La demande pour les loisirs d’observation de la faune est en croissance, du fait notamment de la recherche, par le public, d’activités “vraies”, proches de la nature… Reste que l’observation de la faune s’appuie sur un paradoxe, qui est que, d’une manière générale, la présence de l’homme dérange les animaux, quand elle ne les fait pas fuir. D’où la création de parcs de vision et autres réserves qui garantissent au public qu’il verra bien des animaux ; pour renforcer leur légitimité, ceux-ci se fixent aussi pour mission de contribuer à la conservation de la biodiversité et à la gestion des espaces naturels.
in revue Espaces n°328
Février 2016 - 76 pages - 45.00€ (pdf) via @lucvdd