On dit les écosystèmes méditerranéens adaptés au feux, y compris les forêts tropicales, subtropicales et tempérées d’Australie, qui comptent un grand nombre d’espèces végétales pyrophiles (littéralement « qui aiment le feu »). Certaines en ont même besoin pour se reproduire. Mais lorsqu’une telle surface est concernée par la combustion, la situation ne répond plus à un cycle normal.
On a beaucoup entendu le nombre global d’animaux tués, estimé à un milliard. Mais qu’en est-il des insectes et autres invertébrés, qui sont à la base du fonctionnement des écosystèmes ?
Article publié en ligne le12 janvier 2020. Auteur Romain Garrouste , Chercheur à l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (UMR 7205 MNHN-CNRS-Sorbonne Univ.-EPHE-Univ. Antilles), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)