L’hirondelle de fenêtre vit… aux fenêtres. Cette tautologie souligne une idée moins évidente : le lien entre architecture et habitat ne se réduit pas aux seuls humains. Les animaux habitent eux aussi le monde que nous construisons. Les façons dont nous affectons la vie, aussi bien animale que végétale, lui sont, dans une très large partie, néfastes.
Cet article s’inscrit dans le cadre de la participation de l’Ordre des architectes au projet Rénovation du bâti et biodiversité et du programme Nature en ville lancés par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO).via @Architectes_org