Biodiversité

2021 s’annonce crucial pour la biodiversité avec une série de sommets internationaux qui doivent à aboutir à l’élaboration d’un nouveau cadre pour mieux protéger nos écosystèmes.

Deux sommets, surtout, devaient émailler l’année : le Congrès mondial de la nature de l' UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), qui était prévu en juin dernier à Marseille, et  la COP15 biodiversité à Kunming, en Chine, qui devait se tenir cet automne. Celle-ci surtout était attendue. Elle devait accoucher d’un nouveau cadre mondial, post-2020, pour mieux protéger les écosystèmes. Il s’agissait ainsi de trouver une suite aux vingt objectifs d’Aïchi, définis par la communauté internationale pour la période 2010-2020 et dont aucun n’a été pleinement atteint.

Les scientifiques chargés du suivi de la qualité de l’eau des trois côtés du bassin de Prespa se sont réunis à Stenje (Macédoine du Nord), en octobre 2019, pour renforcer l’initiative de coopération transfrontalière prise il y a un an sur l’autre rive du lac.

L’eau est la ressource naturelle la plus vitale de Prespa, partagée par l’Albanie, la Grèce et la Macédoine du Nord, et des programmes de suivi de sa qualité sont en cours sur les trois côtés du bassin.

Communiqué de presse   Mardi 19 novembre 2019, une nouvelle convention  portée par la Tour du Valat a été signée avec le Fonds Français pour l’Environnement Mondial. 

Les zones humides de Méditerranée recèlent des écosystèmes d’une grande richesse, qui tendent à disparaître du fait des fortes pressions qu’ils subissent: démographiques, économiques et agricoles. Les zones humides peuvent pourtant fournir des ressources aux populations locales et leur permettre de se développer durablement. Elles peuvent être préservées avec l’implication de la société civile des pays partenaires (Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Turquie, Liban, Jordanie, Albanie et Monténégro).