Le « cities’ digital twinning » est également utilisé par des États qui cherchent à sensibiliser leur population au réchauffement climatique. En Nouvelle-Zélande, les dirigeants locaux de Wellington estiment que cette technologie aidera les habitants et décideurs à comprendre les impacts attendus de la montée du niveau des mers et des phénomènes météorologiques plus extrêmes. Malgré l’intérêt grandissant des villes pour le jumelage numérique, déjà largement utilité dans les domaines d’ingénierie, le métavers, lui, peine encore à intéresser le grand public.
Bientôt un tourisme des destinations perdues?