Biodiversité

L’année dernière a été marquée par des records battus et des promesses non tenues. Les émissions de gaz à effet
de serre ont atteint de nouveaux sommets, les records de température se sont envolés et les effets du changement climatique se sont fait sentir plus rapidement et plus fortement. Le financement pour aider les communautés vulnérables à s’adapter aux changements climatiques n’est pas fourni. En parallèle, la plupart des objectifs de développement durable (ODD) ne sont pas sur la bonne voie à mi-parcours du Programme 2030. Les raisons en sont multiples, mais il est indéniable que la lenteur de l’action face à la triple crise planétaire des changements climatiques, de la perte de la nature et de la biodiversité, ainsi que de la pollution et des déchets, constitue un facteur déterminant.

Des élèves et des scientifiques décident de passer à l'action pour mieux connaitre et réduire les microplastiques dans les rivières et le lagon de Mayotte.

L’Office français de la biodiversité fait partie du comité d’organisation de la semaine pour les alternatives aux pesticides, coordonné par Générations Futures en partenariat avec des dizaines d'associations, d'entreprises, de syndicats, de collectivités territoriales et autres organisations...

Les déchets prennent le pouvoir. Ils envahissent nos rues, nos plages, nos calanques, nos collines, notre mer. Les micro-plastiques s’invitent jusque dans nos assiettes au détriment de notre santé et de l’environnement… Un phénomène malheureusement accentué par la crise sanitaire. Face à ce constat inquiétant, une bonne nouvelle : puisque nous sommes tous une partie du problème, nous pouvons aussi être une partie de la solution !

Une enquête normande sur la trame noire et la pollution lumineuse La trame noire est un sujet émergent au niveau national. Issue de la trame verte et bleue, la trame noire ou trame sombre doit maintenir un corridor écologique la nuit, sans pollution lumineuse, afin que les espèces nocturnes ou crépusculaires (hiboux, papillons de nuit, […]

Brune Poirson s’est rendue lundi 5 août à La Seyne-sur-Mer afin de signer la charte d’engagement Une plage sans déchet plastique, pour des communes littorales éco-exemplaires. À travers 15 gestes concrets autour de trois grandes thématiques, les collectivités contribuent à la préservation de leurs plages.

La faune, la flore, la lutte contre les pollutions, le braconnage, le trafic d'animaux, etc. Aujourd'hui pour Terre de Champagne-Ardenne, Olivier Cattiaux est avec la Police de l'environnement. Reportage.

Les derniers résultats montrent que de manière générale, le changement climatique s’impose en 2022 comme le principal sujet de préoccupation des Français. À l’échelle de leur lieu de vie, c’est la pollution de l’air qui suscite le plus les inquiétudes des enquêtés. Jugeant que c’est d’abord aux pouvoirs publics d’agir, ils restent relativement peu disposés à transformer leurs modes de vie pour protéger l’environnement.

Après plus d’un an de test, l’application de guidage communautaire aux plus de 14 millions d’utilisateurs en France, Waze, et la 2ème destination touristique de France, Provence-Alpes-Côte d’Azur, s’associent pour contribuer à une meilleure répartition des flux des visiteurs dans les sites naturels sensibles et lisser les pics de fréquentation.

Composante essentielle de tous les êtres vivants, l’eau est aussi un milieu de vie pour certains d’entre eux. Elle circule sans cesse, des précipitations vers les eaux de surface (cours d’eau, rivières, fleuves, lacs, etc.), la végétation (sauvage et agricole), les eaux souterraines (nappes), les mers et les océans. Sous l’effet des activités humaines, elle fait l’objet de nombreuses pollutions susceptibles d’affecter la biodiversité et la santé humaine. Protéger la ressource en eau constitue donc un enjeu majeur. Le Service des données et études statistiques (SDES) et l’Office français de la biodiversité (OFB) s’inscrivent dans cette démarche en informant et sensibilisant régulièrement l’ensemble des acteurs sur les enjeux liés à la préservation de l’eau et des milieux aquatiques.

L’excès de lumière artificielle conduit à la dérégulation des cycles naturels chez l’humain mais aussi au niveau de la biodiversité. Elle provoque des factures d’électricité élevées à la maison mais aussi dans l’espace public. La pollution lumineuse produite perturbe l’observation du ciel étoilé et les recherches scientifiques.

Aujourd’hui, les différents acteurs de l’éclairage public à La Réunion cherchent à « mieux éclairer » en fonction des pratiques et des usages des citoyens. Éclairer au plus juste permettra de réduire la pollution lumineuse et ses effets.

L'opération co-financée par l’Office français de la biodiversité (OFB) et la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur et relayée par les professionnels du tourisme estampillés Esprit parc national et par les offices de tourisme locaux, vise à faire des touristes et de leurs accompagnants des acteurs de la protection du territoire et de la destination qu’ils visitent dans une optique de tourisme durable. Les estivants sont incités à réduire leur usage d’objets plastiques, à systématiquement recycler les déchets plastiques, à ramasser ceux trouvés sur le littoral et en milieu marin, et à promouvoir autour d’eux ces éco-gestes simples, à appliquer au quotidien.