«La pollution diminue mais elle change de nature» Alfred Spira | RSE et Développement Durable | Scoop.it

Alfred Spira, épidémiologiste qui a longtemps étudié les effets des émissions de particules sur la santé, estime que la surmortalité ne peut pas être attribuée à un seul facteur.

 

En France, la pollution de l’atmosphère serait responsable de 42 000 morts prématurées par an, selon des données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Rien qu’à Paris, elle tuerait 3 000 personnes. Des chiffres à prendre avec des pincettes, selon Alfred Spira, épidémiologiste et professeur de santé publique.

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Via Build Green