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Le rapport des acteurs de la gestion du vivant à la biodiversité est un enjeu central dans l’avenir des espaces urbains : non seulement la majorité de la population humaine habite en ville ou dans l’aire d’influence d’un espace urbain, mais cette urbanisation du monde est une des causes principales de l’érosion de la biodiversité à l’échelle globale. Cet article propose d’examiner les enjeux de tri et de soin du vivant qui organisent et influencent l’évolution du rapport des gestionnaires et in fine, des citadins à la biodiversité urbaine. Dans une première partie, nous explorons l’héritage des différentes cultures gestionnaires du vivant en ville, à travers une revue de la littérature sur l’hygiénisme et ses évolutions (post-hygiénisme et néo-hygiénisme). Nous analysons ensuite le corpus réglementaire et les modalités de son application ou non par les praticiens. Enfin, nous présentons les résultats d’une enquête auprès d’acteurs publics et parapublics de la gestion des espaces publics urbains dans plusieurs collectivités françaises. Cette enquête montre une diversité de représentations voire de récits qui produisent différents registres de légitimation d’un tri du vivant non humain en ville.
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Des scientifiques des UMR ENTROPIE, ISEM et MARBEC de Sète et Montpellier se sont penchés sur la spécialité gastronomique locale, la tielle. Entre dégustation de produits et techniques de pointe, leurs résultats réservent des surprises.
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Un dossier d'actualité de l'hebdomadaire qui comprend plusieurs articles : - Entretien avec Oscar Navarro Carrascal, professeur en psychologie sociale et environnementale à l’université de Nîmes] « Souvent, les gens ne font pas le lien avec leurs comportements » - Réunions publiques, diagnostics, ateliers… un travail collectif face aux inondations - Garde champêtre, un profil très prisé - Les maires bien seuls pour faire la police
La population française est potentiellement exposée à des risques naturels (inondations, vents violents…), technologiques (industriels, nucléaires) et sanitaires (dus à la pollution ou au développement de nouvelles maladies). Comment perçoit-elle ces risques environnementaux et leur gestion par les pouvoirs publics ?
Via AURH - Agence d'urbanisme
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Neuf personnes sur dix identifient que la pollution de l'air extérieur (92,2 %), les métaux lourds (89,8 %), les sols pollués (89,4 %), les pesticides (89,1 %) et les événements climatiques extrêmes (82,4 %) présentent un risque " élevé " à " plutôt élevé ". Elles étaient moins nombreuses à identifier un risque " élevé " à " plutôt élevé " pour le bruit (71,3 %), les plantes invasives (66,2 %) et le radon (59,4 %).
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Selon une étude, 16 % des Britanniques ont déclaré ressentir une relation de proximité avec les arbres, contre seulement 7 % avec leur voisinage. Les scientifiques établissent un lien entre le rapport à la nature et l'inclination à la protéger.
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Un élément marquant et constant de notre enquête trimestrielle sur le bien-être subjectif est le degré de pessimisme des Français. Leur évaluation de ce qu’ils vont vivre dans les années à venir est assez systématiquement plus négative que celle de leur situation actuelle, et leur appréciation des perspectives de la prochaine génération sont franchement sombres.
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Désinformation, fatalisme, manque de solutions, éco-anxiété... Une enquête montre qu'il reste beaucoup à faire pour rassurer et informer les jeunes sur les enjeux environnementaux et les possibles leviers d'action.
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Décembre 2021 - Résultats scientifiques Malgré les accords internationaux en faveur de la préservation de la biodiversité (ex : objectifs d'Aichi, Convention sur la diversité biologique), l’efficacité des actions menées par les décideurs reste limitée. Mais qu’en est-il des citoyens ? Existe-t-il des leviers qui permettraient une meilleure mobilisation ? A travers une méta-analyse publiée dans Conservation Letters, des chercheurs ont montré que le sentiment d’appartenance à la nature (= connexion humain-nature, CHN) améliore la préservation de la nature par les citoyens, ainsi que leur bien-être. Cette connexion se fait notamment en passant du temps dans la nature et en se concentrant sur l’instant ou l’environnement présents.
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Pour répondre à la quête de sens d'une jeunesse dont la moitié déclare souffrir d’éco-anxiété, mais aussi aux besoins des entreprises, des établissements lancent des formations entièrement dédiées à la transition. Un premier pas en cette journée mondiale de l’éducation, même si les enjeux du climat restent encore trop peu abordés dans l’enseignement supérieur.
L’oiseau le plus photogénique sur Instagram n’est pas l’ara du dessin animé Rio ni le flamant rose, mais une espèce dont vous n’avez certainement jamais entendu parler. Deux chercheurs allemands ont tenté de percer le secret de ces stars du réseau social.
Via Hubert MESSMER
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Nature affects human well-being in multiple ways. However, the association between species diversity and human well-being at larger spatial scales remains largely unexplored. Here, we examine the relationship between species diversity and human well-being at the continental scale, while controlling for other known drivers of well-being. We related socio-economic data from more than 26,000 European citizens across 26 countries with macroecological data on species diversity and nature characteristics for Europe. Human well-being was measured as self-reported life-satisfaction and species diversity as the species richness of several taxonomic groups (e.g. birds, mammals and trees). Our results show that bird species richness is positively associated with life-satisfaction across Europe.
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C’est le podcast de l’association où la parole des jeunes fait la différence. Faites la connaissance de six jeunes et au fil de leur témoignage, découvrez leur parcours, l’origine de leur engagement, leurs réflexions sur l’écologie et leurs projets pour notre avenir et le bien commun.
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La biodiversité s’érode, les écosystèmes disparaissent, le climat se dérègle mais nous ne réagissons pas… Comme la princesse troyenne Cassandre, la communauté scientifique annonce une crise majeure sans être réellement entendue. Plutôt que de déplorer notre inaction, Mathieu Farina en explore les causes. Il montre que nos histoires collectives et individuelles ont façonné notre rapport à la nature, nos émotions et nos comportements à son égard. En bousculant nos représentations erronées et en présentant les savoirs scientifiques actuels sur le fonctionnement de la nature, il nous invite à reconsidérer nos certitudes.
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Dans un contexte où des évolutions dans nos modes de vie, nos modes de consommation et de production s'imposent, l'ADEME a lancé un nouveau baromètre, avec l'aide de l'ObSoCo, sur les questions de sobriétés et modes de vie pour mieux appréhender les évolutions des pratiques et représentations des Français sur ce sujet, mais aussi les conditions de mise en œuvre de démarches collectives et individuelles de sobriété et les incidences positives et négatives sur les différents publics.
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Climat qui dérape, agonie du vivant, millions de personnes durement touchées… Il y a de quoi avoir le bourdon. Camille Etienne, Lucie Lucas, Corinne Morel-Darleux et d’autres nous donnent leurs recettes pour retrouver de l’élan en cette heure cruciale pour notre avenir.
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Au tournant des années 1970, une forme de biophilie gagne l’espace océanique où un profond changement dans la perception des animaux est à l’œuvre.
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Tous les ans, nous interrogeons les Français sur ce qu’ils pensent de leurs services d’eau : Ont-ils confiance ? Sont-ils satisfaits ? Sont-ils inquiets de manquer d’eau ? Quelles sont leurs habitudes de consommation ?
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Néologisme qui se compose du terme anglais « solace » qui signifie réconfort et du mot « algie », douleur, en français, la solastalgie renvoie à la peur de perdre son habitat à cause de la destruction des écosystèmes, se rapprochant ainsi de l'éco-anxiété.
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La climatologue Valérie Masson-Delmotte pense que la prise de conscience et l’action contre le réchauffement « montent en puissance », mais que la réponse politique reste loin du changement d’échelle nécessaire. « Les événements extrêmes que l’on subit doivent nous ouvrir les yeux sur les transformations profondes à réaliser. »
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Le récit écologique dominant, alarmiste et sacrificiel, peine à générer un engagement suffisant. Un autre récit écologique est-il possible ? Alors que le discours ambiant parle d’ « extinction de l’expérience de Nature », la Fabrique Spinoza offre un plaidoyer pour un grand récit écologique, positif et vertueux, mettant en avant les bienfaits de la nature, notamment sur la santé, et faisant glisser de l’émerveillement à l’engagement, et donc vers une nouvelle approche de la transformation écologique.
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Pour limiter dépression et anxiété, rien ne vaut des espaces naturels avec des espèces variées de plantes et d’oiseaux, affirme une étude allemande.
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Aurélien Judic et Sabine Bognon, VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement [En ligne], Vol 23 N° 3 Décembre 2023, consulté le 29 mai 2024 DOI : https://doi.org/10.4000/11pd5
via @UMR_CESCO, Centre d'Ecologie et des Sc. de la Conservation