Une étude réalisée par une équipe de l'Université de Queensland en Australie, et parue dans la revue BioScience, montre l'importance de Facebook dans les études des points chauds de la biodiversité. Ces points chauds sont des lieux cruciaux dans le monde : ils comptent environ 50% des espèces (animales ou végétales), enregistrent une pression anthropique forte (pression liée aux activités humaines) et se concentrent sur 1,4% de la surface de la Terre.
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Shawan Chowdhury, Upama Aich, Md Rokonuzzaman, Shofiul Alam & al., Increasing biodiversity knowledge through social media: A case study from tropical Bangladesh, BioScience, Volume 73, Issue 6, June 2023, Pages 453–459, https://doi.org/10.1093/biosci/biad042
L’Ifremer lance une nouvelle plateforme de sciences participatives, « Espions des océans », qui invite les citoyens à participer aux recherches sur les écosystèmes marins. Petits et grands peuvent ainsi analyser des photographies des fonds marins, depuis la rade de Brest jusqu’aux sources hydrothermales des grands fonds, et aider les scientifiques à identifier les espèces qui y vivent.
Sur près de 15 000 kilomètres parcourus, plus de 1000 observations de mammifères marins ont été effectuées. Depuis 1994, les campagnes SCANS (Small Cetaceans in European Atlantic waters and the North Sea) ont pour objectifs d’évaluer l’abondance et la répartition des mammifères marins, mais aussi des oiseaux, tortues, grands poissons et déchets en mer. Elles sont réalisées tous les six ans pour évaluer l’état écologique de ces populations.
La scientifique Marjolaine Matabos anime le programme de sciences participatives "Espion des grands fonds" pour lequel les internautes sont sollicités afin d'annoter des images sous-marines.
Tous les samedis et dimanches, Virginie Salmen fait le point sur l'actualité environnementale. Elle revient aujourd'hui sur les insectes invasifs qui colonisent la France, à l'image de la punaise diabolique ou du hanneton japonais. Pour contrôler leur développement, les chercheurs misent sur une application à disposition des Français.
De nombreux suivis à long terme en écologie reposent sur notre capacité à reconnaître les animaux individuellement, souvent d'une année sur l'autre. Afin d’étudier la démographie des populations de girafes, les écologues procèdent à des "captures" photographiques au sein de la zone Atelier de Hwange du CNRS au Zimbabwe. Chaque girafe a un pelage composé d'une myriade de taches distinctes qui permet à un œil entraîné de la reconnaître... c'est ce que l'ordinateur sait désormais faire !
Depuis fin juin, un phénomène rare mais néanmoins déjà observé par le passé, a donné une teinte rose presque surréaliste à certaines zones de mangrove de Martinique, notamment dans la commune du Diamant en Martinique. Les causes de cette apparition particulièrement marquée cette année sont multifactorielles.
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Explications, grâce à l'étude de Mélanie Herman, de l'UICN. Etude réalisée par Mélanie Herteman, Écologue / Photos de Laurent Juhel, photographe éco-interprète
A photography project has highlighted the extent of ice loss from Iceland’s largest glaciers. A team from Scotland and Iceland compared photographs taken in the 1980s with present-day drone images. They focused on the south side of the Vatnajökull ice cap, which covers about 7,700sq km of land.
Dr Kieran Baxter, from the University of Dundee, said: "We saw a staggering difference in a very short amount of time."
We deploy camera traps to monitor feral cat (Felis catus) populations at two pastoral sites in Hawke’s Bay, North Island, New Zealand. At Site 1, cameras are deployed at pre-determined GPS points on a 500-m grid, and at Site 2, cameras are strategically deployed with a bias towards forest and forest margin habitat where possible. A portion of cameras are also deployed in open farmland habitat and mixed scrub. We then use the abundance-induced heterogeneity Royle–Nichols model to estimate mean animal abundance and detection probabilities for cameras in each habitat type. Model selection suggests that only cat abundance varies by habitat type.
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Sur la méthodo d'usage des pièges photographiques pour le suivi de l'espèce via @AS_Glen @Vidal_Eric_isld
Un photographe et un scientifique espèrent que ces photographies d’oiseaux menacés de disparition inciteront les citoyens à s’investir dans leur protection
De Jonathan Baillie
Photographie De Tim Flach
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Lire aussi l'éditorial du dernier numéro de Science : Space for nature signé Jonathan Baillie et Ya-Ping Zhang
Although the relationships between habitats and ecosystem services (ESs) have been acknowledged, investigating spatio-temporal change in these has received far less attention. This study assesses the influence of habitat changes on ES delivery across space and time, based on two time points some 60 years apart, 1946 and 2009. A 1946 aerial photo coverage of two catchments in Scotland was used to construct digital photo mosaics which were then visually interpreted and digitised to derive historic habitat maps.
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Sikhululekile Ncube, Christopher Spray & Alistair Geddes(2018)Assessment of changes in ecosystem service delivery – a historical perspective on catchment landscapes,International Journal of Biodiversity Science, Ecosystem Services & Management,14:1,145-163,DOI: 10.1080/21513732.2018.1489306
Depuis 1968, le Canada a placé 58 des lacs de l’Ontario sous la surveillance des chercheurs. Le photographe Guillaume Simoneau s’est pris de passion pour ce site de recherche.
New data collected by more than 1,000 camera traps reveals good news for many tropical species.
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Un billet qui traite de l'étude photographique menée en milieu tropical parue dans PLOS Biology : Meadows R (2016) Hope for Tropical Biodiversity After All. PLoS Biol 14(1): e1002358. doi:10.1371/journal.pbio.1002358
L'auteur explique "Each of the protected areas studied had a camera trap every square kilometer or two, for a total of 60 to 90 per site."
Coccinelles et abeilles déclinent à un rythme vertigineux. Tandis qu’une nouvelle forme de pesticide est testée en Europe, le biologiste britannique Dave Goulson démontre que l’extinction des insectes menace directement l’espèce humaine.
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Philosophie, recherche, nature, culture...Plusieurs articles ds ce N° du 12/04/2023 : Baptiste Morizot : «La beauté du monde vivant, c’est qu’on ne sait jamais dans la vie de qui nous sommes glissés» EN IMAGES - «BUG», la disparition des insectes de frelon en large etc
Une nouvelle version de l'application a été déployée, nous vous invitons à la télécharger et à découvrir ses améliorations ! Une nouveauté à noter : l'apparition des tags sur les photographies. De nouvelles quêtes ont aussi été diffusées, profitez de l'arrivée des beaux jours pour partir à la rencontre de ces espèces bien particulières ! Découvrez également un bel exemple de l'intérêt scientifique d'INPN Espèces, une nouvelle espèce de papillon de nuit a été redécouverte dans le département du Loiret et partagée sur l'application.
Malgré la profusion de photos de plantes que l’on peut trouver sur Internet, celles-ci ne représentent qu’une petite partie de toutes les espèces existantes. De plus, ces photos sont éparpillées sur de nombreuses plateformes, ce qui ne facilite pas le travail des scientifiques et menace les efforts de conservation.
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Par Céline Deluzarche, le 15/08/2021 qui nous donne le lien vers l'article : Pitman, N.C.A., Suwa, T., Ulloa Ulloa, C. et al.Identifying gaps in the photographic record of the vascular plant flora of the Americas.Nat. Plants7, 1010–1014 (2021). https://doi.org/10.1038/s41477-021-00974-2
L’oiseau le plus photogénique sur Instagram n’est pas l’ara du dessin animé Rio ni le flamant rose, mais une espèce dont vous n’avez certainement jamais entendu parler. Deux chercheurs allemands ont tenté de percer le secret de ces stars du réseau social.
Thömmes, K., Hayn-Leichsenring, G. (2021). What Instagram can teach us about bird photography: The most photogenic bird and color preferences. i-Perception, 12(2), 1–5. https://doi.org/10.1177/20416695211003585
Thömmes, K., Hayn-Leichsenring, G. (2021). What Instagram can teach us about bird photography: The most photogenic bird and color preferences. i-Perception, 12(2), 1–5. https://doi.org/10.1177/20416695211003585
Un simple selfie avec un singe peut avoir des conséquences néfastes. C'est en tout cas la conviction de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui exhorte désormais les scientifiques à ne plus poster de photos d'eux en compagnie de primates sur les réseaux sociaux, explique The Guardian. Ces images pourraient en effet stimuler le commerce illégal de singes en encourageant le public à se prendre en photo avec ces animaux protégés.
Assessing progress towards achieving conservation targets is required for all countries committed to the Convention on Biological Diversity. The Natura 2000 network is the largest protected area network in the world and was created to protect Europe's threatened species and habitats, often requiring active management. This study assesses the effectiveness of areas classified under the EU Birds Directive at protecting Western Europe's agro-steppes, the last remnants of suitable habitat for several endangered bird species. We quantify agro-steppe habitat change in the last 10 years using high-resolution aerial images of 21 Special Protection Areas and surrounding areas.
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João Gameiro, João Paulo Silva, Aldina M.A. Franco, Jorge M. Palmeirim, Effectiveness of the European Natura 2000 network at protecting Western Europe's agro-steppes, Biological Conservation,Volume 248,2020,108681, ISSN 0006-3207, https://doi.org/10.1016/j.biocon.2020.108681
Sept plongeuses amatrices, âgées de 60 à 75 ans, participent à un projet scientifique sur une espèce de serpent de mer venimeuse dans la baie des Citrons, en Nouvelle-Calédonie.
Une étude montre que les escargots n'ont pas la même couleur selon qu'ils vivent dans des milieux urbains ou naturels. Gris ou marron, rayés ou mouchetés, les escargots font partie de ces animaux qui présentent une grande variété de couleurs.
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Snail shell colour evolution in urban heat islands detected via citizen science
Reportage Polynésie française, Moorea. Février 2018, au lendemain de la pleine lune, les scientifiques du CRIOBE ont eu la surprise d'observer un impressionnant rassemblemen
Can social media data be used as an alternative to traditional surveys to understand tourists’ preferences for nature‐based experiences in protected areas? We explored this by comparing preference
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Les auteurs ont comparé les données issues des réseaux sociaux essentiellement de partage de photographies avec les études de fréquentation et questionnaires traditionnels et en tirent la conclusion qu'ils peuvent apporter des enseignements sur le besoin de nature de la population qui visite les espaces naturels protégés. Citation : Hausmann, A., Toivonen, T., Slotow, R., Tenkanen, H., Moilanen, A., Heikinheimo, V. and Di Minin, E. (2017), Social Media Data Can Be Used to Understand Tourists’ Preferences for Nature-Based Experiences in Protected Areas. CONSERVATION LETTERS. doi:10.1111/conl.12343
Les données des médias sociaux peuvent être utilisées pour comprendre les préférences des touristes en matière de protection de la nature #socialmediaroi
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Shawan Chowdhury, Upama Aich, Md Rokonuzzaman, Shofiul Alam & al., Increasing biodiversity knowledge through social media: A case study from tropical Bangladesh, BioScience, Volume 73, Issue 6, June 2023, Pages 453–459, https://doi.org/10.1093/biosci/biad042