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Les contributions « matérielles » de la nature sont souvent favorisées aux dépens d’autres contributions tout aussi essentielles, engendrant des injonctions contradictoires.
La prospective peut-elle servir l'action écologique ? Le changement climatique nous montrant d'ores et déjà ses effets, la construction d'un monde plus résilient et plus soutenable nous invite à penser autrement et collectivement notre rapport au futur. Et les récits des territoires d'avenir peuvent se révéler être de véritables outils pour planifier nos actions tout en inspirant nos imaginaires. Comment une démarche prospective peut-elle nous aider à comprendre, explorer et anticiper, avant de décider et d'agir ? Comment participe-t-elle à éclairer les décisions et les choix sur l'avenir, sans chercher à le prédire ? Convoquer d'autres représentations, d'autres acteurs pour imaginer de "nouveaux récits territoriaux" mais aussi interroger les choix face aux options et aux incertitudes… la prospective procède par une réflexion sur ce qui est possible, probable ou désirable pour inscrire l'action de chacun, de chaque secteur dans un devenir commun (ou dans des devenirs souhaitables).
Via Veille du laboratoire AAU
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Dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes (2021-2030), la restauration des écosystèmes est un levier mondialement reconnu pour lutter contre le dérèglement climatique et la perte de biodiversité. Pourtant, des débats persistent sur la forme que doivent prendre ces actions, partagés entre restauration active et ré-ensauvagement. Dans cette synthèse bibliographique parue dans Biological Reviews, une équipe internationale1 démontre que même si la restauration écologique et le ré-ensauvagement partagent le même objectif de régénération d’écosystèmes dégradés suite aux actions humaines, des différences existent cependant dans les démarches et moyens mis en œuvre.
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Twenty-five years since foundational publications on valuing ecosystem services for human well-being1,2, addressing the global biodiversity crisis3 still implies confronting barriers to incorporating nature’s diverse values into decision-making. These barriers include powerful interests supported by current norms and legal rules such as property rights, which determine whose values and which values of nature are acted on. A better understanding of how and why nature is (under)valued is more urgent than ever4. Notwithstanding agreements to incorporate nature’s values into actions, including the Kunming-Montreal Global Biodiversity Framework (GBF)5 and the UN Sustainable Development Goals6, predominant environmental and development policies still prioritize a subset of values, particularly those linked to markets, and ignore other ways people relate to and benefit from nature7. Arguably, a ‘values crisis’ underpins the intertwined crises of biodiversity loss and climate change8, pandemic emergence9 and socio-environmental injustices10.
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Les pressions exercées par les activités humaines sont la principale cause de l’érosion de la biodiversité de façon souvent irréversible. C’est pourquoi, il est apparu essentiel de protéger certains espaces jugés remarquables en termes d’espèces et d’habitats, de fonctions écologiques et de services rendus par les écosystèmes. Mais aussi souvent de patrimoine culturel et paysager.
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À quel point fréquenter un habitat naturel modifie l’importance que nous lui accordons ? En particulier si cette fréquentation s’accompagne d’une progression de la connaissance académique et familière de ces milieux ? Pour y répondre, les chercheurs M. Maki Sy, H. Rey-Valette, C. Figuières, M. Simier et R. de Wit s’intéressent au chapelet des étangs palavasiens près de Montpellier. Leur conclusion est sans équivoque : dans la majorité des cas la familiarité avec le site change les préférences du citoyen. La connaissance scientifique aussi, mais d’une manière différente.
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Point 3 du résumé de l'article : We found synergies between biodiversity conservation and socioeconomic development for 62% of the PAs, albeit with significant differences between African (55%) and European PAs (75%). Moreover, the sustainability of PAs in conserving biodiversity was strongly correlated with the empowerment of the PA management and the involvement of local communities in PA planning and decision-making processes.
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La transition s’inscrit dans une double référence : celle des politiques publiques gestionnaires, celle des initiatives politiques et des mouvements sociaux indépendants. Créé en 1971 sous la présidence de Georges Pompidou, le ministère français de l’Environnement a été rebaptisé, dans les années 2000, ministère de l’Écologie et du Développement durable ; puis est devenu, en 2017, ministère de la Transition écologique et solidaire. Cette succession d’appellations résume assez bien celle des objectifs globaux et nationaux des politiques publiques visant à remédier à la détérioration de la situation environnementale.
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La nature est au cœur de nos préoccupations sociales, écologiques et économiques. Frédéric Ducarme, philosophe de l'écologie au Muséum National d'Histoire Naturelle, s'est à cet égard interrogé sur sa définition dans plusieurs articles. Riche de son patrimoine étymologique, la nature se renouvelle au fil des époques.
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Pour préserver l’environnement, tant en matière de climat que de biodiversité, des changements radicaux de nos modes de vie s’imposent. On peut aussi les voir comme des changements transformateurs.
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Le récif corallien de Nouvelle-Calédonie est reconnu comme un des 'points chauds' de la biodiversité marine de la planète. Lifou est un atoll surélevé, situé dans la Province des îles Loyautés. Dans son lagon foisonne une multitude d'espèces. La population locale participe à la surveillance de la santé de son récif corallien pour préserver l'écosystème.
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Née en 1965 à Lyon et entrée au CNRS en 1994, Sandra Lavorel est membre de l’Académie des sciences depuis 2013. Spécialiste du fonctionnement et de la dynamique des écosystèmes, Sandra Lavorel est pionnière dans la définition et l’analyse des services qu’ils rendent aux sociétés humaines. Elle a ainsi montré que l’altération de la biodiversité et des écosystèmes due aux changements globaux a des impacts sociétaux et économiques quantifiables.
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Here, we used Google search volume data to evaluate global interest in biodiversity and its conservation; and investigated their correlates across countries. We found that during 2013–2020 global searches for biodiversity increased, driven mostly by searches for charismatic fauna. However, searches for conservation actions, driven mostly by searches for national parks, decreased since 2019 likely due to the COVID-19 pandemic. We further found that economic inequality was negatively correlated with interest in biodiversity and conservation...
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from EntomoNews
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Notre programme de recherche vise à redéfinir la transition écologique à partir du facteur culturel. Comment préserver les écosystèmes ? En redessinant l’ensemble des comportements humains sous une forme compatible avec la biodiversité. C’est l’hypothèse du réensauvagement de l’humain au sein de notre civilisation."
Via Bernadette Cassel
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Les bénéfices écologiques, économiques et sociaux fournis par ces aires marines protégées (AMP) ont déjà été largement documentés. Cette nouvelle étude, basée sur une analyse de 22,403 publications traitant de 241 AMP à travers le monde, a révélé que la protection peut également contribuer de manière décisive à l’atténuation des effets du changement climatique (séquestration du carbone, évitement de son relâchement, etc.) ainsi qu’à l’adaptation des systèmes socio-écologiques...
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We are pleased to inform you that the call for Abstracts proposals for the INTECOL 2022 congress / Frontiers in Ecology: Science & Society is now open!
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Avec notre entrée dans l’anthropocène – cette période où les activités humaines sont devenues une nouvelle force géologique affectant l’ensemble des écosystèmes planétaires ainsi que le climat –, la défense de la biodiversité et des conditions de la vie sur terre est devenue un enjeu central. Mais selon les contextes géographiques et politiques, les écologistes et biologistes de la conservation se sont réclamés de différentes écoles et ont adopté différentes postures au fil des décennies. Obstination, réconciliation, renoncement ou écologie du sauvage, quatre différentes approches pour envisager la protection de la biodiversité.
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De nombreuses îles ont une forte biodiversité mais sont aussi des épicentres d’extinction. Cette biodiversité étant souvent la seule richesse de ces territoires isolés, mieux la protéger est une priorité pour l’adaptation des systèmes insulaires aux changements environnementaux. En constituant une base de données mondiale pour 2323 îles habitées, des scientifiques, dont une équipe du Centre pour la biodiversité marine, l'exploitation et la conservation (MARBEC), montrent que 50 % de ces îles n’ont aucune aire protégée. Cette absence de protection dépend à la fois du climat, de la diversité culturelle, de la densité humaine et du niveau de développement.
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Auteurs : Helene Soubelet,Fondation pour la recherche sur la biodiversité et Denis Couvet ,Professeur en écologie et gestion de la biodiversité, MNHN