Biodiversité

D'après une étude publiée dans Nature Climate Change, certains groupes d'animaux sauvages – neuf au total – possèderaient un "effet multiplicateur" dans l'absorption du CO2 de l'atmosphère et le stockage du carbone au sein des écosystèmes naturels, contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique. Mais les données scientifiques à la base de cette conclusion sont fragiles.

TRIBUNE. Alors que les Nations unies lancent, le 5 juin, la décennie de la restauration des écosystèmes, l’écologue Plinio Sist appelle, dans une tribune au « Monde », à ce que les programmes de reforestation prennent aussi en compte la composante humaine.

Les humains peuvent -ils se substituer à la nature et inverser le cours de la sixième extinction de masse ?