Biodiversité

Area-based conservation, including protected areas and OECMs, is the primary approach used to address biodiversity decline and now covers 8% of the world’s oceans and 17% of its lands. As it is set to diversify and expand under the 30x30 target to protect30% of the planet by 2030, we take stock of the approach, including its history in global policy and performance. We outline three priority directions to ensure area-based
conservation contributes to securing a sustainable and just future.

L’Union des Comores, un Etat archipélagique de l’océan Indien occidental, souhaite étendre radicalement son réseau d’aires protégées (AP), passant d’une à six, dont trois nouvelles aires marines protégées (AMP). Dans l’idée, il s’agirait de reproduire le modèle de gestion de l’aire marine protégée de Mohéli, le premier et actuellement le seul parc national du pays, […]

Alors que la prochaine décennie est annoncée comme cruciale pour stopper l'érosion de la biodiversité, l'enseignant-chercheur Gilles Bœuf et la sociologue Isabelle Arpin plaident pour que la préservation de la faune et de la flore soit enfin reconnue comme une priorité. Un dialogue organisé pour Sciences et Avenir - La Recherche 886, daté décembre 2020.

There have been calls for greater inclusion of Indigenous and local knowledge (ILK) in applied ecosystems research and ecological assessments. The Intergovernmental Science‐Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) Global Assessment (GA) is the first global scale assessment to systematically engage with ILK and issues of concern to Indigenous peoples and local communities (IPLC). In this paper, we review and reflect on how the GA worked with ILK and lessons learned.

La Fédération autochtone des 9 pays d’Amazonie veut proposer la création d’un parc naturel transfrontalier de 2 millions de km2 pour protéger la forêt amazonienne. De la taille du Mexique, cet espace protégé serait le plus vaste au monde. 

Le One Forest Summit se tient aujourd'hui et demain à Libreville au Gabon. Sabrina Krief, professeure au Museum d'Histoire naturelle, vétérinaire, spécialiste des grands singes et Gilles Kleitz, directeur exécutif de l'Agence française du Développement, sont les invités du 7h50 pour en parler.

Pour sauver "le cœur de leur culture", certains peuples ont donc décidé de prendre les choses en main comme dans l'ouest du Canada grâce à un programme pilote.

Un projet novateur qui met en évidence l'apport des populations autochtones dans la protection des écosystèmes au moment où les délégués du monde entier se réunissent à Montréal pour la COP15 sur la biodiversité afin d'élaborer un nouvel accord pour la nature.

Le congrès de l'UICN s'est achevé après une semaine intensive de rencontres autour de la biodiversité. Qu'en ressort-il ? Un satisfecit de l'organisateur et du gouvernement français. Un bilan partagé selon les associations environnementales.

Adopting Indigenous practices could help improve traditional conservation efforts.

A new UBC-led study suggests that Indigenous-managed lands may play a critical role in helping species survive.

Researchers sampled land and species data from three of the world’s biggest countries—Canada, Australia, and Brazil. The study was the first to compare biodiversity and land management on such a broad geographic scale.

The scientists discovered that the total numbers of birds, mammals, amphibians, and reptiles were all greatest on lands managed or co-managed by Indigenous communities.

The second highest numbers of species were present in protected areas like parks and wildlife reserves, with the least amount of biodiversity apparent in randomly selected areas that were not protected.