Utilisés comme main d'œuvre depuis l'Antiquité, objet de convoitise du marché extrêmement lucratif et illégal du braconnage ou tout simplement compagnons de vie; les animaux font partie intégrante de nos sociétés et de fait, de nos économies.
DocBiodiv's insight:
Episode1 : Chevaux, bœufs, chiens : les forçats de l’industrie
Episode 2 : Espèces menacées : se tailler la part du lion. Comment le trafic d’animaux menacés se structure-t-il à l’échelle mondiale ? Comment explique-t-on la rentabilité d’un tel business ?
Episode 4 : Animaux domestiques : un marché de niche
Ce colloque s’intéresse à la problématique du vivre ensemble entre pratiques récréatives et sportives et animaux sauvages sur différents types de territoires (montagnards, ruraux, littoraux). Des chercheurs de l'Office français de la biodiversité s'y impliquent et proposent des interventions autour de l'évaluation des effets pour faciliter la cohabitation.
De nombreux Etats se sont engagés à protéger 30 % de la surface de la Terre d'ici à 2030 afin de sauvegarder la biodiversité et les services écosystémiques, mais quoi protéger exactement, et où, reste une question ouverte. Dans une étude parue dans Science, des scientifiques, dont plusieurs sont issus du Laboratoire d'Écologie Alpine (LECA – CNRS / Université Grenoble Alpes / Université Savoie Mont-Blanc), ont identifié des zones prioritaires qui peuvent améliorer la conservation des espèces, et des services écosystémiques de régulation (ex. : la séquestration du carbone, la pollinisation, la protection contre les inondations) et culturels (ex. : la nature patrimoniale, la cueillette) en Europe. Les zones de congruence entre ces trois valeurs sont rares, mais une stratégie focalisée sur la préservation des espèces permet de protéger simultanément plusieurs valeurs de la nature.
Citizen science data for urban planning: Comparing different sampling schemes for modelling urban bird distribution
Aimara Planillo & al.
Species richness is positively related to mental health – A study for Germany
Joel Methors & al.
The neighborhood socioeconomic inequalities in urban parks in a High-density City: An environmental justice perspective
Ru Zhang, Chun-Qing Zhang& al.
Regional planning of river protection and restoration to promote ecosystem services and nature conservation
Ana Paula Portela& al.
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"Landscape and Urban Planning is an international journal aimed at advancing conceptual, scientific, and applied understandings of landscape in order to promote sustainable solutions for landscape change."
Le Global Safety Net combine six différents indicateurs de données primaires : les zones protégées déjà existantes, les habitats abritant des espèces rares, les zones riches en biodiversité, les sites habités par de grands mammifères, les vastes régions sauvages encore intactes et les environnements naturels capables d’absorber et de stocker une large quantité de carbone. […]
Pour l’écologue Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, le Covid-19, tout comme d’autres épidémies majeures (sida, Ebola, SRAS…), n’est pas sans rapport avec la crise de la biodiversité.
Dans La Croix, "Coronavirus : une pandémie intimement liée à l’environnement", Marine Lamoureux,, le 03/04/2020 analyse les propos de Philippe Grandcolas, et écrit :
Dans La Croix, "Coronavirus : une pandémie intimement liée à l’environnement", Marine Lamoureux,, le 03/04/2020 analyse les propos de Philippe Grandcolas, et écrit :
Dans le cadre du cycle de conférences "Fleurs du futur. Demain, le vivant fera-t-il la ville?", à la Plateforme de la création architecturale de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine, l'agence XTU architects invite des chercheurs, des acteurs de l’innovation, un philosophe professeur de cinéma à explorer ensemble les voies par lesquelles le vivant pourrait demain changer nos vies...
Avec Philippe Clergeau, professeur au Museum National d'Histoire Naturelle, un des pionniers de l'écologie urbaine et de l'installation d'une biodiversité dans la ville. Sabine Barles, professeur à l'UMR Géographie-Cités, ses travaux de recherche portent sur l’histoire des techniques et de l’environnement urbains (XVIIIe-XXe siècles), le métabolisme urbain, l’écologie territoriale et les trajectoires socio-écologiques. Pascal Picq, paléoanthropologue au Collège de France, ses recherches s’intéressent à l’évolution morphologique et sociale de la lignée humaine dans le cadre des théories modernes de l’évolution.
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Pourquoi prendre en compte la nature ? C'est avec cette question que Philippe Clergeau débute son intervention ?
Merci @onorvez qui a tweeté ce lien en écrivant "Biodiversité, métabolisme et humanité de la ville" par Sabine Barles (@SorbonneParis1), Philippe Clergeau (@mnhn) & @pascalpicq (@cdf1530 ) #biodiversité #urbain #paysage #ville #architecture #continuité " c'est passionnant et ça rend intelligent ! Video Ajoutée le 24 mars 2016
Afin de mieux assurer la qualité des eaux de baignade et des coquillages, il faut d’abord identifier les sources de contamination microbiologique, souvent d’origine fécale.
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Auteur : Michèle Gourmelon, Chercheure en bactériologie et en écologie microbienne, principalement en zone côtière, Ifremer
Lors de sa plénière annuelle du 3 au 9 juillet 2022 à Bonn en Allemagne, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (Ipbes) a validé deux évaluations sur l’utilisation durable des espèces sauvages et les multiples valeurs de la nature. Philippe Grandcolas, directeur adjoint scientifique à l’Institut écologie et environnement du CNRS (Inee) et observateur à la plénière, nous en explique les enjeux.
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via @CNRS
A savoir : l'organisme intergouvernemental indépendant regroupe 139 membres.
Un an après le premier confinement, les scientifiques tirent un bilan mitigé voire néfaste de l'effet de la pandémie sur l'environnement. Dans certaines régions du monde, la pression sur la nature s'est même accentuée...
Sujet radio RTS, 9 minutes : Blandine Levite Adaptation web: Vincent Cherpillod, publié le samedi 8 mai 2021 avec le président du Museum d'histoire naturelle de Paris Bruno David, extraits de l'émission Tout un monde, ainsi que directeur romand de Birdlife François Turrian qui évoque la fréquentation d'espaces naturels pendant le confinement en Suisse.
Sujet radio RTS, 9 minutes : Blandine Levite Adaptation web: Vincent Cherpillod, publié le samedi 8 mai 2021 avec le président du Museum d'histoire naturelle de Paris Bruno David, extraits de l'émission Tout un monde, ainsi que directeur romand de Birdlife François Turrian qui évoque la fréquentation d'espaces naturels pendant le confinement en Suisse.
La microalgue Dinophysis, toxique pour les humains, est aussi nuisible pour les huîtres et les poissons, selon des recherches menées par l'Ifremer et l'université de Nantes, qui ont tenté de comprendre si le réchauffement climatique favorisera sa prolifération.
Pour les populations locales, il est devenu bien plus difficile de contribuer à la préservation de la vie sauvage.
La pandémie de COVID-19 entraîne une augmentation de la pauvreté et des inégalités (Perspectives économiques mondiales), ce qui renforce encore la nécessité de veiller à ce que la reprise soit inclusive et durable. Pour les populations locales qui se retrouvent subitement privées des avantages économiques directs qu’elles tirent de la nature, il est devenu bien plus difficile de contribuer à la préservation de la vie sauvage . L’adoption du cadre des Nations Unies sur la biodiversité pour l'après-2020 (a) sera une étape clé vers la concrétisation de la vision définie à l’horizon 2050 par la Convention pour la biodiversité biologique : « vivre en harmonie avec la nature ». Or il faut bien reconnaître qu’il est parfois très difficile de cohabiter avec la nature, et en particulier avec les espèces sauvages, et que les solutions mondiales ne sont pas toujours facilement transposables au niveau local.
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Par Alexandra Zimmermann (Conseillère principale auprès du Programme mondial pour la vie sauvage) le 17 novembre 2020 dans la rubrique blog du site web de la Banque mondiale.
Par Alexandra Zimmermann (Conseillère principale auprès du Programme mondial pour la vie sauvage) le 17 novembre 2020 dans la rubrique blog du site web de la Banque mondiale.
A recent Global Assessment by the Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services has emphasized the urgent need to determine where and how nature's contribution matters most to people. Chaplin-Kramer et al. have developed a globalscale modeling of ecosystem services, focusing on water quality regulation, coastal protection, and crop pollination (see the Perspective by Balvanera). By 2050, up to 5 billion people may be at risk from diminishing ecosystem services, particularly in Africa and South Asia.
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Auteurs : Rebecca Chaplin-Kramer, Richard P. Sharp, Charlotte Weil, Elena M. Bennett, Unai Pascual, Katie K. Arkema, Kate A. Brauman, Benjamin P. Bryant, Anne D. Guerry
Lire l'article en français sur le site de l'Université McGill, Canada : Une carte interactive montre l’apport de la nature à l’humanité
Actualités Sortie des rapports régionaux IPBES Publication : 24 mars 2018 La biodiversité et les services écosystémiques continuent de décliner dangereusement, alertent les scientifiques Les rapports régionaux de l’IPBES sont parus samedi 24 mars. Le résultat est sans appel. La biodiversité - la diversité des formes de vie sur Terre - continue de décliner dans toutes les régions du monde, réduisant considérablement la capacité de la nature à contribuer au bien-être des populations. Cette tendance alarmante met en péril les économies, les moyens de subsistance, la sécurité alimentaire et la qualité de vie des populations partout dans le monde, d’après les quatre rapports régionaux scientifiques publiés aujourd'hui par plus de 550 experts de plus de 100 pays.
A l’heure de l’Anthropocène, ce nouvel âge de la Terre marqué par l’influence planétaire des activités humaines, le « grand partage » entre Nature et Culture qui a structuré la conception classique de la relation des humains au reste du vivant devient caduc. Les humains font partie de la nature, ils en dépendent et leurs productions s’imbriquent et s’hybrident avec le vivant non-humain d’une façon si complexe qu’il devient impossible de démêler le naturel de l’artifice.
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A ne pas manquer le 3 juin sur Montpellier ! A signaler la présence des membres du Comité d'orientation de l'Aten Virginie Maris et Valérie Boisvert.
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