On dit les écosystèmes méditerranéens adaptés au feux, y compris les forêts tropicales, subtropicales et tempérées d’Australie, qui comptent un grand nombre d’espèces végétales pyrophiles (littéralement « qui aiment le feu »). Certaines en ont même besoin pour se reproduire. Mais lorsqu’une telle surface est concernée par la combustion, la situation ne répond plus à un cycle normal.
On a beaucoup entendu le nombre global d’animaux tués, estimé à un milliard. Mais qu’en est-il des insectes et autres invertébrés, qui sont à la base du fonctionnement des écosystèmes ?
Un drame humain auquel s'ajoute "L'impact sur l'environnement est énorme. "La réserve naturelle a été dévastée à moitié". Le constat de Concha Agéro, directrice interrégionale adjointe de l'Office français de la biodiversité, est glaçant. "