A horizon 2030, si rien n’est fait pour réduire l’empreinte environnementale du numérique et que les usages continuent de progresser au rythme actuel, le trafic de données serait multiplié par 6 et le nombre d’équipements serait supérieur de près de 65 % en 2030 par rapport à 2020, notamment du fait de l’essor des objets connectés. Il en résulterait des augmentations, entre 2020 et 2030 :
- de l’empreinte carbone du numérique en France : environ + 45% (pour atteindre 25 Mt CO2eq) - de la consommation de ressources abiotiques (métaux et minéraux) : + 14 % - de la consommation électrique finale en phase d’usage : + 5 % (pour atteindre 54 TWh par an).
Futuribles. Analyse de rapport(Joint Research Centre Science for Policy Report), 2022, 120 p.) 15 mai 2023 WENDLING Cécile