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15 ans de suivis de la flore commune, 428 membres participants, 147 444 observations… Des comptes sont faits dans le bilan, qui rapporte aussi des résultats scientifiques et des souvenirs. Témoignages, photos, illustrations réalisées par des participantes… Bref, un document pour faire trace de cette aventure commune, dont quelques éléments sont repris dans cet article. 
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Des cartes évolutives proposent une analyse détaillée des services que la nature rend à l’humanité. Alors que les spécialistes documentent de plus en plus précisément « la sixième extinction de masse » en cours (voir les rapports l’IPBES sur l’effondrement de la biodiversité), les politiques se préparent à fixer, en 2020, de nouveaux objectifs et plans de conservation des écosystèmes. Mais protéger efficacement la nature requiert une compréhension fine des processus – variés et très locaux – grâce auxquels elle profite à l’humanité.
DocBiodiv's insight:
Auteur : Charlotte Weil, Environmental Data Scientist, Stanford University, qui fait partie de Natural Capital Project Consultez le site, qui sous 3 items Water quality, Coastal risk Crop pollination propose cartes, et prospectives. http://viz.naturalcapitalproject.org/ipbes/
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En Europe comme en Amérique du Nord, l’aire de présence des pollinisateurs s’est réduite de 300 kilomètres. Une étude pointe l’effet du climat, mais elle ne suffit pas à disculper les pesticides.
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Des mouches, en pleine confusion sexuelle, incapables de distinguer les mâles des femelles : la pollution atmosphérique, qui menace déjà la pollinisation des plantes, sème aussi la pagaille dans la reproduction d'insectes.
DocBiodiv's insight:
Jiang, NJ., Chang, H., Weißflog, J. et al. Ozone exposure disrupts insect sexual communication. Nat Commun 14, 1186 (2023). https://doi.org/10.1038/s41467-023-36534-9 via @MPI_CE Nanji Jiang, @billhansson ,@mknaden1 et al. report in a new study in @NatureComms that high levels of ozone destroy the chemical mating signal of flies and may thus contribute to global insect decline. https://ice.mpg.de/442650/PR_Jiang
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"Les chercheurs ont mesuré à la fois l'abondance des insectes et le nombre d'espèces différentes présentes dans diverses régions du monde, comparant ces chiffres à des zones vierges et moins touchées par le changement climatique. L'étude publiée dans la revue Nature conclut que le réchauffement de la planète et l'utilisation intensive des terres ne touchent pas seulement la population totale d'insectes, divisée de près de moitié, mais réduit également de 27% le nombre d'espèces.
Via Bernadette Cassel
DocBiodiv's insight:
Par Sciences et Avenir avec AFP le 20.04.2022 selon l'étude parue dans Nature. Citation du chercheur sur Twitter @CharlieLouO Check out our NEW PAPER published today in @Nature ! Agriculture and climate change reshape insect biodiversity worldwide. https://nature.com/articles/s41586-022-04644-x. By myself, @p_m_mccann and @tnewbold31 @UCLCBER @uclbiosciences
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Le professeur Michaël Hutchings de l'université du Sussex (Grande-Bretagne) en est persuadé : il tient la première preuve tangible que le réchauffement climatique perturbe bien les interdépendances entre les espèces. Ses travaux publiés dans Botanical journal of the Linnean society démontrent en effet que les relations entre l'ophrys araignée, Ophrys sphegodes, et son pollinisateur associé, l'hyménoptère
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https://www.vigienature.fr/fr/vigie-florep