The third edition of the World Wildlife Crime Report probes recent trends in the illicit trafficking of protected species of wild fauna and flora and provides a broad assessment of current knowledge about the causes and implications of associated crime at a global level. As was the case for the first two editions published in 2016 and 2020, research carried out for this report included quantitative assessment of global wildlife trafficking and a series of in-depth case studies. An additional emphasis for this edition is on systematic analysis of wildlife crime harms and impacts, factors driving crime trends and the evidence for what remedial interventions work best.
The report concludes that wildlife trafficking persists worldwide despite two decades of concerted action at international and national levels.
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"The global scope and scale of wildlife crime remain substantial with seizures during 2015–2021 indicating an illegal trade in 162 countries and territories affecting around 4,000 plant and animal species." via @UNODC
Durant des millions d'années, les poissons d'eau douce évoluaient de manière isolée dans leurs continents respectifs. Jusqu'à ce que le déplacement massif des espèces par les sociétés humaines rebattent les cartes, selon une étude parue vendredi 17 novembre.
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GEO avec AFP Publié le 20/11/2023. Via @BLeroyEcology
Article de recherche : Boris Leroy et al., Major shifts in biogeographic regions of freshwater fishes as evidence of the Anthropocene epoch. Sci. Adv.9, eadi5502(2023) .DOI:10.1126/sciadv.adi5502
Lire aussi sur le site The Conversation France par Boris Leroy
Maître de conférences en écologie et biogéographie (MNHN)
Des formations à la manipulation des animaux saisis lors d’opérations de lutte contre le trafic d’espèces sauvages vont être dispensées par le fonds Ifaw à plus de 200 agents des forces de l’ordre en Indonésie, au Congo et au Guyana.
Qu'est-ce que la journée mondiale de la vie sauvage? Le 20 décembre 2013, lors de sa 68e session, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 3 mars – date de la signature en 1973 de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) – « Journée mondiale de la vie sauvage ». Cette journée a pour objectif de célébrer toutes les espèces de faune et de flore sauvages de la planète et de sensibiliser le grand public à la multitude d’avantages qu’elles procurent.
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Cette année marque également le 50ème anniversaire de la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES)https://cites.org/eng
Parmi les saisies réalisées, se trouvent notamment 119 félins, 34 primates, 136 parties de corps de primates, 25 cornes de rhinocéros, neuf pangolins, 389 kg d'écailles et dérivés de pangolins, 750 oiseaux et plus de 450 parties d'oiseaux. Des pièces d'ivoire d'éléphant, des reptiles et des produits marins ont également été saisis.
The International Consortium on Combating Wildlife Crime has launched its Vision 2030 which will guide the Consortium's work in the decade to come, to support Parties’ efforts to combat wildlife crime and to contribute towards a world free of wildlife crime.
ICCWC is a unique partnership between five intergovernmental organizations to strengthen criminal justice systems and provide coordinated support at national, regional and international level to combat wildlife and forest crime.
La Conférence des Nations Unies sur le climat de cette année se tient à Charm El-Cheikh, en Egypte, dans un contexte d'événements météorologiques extrêmes dans le monde entier, d'une crise énergétique alimentée par la guerre en Ukraine et de données scientifiques réitérant que le monde ne fait pas assez pour lutter contre les émissions de carbone et protéger l’avenir de notre planète. |
Le Comité permanent de la CITES examinera les enjeux les plus urgents, parmi lesquels : le soutien aux Parties afin qu’elles se conforment effectivement à la Convention, à travers ses outils, afin d’éviter la surexploitation des espèces sauvages ; les moyens de suivre et gérer les spécimens issus de la biotechnologie ; une meilleure concertation des actions contre le commerce illégal d’espèces en voie d’extinction ; le point sur les travaux accomplis pour réduire la demande mondiale de produits d’animaux et plantes commercialisés de manière illégale ; et les possibilités de mieux faire appliquer la Convention.
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La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction regroupe 184 parties.
Un simple selfie avec un singe peut avoir des conséquences néfastes. C'est en tout cas la conviction de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui exhorte désormais les scientifiques à ne plus poster de photos d'eux en compagnie de primates sur les réseaux sociaux, explique The Guardian. Ces images pourraient en effet stimuler le commerce illégal de singes en encourageant le public à se prendre en photo avec ces animaux protégés.
Future pandemics will emerge more often, spread more rapidly, do more damage to the world economy and kill more people than COVID-19 unless there is a transformative change in the global approach to dealing with infectious diseases, warns a major new report on biodiversity and pandemics by 22 leading experts from around the world.
Highlights: Intergovernmental Council on Pandemic Prevention; Addressing risk drivers including deforestation & wildlife trade; Tax high pandemic-risk activities
540,000 - 850,000 unknown viruses in nature could still infect people; More frequent, deadly and costly pandemics forecast; Current economic impacts are 100 times the estimated cost of prevention
Zoonotic viruses infect people directly most often when they handle live primates, bats, and other wildlife (or their meat) or indirectly from farm animals such as chickens and pigs. The risks are higher than ever (2, 3) as increasingly intimate associations between humans and wildlife disease reservoirs accelerate the potential for viruses to spread globally. Here, we assess the cost of monitoring and preventing disease spillover driven by the unprecedented loss and fragmentation of tropical forests and by the burgeoning wildlife trade.
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By Andrew P. Dobson, Stuart L. Pimm, Lee Hannah, Les Kaufman, Jorge A. Ahumada, Amy W. Ando, Aaron Bernstein, Jonah Busch, Peter Daszak, Jens Engelmann, Margaret F. Kinnaird, Binbin V. Li, Ted Loch-Temzelides, Thomas Lovejoy, Katarzyna Nowak, Patrick R. Roehrdanz, Mariana M. Vale
Filtration de la pollution dans l'eau et l'air, régulation du climat, bienfaits psychiatriques, lutte contre les épidémies... la nature rend une multitude de services, souvent ignorés, aux humains. Autant d'arguments pour la préserver.
La biodiversité, mal connue et mal préservée. Par Olivier Monod; Peu rentable, la recherche de nouvelles espèces animales et végétales souffre de manque de moyens. Si les chiffres du nombre d'espèces connues divergent selon les scientifiques, une chose est certaine : plus le temps passe, moins il y en aura à découvrir.
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Chaque mois, Libération creuse une thématique environnementale. Après la chasse et le ski, troisième épisode, pourquoi préserver la biodiversité, c’est préserver notre santé. le 30 avril 2020
Chaque mois, Libération creuse une thématique environnementale. Après la chasse et le ski, troisième épisode, pourquoi préserver la biodiversité, c’est préserver notre santé. Le 30 avril 2020
Au cours des dix dernières années, le problème du trafic illicite des espèces sauvages est devenu très grave, mais, face à cette menace, les autorités ont répondu à l’appel, redoublant d’efforts pour corriger la situation. Pour mener à bien leur action, elles doivent souvent saisir et confisquer des espèces sauvages, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux ou de champignons. Bien que ces confiscations concernent parfois des spécimens non vivants faisant partie d’objets, de produits alimentaires ou de produits médicamenteux, elles touchent souvent des espèces vivantes. Sachant que les confiscations se font de plus en plus fréquentes et portent souvent sur un grand nombre d’individus, il est important d’adopter des approches fondées sur les bonnes pratiques pour prioriser la conservation et assurer la sauvegarde de ces plantes et animaux. Ces lignes directrices sont destiné à fournir une orientation en la matière.
Aussi connue sous le nom de Convention de Bonn, elle a été signée en 1979 et compte aujourd’hui 133 pays membres
14 nouvelles espèces ont été ajoutées aux annexes de la convention, dont le Lynx eurasien, le chat de Pallas, le requin tigre des sables et le pluvier de Magellan. Par ailleurs, les Parties ont lancé de nouvelles actions de protection pour six espèces, dont le chimpanzé, la chauve-souris fruitière de couleur paille et le requin, ainsi que la poursuite des actions déjà mises en œuvre pour neuf espèces, parmi lesquelles la girafe, le dauphin à bosse de l’Atlantique, et l’albatros des Antipodes.
Deux nouvelles initiatives mondiales, l’une sur la continuité écologique, l’autre sur la lutte contre le prélèvement illégal d’espèces sauvages ont été lancées.
L’une des plus grandes compagnies maritimes d’Europe, DFDS, va modifier ses itinéraires et ralentir la vitesse de ses navires afin de réduire le risque de collision avec les cachalots, une espèce menacée d’extinction en Méditerranée orientale. Les changements prévus, appliqués avec effet immédiat, devraient réduire de moitié le risque de collision des navires DFDS avec les cachalots à l’ouest du Péloponnèse.
En visite à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (CDG), la secrétaire d’État à l’écologie, Bérangère Couillard, a annoncé la création d’un groupe de travail pour accroître la lutte contre le commerce illégal de viande et d’animaux sauvages à destination de la France. En 2021, les services douaniers du terminal 2 de l’aéroport CDG ont saisi pas moins de «36 tonnes de produits illégaux issus d’espèces sauvages, dont 17 tonnes d’espèces animales et de viande de brousse (pangolins, primates, agoutis, chauve-souris…)»
Between 2011-2020, approximately 3.5 million CITES shipments were reported in direct trade by exporters. This amounted to over 1.3 billion individual organisms (1.26 billion plants and 82 million animals) and an additional 279 million kg of products reported by weight (193 million kg of plants and 86 million kg of animals).
Les États membres des Nations unies (ONU) négocient actuellement un nouvel accord visant à préserver la biodiversité marine dans les zones situées au-delà de la juridiction nationale (accord BBNJ), cet immense bien commun qui couvre près de la moitié de la surface de la Terre. La pause dans les négociations liée à la crise de la Covid-19 offre l’occasion de réfléchir aux ambitions et aux options du nouveau traité sur l’Océan. Ce billet explore les leçons pouvant être tirées de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES, 1973), un traité largement ratifié et considéré comme l’un des accords multilatéraux sur l’environnement (AME) les plus efficaces.
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Auteur : Daniel Kachelriess, Sea Shepherd Legal, Klaudija Cremers, Chercheuse, Politique maritime internationale, Glen Wright Chercheur, Gouvernance internationale de l'Océan sur le site de l'IDDRI. Suivre
Sous couvert de refuges pour animaux de cirque, certains en profitent pour en faire un business à selfies lucratif. Mais entre vide juridique et manque d’effectifs, les enquêteurs français misent sur une sensibilisation accrue du public.
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Par @CoralieSchaub dans le dossier qui fait la Une de Libe le publié le 20 février 2021.
- Edito : Selfies avec des animaux sauvages : des prédateurs devenus proies exhibées sur Internet. - Article : Le zoo Albuqaish à Dubaï permet de se faire photographier avec des félins. Une pratique dénoncée par les associations de défense des animaux et qui entretient le commerce illicite. Lire aussi, sur le cas du Costa Rica de nov 2019 https://lareleveetlapeste.fr/se-prendre-en-selfie-avec-des-animaux-sauvages-les-met-en-grand-danger-dextinction/
Par @CoralieSchaubdans le dossier qui fait la Une de Libe le publié le 20 février 2021.
- Edito : Selfies avec des animaux sauvages : des prédateurs devenus proies exhibées sur Internet. - Article : Le zoo Albuqaish à Dubaï permet de se faire photographier avec des félins. Une pratique dénoncée par les associations de défense des animaux et qui entretient le commerce illicite. Lire aussi, sur le cas du Costa Rica de nov 2019 https://lareleveetlapeste.fr/se-prendre-en-selfie-avec-des-animaux-sauvages-les-met-en-grand-danger-dextinction/
La vente d’animaux sauvages – en tant que nourriture, ingrédients pour la médecine traditionnelle ou animaux de compagnie – est aujourd’hui reconnue comme un facteur majeur de l’érosion de la biodiversité.
Le commerce d’animaux sauvages amplifie la menace d’extinction de près de 9.000 espèces, selon une étude publiée par notre partenaire The Conversation.
Les profits annuels générés par ce trafic sont estimés à plus de 20 milliards de dollars.
L’analyse de ce triste phénomène a été menée par Sadek Atoussi, Maitre de conférences en écologie à l’Université 8 Mai 1945 (Guelma, Algérie).
- Global wildlife trade across the tree of life By Brett R. Scheffers, Brunno F. Oliveira, Ieuan Lamb, David P. Edwards Science 04 Oct 2019 : 71-76 DOI: 10.1126/science.aav5327
- Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, connue par son sigle CITES https://www.cites.org/fra
La crise sanitaire que nous vivons aujourd’hui est en grande partie le résultat d’un effondrement de la biodiversité dans le monde. L’OFB vous propose une série d’entretiens avec ses experts pour donner des clés de compréhension sur la biodiversité, sur les liens qui existent entre crise sanitaire et érosion de la biodiversité, et sur les missions de l’OFB en matière de suivi sanitaire de la faune sauvage, de trafic d’espèces…
La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, connue par son sigle CITES ou encore comme la Convention de Washington, est un accord international entre Etats. Elle a pour but de veiller à ce que le commerce international des spécimens d'animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces auxquelles ils appartiennent.
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"The global scope and scale of wildlife crime remain substantial with seizures during 2015–2021 indicating an illegal trade in 162 countries and territories affecting around 4,000 plant and animal species." via @UNODC
Voir aussi : This first-ever Global Analysis on Crimes that Affect the Environment