Biodiversité

Une étude publiée ce mardi 13 février dans la revue «Nature Communications» confirme que malgré leurs efforts pour s’adapter au réchauffement climatique, ces mangeurs de phoques risquent l’«inanition», car forcés de jeûner ou de se nourrir de baies.

Le Royaume-Uni serait l’un des pays les plus dépourvus de nature sauvage au monde. Le maire de Londres vient tout juste d’annoncer qu’un couple de castors sera bientôt réintroduit dans l’ouest de la ville. Mais quelles sont les chances de succès de ce genre d’opérations de rewilding ? Des chercheurs nous apportent quelques réponses.

Aude Lalis, chercheuse au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), nous aide à y voir clair sur l'impact du changement climatique sur les ours polaires. Certains racontent en effet qu'ils prospèrent ! Les chercheurs et chercheuses du domaine ont d’ailleurs tiré des informations très intéressantes sur les émetteurs de cette affirmation.

Quantifier l'impact d'une certaine quantité d'émissions de gaz à effet de serre sur les ours polaires n'avait pour le moment jamais été fait.

L'aide à la protection des exploitations et des troupeaux contre la prédation du loup et de l’ours a pour objectif de favoriser l’adaptation des activités d’élevage à la présence de ces prédateurs.

The recent recovery of large carnivores in Europe has been explained as resulting from a decrease in human persecution driven by widespread rural land abandonment, paralleled by forest cover increase and the consequent increase in availability of shelter and prey. We investigated whether land cover and human population density changes are related to the relative probability of occurrence of three European large carnivores: the grey wolf (Canis lupus), the Eurasian lynx (Lynx lynx) and the brown bear (Ursus arctos).