité. Une revue systématique, réalisée en partenariat avec l’UMR Espace-Dev et publiée dans la revue Conservation Letters, s’est intéressée aux lacunes autour de l’évaluation de ces zones et propose une nouvelle approche.
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Face à l’anthropisation croissante des milieux aquatiques, la communauté internationale s’est fixée comme objectif d’évaluer, et de surveiller l’état écologique des eaux de surface et souterraines. En France et plus largement en Europe, la Directive Cadre sur l’Eau viendra appuyer cet objectif (...) En ce sens, des indices biologiques (ex : indice poisson rivière ; indice invertébrés multi-métrique) ont été développés pour les cours d’eau afin d’évaluer les sites qui sont sains (bon état écologique) ou significativement dégradés (mauvais état écologique). Cependant, ces indices biologiques ne permettent pas d’identifier les causes (pressions d’origine anthropique) à l’origine de la dégradation des sites en mauvais état, limitant alors les actions de conservation et de restauration des gestionnaires de l’environnement visant à atteindre le bon état écologique. Pour pallier ces lacunes, une collaboration scientifique menée par l’Université de Lorraine, impliquant plusieurs organismes de recherche (INRAE, CNRS, MNHN), et financée par l’Office Français de la Biodiversité, propose un outil de diagnostic des pressions d’origine anthropique à travers l’étude des communautés piscicoles.
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De plus en plus de travaux suggèrent une incompatibilité entre croissance économique et conservation de la biodiversité. Et pourtant, la revue que publie dans Conservation Letters une équipe internationale couvrant un vaste éventail de disciplines, de régions et d’institutions, et à laquelle le Centre d'Ecologie Fonctionnelle et Evolutive (CEFE – CNRS / Univ. Montpellier / Univ Paul Valéry Montpellier / EPHE / IRD) a pris part, révèle que les politiques internationales en vue de juguler l’érosion de la biodiversité s’appuient toutes sur des scénarios de croissance. Les auteurs analysent cette contradiction et recommandent d’explorer des trajectoires socio-économiques affranchies de l’injonction de croissance et compatibles avec les objectifs de préservation de la biodiversité.
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La science fait-elle ce qu’il faut pour sauvegarder la biodiversité ? Oui, assurent aujourd’hui deux scientifiques qui ont analysé quelque 13 000 articles publiés sur le sujet. Laurent Godet, coauteur de cette étude, répond ici à ceux qui pensent que la biologie de la conservation, discipline qui étudie la biodiversité et propose des outils pour enrayer la crise actuelle, serait déconnectée du réel ou peu conciliante avec les activités humaines.
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Environ 8% du territoire de la Guyane est sous statut de Zones de Droits d’Usage Collectif (ZDUC). Ce statut instauré en 1987 reconnaît l’exercice de droits d’usage traditionnels et de subsistance aux communautés amérindiennes et bushinenguées sur le territoire. Il s’applique sur 7 000 km2 des 84 000 km2 de surface totale de la Guyane.
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Les aires marines protégées (AMP) sont l’une des solutions avancées pour contribuer à l'adaptation et à l'atténuation des effets du changement climatique. Pour le démontrer, des scientifiques du Criobe (CNRS/École pratique des hautes études/UPVD) au sein d’une équipe internationale
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Parallèlement au processus d’extinction massive qu’elles connaissent, les espèces qui nous entourent peuvent également disparaître de notre mémoire et de notre attention collectives : c’est ce qu’on appelle l’extinction sociale. Ce phénomène représente un défi pour la gestion et la conservation de la biodiversité, car la sensibilisation du public à une espèce est essentielle pour les mesures de conservation. Dans un article paru dans la revue Trends in Ecology and Evolution, un groupe international et interdisciplinaire de scientifiques explore ce phénomène, aussi appelé extinction culturelle.
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De nombreux Etats se sont engagés à protéger 30 % de la surface de la Terre d'ici à 2030 afin de sauvegarder la biodiversité et les services écosystémiques, mais quoi protéger exactement, et où, reste une question ouverte. Dans une étude parue dans Science, des scientifiques, dont plusieurs sont issus du Laboratoire d'Écologie Alpine (LECA – CNRS / Université Grenoble Alpes / Université Savoie Mont-Blanc), ont identifié des zones prioritaires qui peuvent améliorer la conservation des espèces, et des services écosystémiques de régulation (ex. : la séquestration du carbone, la pollinisation, la protection contre les inondations) et culturels (ex. : la nature patrimoniale, la cueillette) en Europe. Les zones de congruence entre ces trois valeurs sont rares, mais une stratégie focalisée sur la préservation des espèces permet de protéger simultanément plusieurs valeurs de la nature.
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Ce concept permet d’intégrer les processus écologiques associés aux paysages nocturnes dans les stratégies de conservation de la biodiversité et la lutte contre la pollution lumineuse. La lumière artificielle nocturne constitue une menace croissante pour la biodiversité à l’échelle mondiale. Au cours de la période 2012-2016, les émissions de lumière ont augmenté globalement à un taux annuel moyen de 2,2 % et impactent à présent plus de 88 % des espaces nocturnes européens. La lumière artificielle nocturne affecte notamment les rythmes biologiques ou les mouvements des individus d’un grand nombre d’espèces, ce qui provoque des effets en cascade sur les écosystèmes.
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En s’appuyant sur les données du Suivi temporel des oiseaux communs (STOC), un dispositif de sciences participatives du programme Vigie Nature, l'UMR CESCO (CNRS-MNHN-SU) et l’UMS PatriNat viennent de publier une étude comparant l’évolution des populations d’oiseaux communs dans et hors sites Natura 2000. L’effet du réseau Natura 2000 s’est avéré significatif sur les tendances des oiseaux liés aux milieux agricoles : le déclin de ces espèces, très marqué sur l’ensemble du territoire, est nettement moins fort au sein des sites Natura 2000, indice d’un impact positif de la politique sur ces milieux.
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Une étude parue dans la revue Nature montre que les objectifs fixés en 2010 pour conserver la biodiversité par le biais d’un réseau d’aires protégées en 2020 sont loin d’être atteints. Ces travaux, auxquels des scientifiques du Centre d'Ecologie Fonctionnelle et Evolutive (CEFE– CNRS / Université de Montpellier / Université Paul Valéry de Montpellier / EPHE / IRD) ont contribué, mettent notamment en évidence des manquements importants dans la capacité du réseau à couvrir les sites les plus importants pour la biodiversité, laissant de nombreuses espèces sans aucune protection. Les résultats soulignent également que les aires protégées sont capables de limiter les déclins de biodiversité mais que leur efficacité actuelle est insuffisante à cause des faibles moyens qui leur sont alloués.
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En évaluant les 1062 aires marines protégées de la mer Méditerranée, recouvrant 6% du bassin méditerranéen, une équipe de recherche dirigée par le CNRS a montré que 95% de la surface de ces aires est dépourvue de réglementations suffisantes permettant de réduire les impacts humains sur la biodiversité
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Des chercheurs du CNRS et de l'Université Rennes 11, en collaboration avec la société Airbus, ont découvert un signal visuel qui permet de détourner durablement les rapaces de sites à risques. Cette découverte ouvre des pistes à la fois en recherche sur la cognition visuelle de ces oiseaux mais aussi pour la conservation de ces espèces, les rapaces figurant parmi les premières victimes de collisions avec des avions et des éoliennes notamment. Cette étude est publiée le 11 octobre 2018 dans PLOS ONE.
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Thibaut Couturier, Sarah Bauduin, Guillelme Astruc, & al.05 June 2023, Ecological Solutions and Evidence, Vol.4 https://doi.org/10.1002/2688-8319.12245
Lire aussi "L’OFB et le CNRS bâtissent des ponts entre recherche en écologie et conservation de la biodiversité"