Biodiversité

The report shows that costs of “business-as-usual” are high and growing. Land-cover change has cost some USD 4 trillion to 20 trillion per year in ecosystem services, on top of an estimated USD 6 trillion to 11 trillion per year from land degradation. Meanwhile, ecosystem services derived from biodiversity provide annual benefits valued at between USD 125 trillion and 140 trillion – more than one-and-a-half times global gross domestic product (GDP).

The report shows how governments can change tax systems, credits, permits and other economic instruments to create “incentives for more sustainable production and consumption patterns, and can also generate much needed revenue” to protect biodiversity, says the report. 

This brochure presents statistics on the biodiversity-relevant economic instruments and the finance they mobilise, based on currently available data in PINE. The data are relevant to monitoring progress towards Aichi Biodiversity Target 3 (on incentives), Target 20 (on resource mobilisation) as well as Sustainable Development Goal (SDG) Target 15.a. on finance.

L'Agence nationale de la recherche va lancer, en collaboration avec une vingtaine d’organismes de financement, un nouvel appel à projets conjoint dans le cadre de l'ERA-NET BiodivERsA. Cette initiative a pour objectif de promouvoir des recherches transnationales sur la biodiversité. L'ouverture est prévue pour octobre 2018.

After the two successful editions in 2015 in Paris and in 2016 in Casablanca, the 3rd Climate Finance Day will be held on December 11th, 2017 in Paris.

Le Fonds vert pour le climat est un instrument crucial du financement de la lutte contre le changement climatique et doit entrainer un mouvement des investissements vers une économie bas-carbone.

Le rapport sur le financement de la biodiversité, réalisé par l'OCDE pour le G7 environnement 2019, est en ligne. Il s'agit d'un premier état des lieux de la question, abordant « l'intérêt économique de la biodiversité, la quantification des flux financiers dédiés et la mesurabilité des différentes pressions sur la biodiversité. C'est à dire de quoi on parle et de quoi nous avons besoin » a indiqué hier en conférence de presse la Secrétaire d'Etat Brune Poirson, lors des conclusions de la réunion des ministres de l'environnement du G7 2019.

Les partenaires du projet CClimaTT s’engagent ainsi dans le but d’améliorer la connaissance sur les effets des changements climatiques dans l’espace transfrontalier. Cela permet par la suite d’en communiquer le contenu de la manière la plus large possible, et d’identifier des actions de maîtrise de la consommation citoyennes. Le concept transversal et qui guide toutes les activités du projet est l’idée que même les petites communautés locales sont en mesure d’influencer le changement climatique et que l’adoption de comportements vertueux au niveau local peut porter à l’amélioration globale du système.

Un nouveau rapport identifie les points clés de la stratégie française pour mobiliser les capitaux en faveur d'une croissance durable