Emmanuel Macron a décidé de classer, d'ici 2022, 30 % du territoire français, en métropole et en outre-mer, au sein « d'aires protégées », que l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) définit comme « des espaces géographiques clairement définis, reconnus, consacrés et gérés, par tout moyen efficace, juridique ou autre, afin d'assurer à long terme la conservation de la nature ainsi que les services écosystémiques et les valeurs culturelles qui lui sont associés ».
Timide, diront certains, l’objectif est à portée puisque 29,5 % d’aires terrestres et 23,5 % d’aires marines sont déjà protégées dans le pays. « L’extension du réseau d’aires protégées s’appuiera sur la diversité des outils de protection français (parcs naturels régionaux, réseau Natura 2000, réserves naturelles, etc.), que ce soit en métropole ou en outre-mer et autant sur le domaine terrestre que maritime ».
Site de la Convention sur la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique
Dans l'actualité également via @AntarcticTreaty le 26/10/2023: The Subsidiary Group on Management Plans (SGMP) of the Committee for Environmental Protection (CEP) is reviewing two management plans for designating new protected areas in Antarctica: Danger Islands Archipelago and Farrier Col on Horseshoe Island. https://ats.aq/devph/es/news/