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Le 17 avril 2024, un vaste trafic d’espèces protégées entre l’Alsace et la Guyane a pu être démantelé grâce à une enquête conjointe des inspecteurs de l’environnement de l’Office français de la biodiversité (OFB), des gendarmes de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP) et de la Brigade de recherches (BR).
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[VOLET 1/2] La compréhension du cycle de vie des anguilles est digne d’un polar scientifique. Il fascine depuis des siècles, et pourtant l’espèce est en proie à bien des menaces anthropiques. Face aux constats alarmants, des scientifiques œuvrent à mieux la comprendre et la protéger.
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- Répondez à l'appel à projet sur la connaissance naturaliste avant le 24 novembre 2023 pour aider à combler les lacunes de connaissances sur les espèces, les milieux et le patrimoine géologique français. - Consultez les fiches génériques des cahiers d'habitats ainsi que le rapport recensant des sources de données d'observation des habitats marins benthiques. - Partez à la recherche de l'araignée Nosferatu en métropole et des reptiles de Petite-Terre à Mayotte avec l'application INPN Espèces et retrouvez les données du Pôle invertébrés de la région Auvergne-Rhône-Alpes et par les utilisateurs de l’application CardObs sur l’INPN.
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Après le succès de la « Mission Patrimoine », la loi de finances pour 2023 a prévu le lancement d’un nouveau jeu de grattage. Vendu 3€ dans tous les lieux labellisés Française des Jeux, une partie des gains de « Mission Nature » permettront de financer des projets de reconquête de la biodiversité...
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L’Office français de la biodiversité (OFB) lance un appel à manifestation d’intérêt (AMI) visant à soutenir et financer des projets de recherche-action sur les espèces exotiques envahissantes en France hexagonale et dans les outre-mer.
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Les écosystèmes de la Caraïbe insulaire sont particulièrement vulnérables aux espèces exotiques envahissantes. Alors que certaines de ces espèces ont déjà reçu une attention particulière de la part des scientifiques et des gestionnaires, tels que les mammifères ou les poissons lions, d’autres comme les reptiles ont été relativement peu étudiées. Le commerce de reptiles exotiques, l’important trafic aérien et maritime entre les îles et avec le continent et le tourisme de masse sont pourtant autant de facteurs augmentant la vulnérabilité de la Caraïbe insulaire face à ces espèces.
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Le projet d’aménagement et de développement durable de la ville du Gosier est basé sur la préservation et la valorisation des principales zones naturelles du Gosier parmi lesquelles l’Anse Canot, la source de Poucet ou encore Grand-Baie. À travers cet atlas de la biodiversité communale, la ville va pouvoir actualiser les données existantes en réalisant un diagnostic précis de la biodiversité sur le territoire et sensibiliser les habitants à la nécessaire prise en compte de ces enjeux, notamment lors de la révision du PLU, le Plan Local d’Urbanisme et de le valoriser en proposant en proposant par exemple une offre écotouristique.
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La terreur qu’ils génèrent éclipse souvent leurs souffrances. Les requins sont fréquemment les victimes directes mais aussi indirectes des pêcheries industrielles dans les eaux internationales. Certains en portent encore les stigmates, comme ces hameçons plantés ici ou là sur leur corps et dont les effets pourraient être fatals. En atteste les conclusions d’une étude inédite conduite sur huit années et publiées en ligne au mois de décembre 2019. Parmi les quatre scientifiques y ayant pris part, Eric Clua, professeur à l’Ecole pratique des hautes études (EPHE) et spécialiste des requins. Il a accordé un entretien à Libération.
De nombreux pays, réunis à partir de mercredi en Guadeloupe, vont se pencher sur les sargasses, ces algues brunes nauséabondes qui polluent
Via Hubert MESSMER
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Au lendemain de l’ouverture à La Réunion du 2ème Congrès des baleines à bosse qui rassemble des chercheurs et des étudiants du monde entier, Didier Robert a naturellement évoqué le projet de classement du « chemin des baleines » au Patrimoine Mondial de l’Humanité lors de sa recontre au Ministère de l'écologie. La meilleure façon, selon le Président, de préserver les cétacés, de valoriser notre biodiversité exceptionnelle et de transmettre demain un patrimoine naturel préservé à nos enfants. Didier Robert a souhaité également présenter le Nouveau Modèle Économique engagé par la Région permettant enfin de concilier écologie et économie.
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15/01/2016 L’étude fournit un recensement exhaustif des opérateurs de whale-watching dits « commerciaux » exerçant au sein d'Agoa, un « état zéro » de l’activité sous la forme d’indicateurs socio-économiques [...]...
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En Polynésie française, Rimatara, petite île de moins de 9 km² située à près de 700 km au sud de Papeete, abrite deux oiseaux endémiques : le Lori de Kuhl (Vini kuhlii), et la Rousserolle de Rimatara (Acrocephalus rimitarae) respectivement appelés ‘Ura et ‘Oromao dans la langue locale. Dans le cadre de l’appel à projets Biodiv’OM, l’Office français de la biodiversité a financé un projet en faveur du Lori de Kuhl et de la Rousserolle de Rimatara, piloté par l’association Rima’Ura.
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Pour répondre au enjeux des espèces exotiques envahissantes, la stratégie se décline en trois leviers : Prévenir l’arrivée sur le territoire des espèces exotiques envahissantes et sensibiliser les acteurs impliqués, Surveiller l’apparition de nouvelles espèces exotiques envahissantes pour agir au plus vite et éviter leur installation, Agir contre les EEE pour limiter leur progression et leur impact sur les écosystèmes et sur les activités humaines lorsqu’elles sont installées.
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Lancée en 2015, la marque Végétal local, propriété de l’Office français de la biodiversité (OFB), est l’outil de traçabilité des végétaux sauvages et locaux en France. Présente jusqu’alors dans 10 régions biogéographiques de la métropole, elle intègre aujourd’hui 37 nouveaux bénéficiaires dont une pépinière en Guyane, la première en Outre-mer. La marque compte désormais 123 bénéficiaires, engagés pour une traçabilité des semences et plants sauvages, outil indispensable pour la restauration des écosystèmes et des fonctionnalités écologiques. Une clef de plus pour répondre aux enjeux actuels de changement climatique et d’effondrement de la biodiversité.
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L'OFB a financé un inventaire des poissons et crustacés d’eau douce mis en œuvre par l’association Vies d’Ô douce du 3 au 15 août 2023. Il s’agissait d’une mission importante car les derniers travaux sur la biodiversité aquatique de Wallis-et-Futuna dataient de 2004. Ce premier inventaire avait permis de répertorier 34 espèces de poissons et de crustacés, dont 4 espèces endémiques. Cette nouvelle campagne permettra de mettre à jour ces données pour suivre l’évolution des populations en réalisant une révision taxonomique et une base de données moléculaires.
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Beaucoup moins médiatisée que le changement climatique ou la pollution, la présence croissante d’espèces exotiques envahissantes représente pourtant une grave menace pour la biodiversité.
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L’activité commerciale de whale-watching génère une certaine économie pour la Martinique et peut soutenir l’acquisition de connaissances lorsque les professionnels dûment formés partagent leurs observations avec les scientifiques. Mais lorsque les règles d’approche des mammifères marins ne sont pas respectées, cette activité peut nuire considérablement aux animaux. Le Sanctuaire Agoa et le Parc naturel marin de Martinique, à travers leurs plan de gestion respectifs, ont pour objectif commun la préservation des mammifères marins de la région Caraïbe. Ainsi, les agents du Sanctuaire forment depuis plusieurs années les professionnels du whale watching à l’approche respectueuse des mammifères marins.
Gland, Suisse, 4 août 2020 (UICN) – Un total de total de six millions d’euros en financement d’aide d’urgence afin de répondre aux besoins urgents en matière de conservation de la biodiversité provoqués par la pandémie de COVID-19 est mis à disposition par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la Commission européenne et l’Organisation des pays d’Afrique, Caraïbes et Pacifique (OEACP). Ces fonds de l’Union européenne seront distribués par le biais de deux programmes complémentaires gérés par l’UICN. Ils sont destinés à atténuer les impacts de la pandémie sur la gestion des aires protégées et des espèces menacées.
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Ce coquillage rose, star de la gastronomie antillaise, devient si rare qu’il fait l’objet de contrebande. Les inspecteurs de l’environnement viennent de saisir 877 kg de marchandise. Bateaux, ports, restaurants : 180 sites ont été contrôlés récemment sous la houlette de l' ONCFS et de l'Agence française de la biodiversité (AFB) afin de s'assurer que les coquillages mis sur le marché étaient pêchés légalement. Restaurants, bateaux de pêche, ports… 180 sites ont été contrôlés du 28 septembre au 17 octobre par une trentaine d'inspecteurs de l'environnement, dont la moitié venait en renfort de métropole.
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Conformément à l’engagement pris fin 2017 par la ministre des Outre-mer, Annick GIRARDIN, le Gouvernement a décidé de doubler les financements du Plan d’actions sur le risque requins à La Réunion en les faisant passer à 2 millions d’euros par an.
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Ce phénomène observé depuis 2011 provoque des pertes économiques lourdes et des dégâts sur la biodiversité. Une mission ministérielle s’est rendue sur place fin janvier pour trouver des solutions.
Le financement demandé (3 800 €) inclut la multiplication in vitro, la culture, la préparation des plants et l’expédition pour Maurice, par colis et en soutes climatisées, de nos petits Cylindroclines. L’argent récolté nous permettra d’expédier environ 50 plants, soit un travail d’un an.
Via Mélissa Malvoisin
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"De nombreux spécimens ont été saisis : plus d’une quarantaine de mygales, environ 20 scorpions, de nombreux reptiles (boas, pythons, lézards…), et plusieurs tortues"