L'idée est simple : placer de fausses chenilles en pâte à modeler dans des arbres et observer les traces laissées par leurs prédateurs. Ainsi, la plus ou moins grande présence d'empreintes de bec, de dents ou de mandibules sur les leurres donne une idée de l'activité des prédateurs des chenilles.
Durant deux ans, 82 enseignants et leurs élèves dans différents pays européens ainsi que 30 scientifiques ont suivi un protocole dans le cadre du projet de recherche participatif.
Programme « Gardiens des chênes » https://sites.google.com/view/oakbodyguards/home/fran%C3%A7ais